Stephen King - Dôme. Tome 1

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Dôme. Tome 1: краткое содержание, описание и аннотация

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Le Dôme : personne n’y entre, personne n’en sort. A la fin de l’automne, la petite ville de Chester Mill, dans le Maine, est inexplicablement et brutalement isolée du reste du monde par un champ de force invisible. Personne ne comprend ce qu’est ce dôme transparent, d’où il vient et quand — ou si — il partira. L’armée semble impuissante à ouvrir un passage tandis que les ressources à l’intérieur de Chester Mill se raréfient. Big Jim Rennie, un politicien pourri jusqu’à l’os, voit tout de suite le bénéfice qu’il peut tirer de la situation, lui qui a toujours rêvé de mettre la ville sous sa coupe. Un nouvel ordre social régi par la terreur s’installe et la résistance s’organise autour de Dale Barbara, vétéran de l’Irak et chef cuistot fraîchement débarqué en ville…

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Gendron s’agenouilla et toucha le cou grotesquement déformé du fermier. « Mort.

— C’est quoi, ces débris autour de lui ? Ces trucs blancs ? »

Gendron ramassa le plus gros morceau. « Je crois que ça vient d’un de ces machins pour avoir de la musique à partir d’un ordinateur. L’a dû se casser quand il a percuté ce… (il fit un geste vers la barrière invisible)… vous savez quoi. »

Un hululement, rauque et plus fort encore que la sirène de la ville, leur parvint à ce moment-là du bourg.

Gendron releva brièvement la tête. « Les pompiers. Pour le bien que ça peut nous faire…

— Ils arrivent de Castle Rock, dit Barbie.

— Ah bon ? Vos oreilles sont meilleures que les miennes, alors. Rappelez-moi votre nom, mon ami.

— Dale Barbara. Barbie pour les amis.

— Eh bien, Barbie, qu’est-ce qu’on fait maintenant ?

— On continue, il me semble. On ne peut plus rien faire pour ce type.

— Non, répondit Gendron, la mine sombre. Surtout avec mon portable qu’est resté là-bas. J’imagine que vous n’en avez pas ? »

Barbie en avait eu un, mais il l’avait laissé dans l’appartement abandonné, ainsi que des chaussettes, des T-shirts, des jeans et quelques sous-vêtements. Il avait mis les voiles vers de nouveaux territoires avec ce qu’il avait sur le dos parce qu’il n’y avait rien venant de Chester’s Mill qu’il ait envie d’emporter avec lui. Mis à part quelques bons souvenirs pour lesquels il n’avait pas besoin d’une valise, ni même d’un sac à dos.

Tout cela était trop compliqué à expliquer à un étranger et il se contenta de secouer la tête.

Il y avait une couverture sur le siège du tracteur. Gendron coupa le moteur, prit la couverture et en recouvrit le corps.

« J’espère qu’il écoutait quelque chose qui lui plaisait quand c’est arrivé, fit-il observer.

— Ouais.

— Repartons. Allons jusqu’au bout de ce j’sais-pas-quoi. J’aimerais bien vous serrer la main. Je pourrais même me laisser aller et vous serrer dans mes bras. »

5

Peu après avoir découvert le corps de Roux et alors qu’ils étaient, sans le savoir, très près de l’accident de la 117, ils tombèrent sur un petit cours d’eau. Les deux hommes restèrent là un moment, chacun de son côté de la barrière invisible, l’air perplexe, silencieux.

C’est finalement Gendron qui prit la parole. « Sainte mère de Dieu…

— À quoi ça ressemble, de votre côté ? » demanda Barbie.

Tout ce qu’il pouvait voir, du sien, c’était l’eau qui montait et se répandait dans le sous-bois. Comme si la rivière s’était heurtée à un barrage invisible.

« Je ne sais pas comment vous décrire ça. J’ai jamais rien vu de pareil. » Gendron se tut un instant, se grattant les deux joues et étirant son visage déjà long dans le style de la peinture d’Edvard Munch, Le Cri . « Si, une fois. Si l’on veut. Quand j’ai ramené à la maison deux poissons rouges pour ma fille, pour ses six ans. Ou ses sept ans. Bref, ils étaient dans un sac en plastique, et cela faisait à peu près le même effet — de l’eau dans le fond d’un sac en plastique. Sauf que c’est plat, au lieu d’être affaissé. L’eau s’élève contre ce… ce truc, et part dans les deux sens, de votre côté.

— Il n’en passe pas du tout ? »

Gendron se baissa, mains sur les genoux, et plissa les yeux. « Si, un peu, on dirait. Mais vraiment pas beaucoup, juste un filet. Et aucune des saletés que transporte l’eau, d’habitude. Vous savez, les débris végétaux, les trucs comme ça. »

Ils continuèrent, Gendron de son côté, Barbie du sien. Pour le moment, aucun des deux ne pensait en termes d’intérieur et d’extérieur. Il ne leur était pas venu à l’esprit que la barrière pouvait ne pas avoir de fin.

6

Puis ils avaient débouché sur la Route 117, où il y avait encore eu un sale accident — deux voitures et au moins deux morts, d’après ce qu’avait vu Barbie. Il devait y en avoir un autre, écrasé derrière son volant, dans une vieille Chevrolet dont il ne restait pas grand-chose. Sauf que, cette fois, il y avait aussi une survivante, assise contre la carrosserie d’une Mercedes accidentée, tête baissée. Paul Gendron se précipita vers elle, Barbie étant obligé de rester planté où il était et de regarder. La femme vit Gendron et essaya de se lever.

« Non, madame, il faut pas, il vaut mieux pas faire ça, dit-il.

— Je crois que je n’ai rien, dit-elle. C’est juste… vous savez. Secouée. »

Pour Dieu sait quelle raison, cela la fit rire, alors qu’elle avait le visage bouffi d’avoir pleuré.

À ce moment-là se présenta une autre voiture qui se traînait, conduite par un vieux type en tête d’un cortège de trois ou quatre autres dont les conducteurs devaient sans aucun doute commencer à s’impatienter. Le premier s’arrêta en voyant l’accident, imité par les autres.

Elsa Andrews s’était remise debout et avait suffisamment retrouvé ses esprits pour poser la question qui allait devenir celle du jour : « Qu’est-ce que nous avons percuté ? Ce n’était pas l’autre voiture, Nora avait fait le tour de l’autre voiture. »

C’est avec une totale honnêteté que Gendron répondit :

« On sait pas, madame.

— Demandez-lui si elle a un portable », suggéra Barbie, qui se tourna vers les nouveaux arrivants transformés en badauds. « Hé ! Qui a un téléphone portable ?

— Moi, monsieur », répondit une femme.

Mais avant qu’ils puissent en dire plus, ils entendirent les whoup-whoup-whoup d’un hélicoptère qui approchait.

Barbie et Gendron échangèrent un regard désespéré.

L’appareil bleu et blanc volait bas. Il se dirigeait vers la colonne de feu qui montait du camion accidenté, sur la 119, mais l’air était d’une limpidité absolue, produisant cet effet de loupe qui caractérise les plus belles journées au nord de la Nouvelle-Angleterre, et Barbie n’avait pas de mal à lire le gros chiffre 13, sur le côté. Ni à voir le logo de CBS. L’hélico appartenait à une chaîne d’info et venait sans doute de Portland. Il devait déjà se trouver dans le secteur, pensa Barbie. La journée était idéale pour tourner quelques plans juteux d’un accident pour le bulletin de dix-huit heures.

« Oh, non ! » gémit Gendron, s’abritant les yeux. Puis il cria : « Barrez-vous, bande de cinglés, barrez-vous d’ici ! »

Barbie se joignit à lui. « Non ! Arrêtez ! Repartez ! »

Efforts inutiles, bien entendu. Encore plus inutilement, il agitait les bras, faisant de grands gestes signifiant partez-partez .

Elsa regarda Gendron, puis Barbie, une expression d’incompréhension sur les traits.

L’hélico plongea jusqu’à la hauteur des arbres et se mit en vol stationnaire.

« Je crois que ça va aller, dit Gendron dans un souffle. Les gens là-bas ont dû leur faire signe de s’écarter, eux aussi. La pilote a dû voir… »

Sur quoi, l’appareil vira au nord, le pilote se proposant d’observer la scène d’un nouvel angle, sans doute depuis la prairie d’Alden Dinsmore, et il percuta la barrière sous les yeux de Barbie. Un des rotors cassa. L’hélicoptère pencha, plongea et zigzagua, tout cela en même temps. Puis il explosa, faisant tomber une nouvelle pluie de feu et de débris sur la route et les champs, de l’autre côté de la barrière.

Le côté de Gendron.

L’extérieur.

7

Junior Rennie s’introduisit comme un voleur dans la maison où il avait grandi. Ou comme un fantôme. Elle était vide, bien entendu ; son père devait se trouver dans son dépôt géant de voitures d’occasion, sur la Route 119 — lieu que Frank, l’ami de Junior, appelait parfois le Temple du Crédit Total ; quant à Francine Rennie, elle était, depuis quatre ans, locataire permanente du cimetière de Pleasant Ridge. La sirène de la ville s’était tue et celles de la police s’étaient éloignées quelque part vers le sud. Il régnait un calme bienfaisant dans la maison.

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