Stephen King - Dôme. Tome 1

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Dôme. Tome 1: краткое содержание, описание и аннотация

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Le Dôme : personne n’y entre, personne n’en sort. A la fin de l’automne, la petite ville de Chester Mill, dans le Maine, est inexplicablement et brutalement isolée du reste du monde par un champ de force invisible. Personne ne comprend ce qu’est ce dôme transparent, d’où il vient et quand — ou si — il partira. L’armée semble impuissante à ouvrir un passage tandis que les ressources à l’intérieur de Chester Mill se raréfient. Big Jim Rennie, un politicien pourri jusqu’à l’os, voit tout de suite le bénéfice qu’il peut tirer de la situation, lui qui a toujours rêvé de mettre la ville sous sa coupe. Un nouvel ordre social régi par la terreur s’installe et la résistance s’organise autour de Dale Barbara, vétéran de l’Irak et chef cuistot fraîchement débarqué en ville…

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— Oui. Un camion renversé.

— Ouais, mais les ordres ont changé. On va de l’autre côté. » Il montra le sud. À l’horizon on voyait s’élever une colonne de fumée noire. « T’as jamais eu envie de voir un avion qui vient de s’écraser ?

— Déjà fait. Pendant mon service, répondit Rusty. Deux types. T’aurais pu étaler ce qu’il en restait sur une tartine. Ça m’a largement suffi, camarade. Ginny m’a dit qu’ils étaient tous morts là-bas, alors…

— Peut-être que oui, peut-être que non. Mais en plus, il est arrivé quelque chose à Perkins et il est peut-être encore en vie, lui.

— Le chef Perkins ?

— En personne. Je pense que le pronostic est mauvais si le pacemaker lui a bien explosé dans la poitrine — c’est ce que prétend Peter Randolph —, mais c’est le patron de la police. Mister Sans-peur-et-sans-reproche.

— Voyons, Twitch, mon vieux. Un pacemaker, ça n’explose pas. C’est parfaitement impossible.

— Alors il est peut-être encore en vie, et on a peut-être une chance de faire quelque chose », répondit Twitch.

Il n’avait pas encore fait le tour du capot qu’il tirait une autre cigarette de son paquet.

« On ne fume pas dans une ambulance », lui fit remarquer Rusty.

Twitch le regarda, l’air sombre.

« Sauf si tu m’en donnes une. »

Twitch soupira et lui tendit le paquet.

« Ah, des Marlboro, dit Rusty. Mes saloperies préférées.

— T’es tuant », dit Twitch.

5

Ils brûlèrent le feu rouge au carrefour entre la 117 et la 119, sirène hurlante, fumant tous deux comme des malades (fenêtres ouvertes, procédure habituelle), écoutant les interventions qui se chevauchaient sur la cibi. Rusty n’y comprenait presque rien, mais une chose, au moins, était claire : il ne serait pas à quatre heures chez lui.

« Vraiment, je ne sais pas ce qui s’est passé, dit Twitch, mais ce qui est sûr et certain, c’est que nous allons sur le site d’un authentique crash. D’accord, on arrive après le crash, mais à cheval donné…

— Twitch, t’es qu’un charognard. »

Il y avait beaucoup de circulation, la plupart des véhicules roulant vers le sud. Parmi tous ces gens, quelques-uns avaient sans doute une bonne raison d’être là, mais Rusty estimait que la majorité étaient autant de mouches humaines attirées par l’odeur du sang. Twitch doubla sans difficulté une file de quatre voitures ; la direction nord de la 119 était étrangement déserte.

« Regarde ! dit Twitch en tendant le bras. Un hélico de la télé ! On va nous voir aux infos de six heures, Big Rusty ! Deux héroïques infirmiers se sont battus pour… »

Mais Twitch n’alla pas plus loin dans la description de son fantasme. Devant eux — sur le site de l’accident, supposa Rusty —, l’hélico fit un crochet. Un instant, le numéro 13 fut lisible sur le flanc de l’appareil à côté du sigle de CBS. Puis il explosa, projetant une pluie de feu dans le ciel sans nuages du début de l’après-midi.

Twitch s’écria : « Bon Dieu, je suis désolé ! J’parlais pas sérieusement ! » Puis, d’un ton enfantin qui fit mal au cœur à Rusty en dépit de l’état de choc dans lequel il était lui-même, l’infirmier ajouta : « Je retire ce que j’ai dit ! »

6

« Faut que j’y retourne », dit Gendron. Il retira sa casquette des Sea Dogs et s’en servit pour essuyer son visage blême à l’expression sévère, couvert de sang. Son nez avait enflé et ressemblait à un pouce géant. Deux cercles noirs entouraient ses yeux. « Je suis désolé, mais mon pif me fait un mal de chien et… puis, je suis plus très jeune… Aussi… » Il leva les bras, les laissa retomber. Les deux hommes se faisaient face et Barbie l’aurait bien serré dans ses bras pour lui donner une tape dans le dos, si cela avait été possible.

« C’est le choc, c’est ça ? » demanda-t-il.

Gendron eut un rire sec. « L’hélico, ç’a été la touche finale. » Ils regardèrent en direction de la nouvelle colonne de fumée.

Barbie et Gendron avaient poursuivi leur exploration, après avoir franchi la 117, non sans s’être assurés auparavant que les témoins se chargeraient de demander de l’aide pour Elsa Andrews, la seule survivante. Au moins n’était-elle pas gravement blessée, même si elle avait manifestement le cœur brisé par la mort de son amie.

« Alors, allez-y. Lentement. Prenez votre temps. Reposez-vous chaque fois qu’il le faudra.

— Et vous, vous continuez ?

— Oui.

— Vous espérez toujours en trouver le bout ? »

Barbie garda quelques instants le silence. Au début, il en avait été sûr. Mais maintenant…

« Oui, je l’espère.

— Alors bonne chance. » Gendron inclina sa casquette vers Barbie avant de la remettre. « J’espère bien vous serrer la main avant la fin de la journée.

— Moi aussi », dit Barbie. Il se tut un instant. Il venait de penser à quelque chose. « Pouvez-vous me rendre un service ?

— Bien sûr.

— Vous allez appeler la base aérienne de Fort Benning. Demandez l’officier de liaison, et qu’il vous mette en rapport avec le colonel James O. Cox. Dites-leur que c’est urgent, que vous appelez de la part du capitaine Dale Barbara. Vous vous en souviendrez ?

— Dale Barbara, c’est vous. James Cox, c’est lui. Pigé.

— Si vous parvenez à le joindre… je n’en suis pas certain, mais si jamais… dites-lui ce qui se passe ici. Dites-lui que si personne n’a encore contacté la Sécurité du territoire, qu’il le fasse. Ça vous paraît possible ? »

Gendron acquiesça. « Si je peux, je le ferai. Bonne chance, soldat. »

Barbie se serait bien passé de se faire appeler de nouveau ainsi, mais il porta un index à son front. Puis il se lança à la recherche de ce qu’il ne croyait plus pouvoir trouver.

7

Barbie déboucha sur un chemin forestier à peu près parallèle à la barrière. Abandonné, envahi de végétation, il était cependant beaucoup plus facile de le suivre que de marcher au milieu des broussailles. De temps en temps il obliquait pour aller vérifier la présence du mur entre Chester’s Mill et le monde extérieur. La barrière était toujours là.

Lorsqu’il arriva à l’endroit où la 119 traversait la limite avec la ville jumelle de Tarker’s Mill, il s’arrêta. Le conducteur du camion de livraison renversé avait été pris en charge par quelque bon Samaritain, de l’autre côté de la barrière, mais le camion lui-même bloquait toujours la route, tel un gros animal crevé. Les portes arrière s’étaient ouvertes sous l’impact. La chaussée était jonchée de sucreries Devil Dog, Ho Ho, Ring Ding, Twinkies et de crackers au beurre de cacahuètes. Un jeune homme en T-shirt de George Strait, assis sur une souche, grignotait un de ces derniers. Il tenait un portable à la main. Il leva les yeux sur Barbie. « Salut. Est-ce que vous venez de… » Il eut un geste vague. Il avait l’air fatigué, inquiet, sans illusions.

« De l’autre côté de la ville, oui.

— Un mur invisible tout le long ? Frontière fermée ?

— Oui. »

Le jeune homme hocha la tête et appuya sur un bouton de son téléphone. « Dusty ? Toujours en ligne ? » Il écouta quelques secondes, puis dit, « OK », et coupa la communication. « Mon copain Dusty et moi, nous nous sommes séparés il y a un moment. Lui est parti vers le sud. On est restés en contact par téléphone. Quand ça veut bien passer. Il est en ce moment là où l’hélicoptère s’est écrasé. Il dit qu’il commence à y avoir du monde. »

Pas étonnant , songea Barbie. « Aucune interruption de ce truc de votre côté ? »

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