Stephen King - Dôme. Tome 2

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Dôme. Tome 2: краткое содержание, описание и аннотация

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Le Dôme : personne n’y entre, personne n’en sort.

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Le journal de son père.

Le journal de son grand-père.

Le journal de son arrière-grand-père.

En cendres.

Elle roula jusqu’à West Street et, arrivée à hauteur du parking abandonné derrière le Globe, elle décida de s’y garer. Elle coupa le moteur, attira Horace contre elle et sanglota cinq bonnes minutes. Exemplaire, le chien supporta tout sans broncher.

Lorsqu’elle eut pleuré, elle se sentit mieux. Plus calme. C’était peut-être un calme dû à son état de choc, mais au moins elle pouvait à nouveau penser. Et ce à quoi elle pensa fut le dernier lot restant de journaux, qui se trouvait dans son coffre. Elle se pencha par-dessus le corgi (qui lui donna un coup de langue amical au passage) et ouvrit la boîte à gants. Elle était encombrée de toutes sortes de choses, mais il lui semblait qu’il devait y avoir… ce n’était pas impossible…

Et tel un don de Dieu, c’était là. Une petite boîte en plastique contenant des épingles, des élastiques, des punaises, des pinces. Les élastiques et les pinces ne lui seraient d’aucune utilité, mais les épingles et les punaises, pour ce qu’elle avait à l’esprit…

« Horace ? Ça te dirait une petite balade ? »

Horace aboya qu’il avait en effet très envie d’une petite balade.

« Bien, moi aussi. »

Elle prit le lot de journaux et revint sur Main Street. Le bâtiment du Democrat n’était plus qu’un monceau de ruines en flammes sur lesquelles les flics déversaient de l’eau ( grâce à ces pompes indiennes qui s’étaient comme par miracle trouvées à portée de main, déjà toutes pleines , pensa-t-elle). Le spectacle lui fit mal au cœur — évidemment — mais c’était plus supportable, maintenant qu’elle avait quelque chose à faire.

Elle remonta la rue, Horace marchant dignement à côté d’elle et, sur chaque poteau de téléphone, elle punaisa un exemplaire du dernier numéro du Democrat . Le titre ÉMEUTE ET MEURTRES AGGRAVENT LA CRISEse détachait à la lueur des flammes. Elle regrettait maintenant de n’avoir pas mis ce seul mot : ATTENTION !

Elle continua jusqu’à ce qu’elle ait épuisé son stock.

13

De l’autre côté de la rue, le talkie-walkie de Peter Randolph émit trois craquements de suite. Urgence. Redoutant ce qu’on allait lui dire, il appuya sur le bouton transmission et dit : « Chef Randolph. J’écoute. »

C’était Freddy Denton, lequel, en tant qu’officier responsable du quart de nuit, se retrouvait de facto chef adjoint. « Je viens d’avoir un appel de l’hôpital, chef. Un double meurtre…

— QUOI ? » hurla Randolph. L’un des nouveaux flics — Mickey Wardlaw — le regarda bouche bée.

Denton continua, d’un ton calme — peut-être suffisant. Si c’était ça, Dieu lui vienne en aide. « … et un suicide. L’auteur est cette fille qui disait qu’on l’avait violée. Les victimes sont des nôtres, chef. Georgia Roux et Frank DeLesseps.

— Tu… tu… TE FOUS DE MA GUEULE !

— J’ai envoyé Rupe et Mel Searles sur place, continua Freddy. Le bon côté, c’est que nous n’aurons pas à la mettre au TROU avec Bar…

— Tu aurais dû y aller en personne, Fred. Tu es l’officier senior.

— Dans ce cas, qui serait resté au central ? »

Randolph n’avait pas de réponse à ça. Il supposa qu’il ferait mieux de rappliquer illico au Cathy-Russell.

J’en veux plus, de ce boulot. J’en veux plus du tout.

Mais c’était trop tard. Et avec Big Jim pour l’aider, il y arriverait. C’était à cette idée qu’il fallait s’accrocher ; Big Jim lui ferait franchir le gué.

Marty Arsenault lui tapa sur l’épaule. Randolph se retourna et faillit l’assommer. Arsenault n’y fit pas attention ; il regardait l’autre côté de la rue. Julia promenait son chien. Elle promenait son chien et elle… elle faisait quoi ?

Elle placardait un journal, voilà ce qu’elle faisait. Elle le punaisait sur les poteaux téléphoniques.

« Cette salope va jamais laisser tomber, marmonna Randolph.

— Tu veux que j’aille l’arrêter ? » demanda Arsenault.

L’homme semblait en avoir envie et Randolph faillit le laisser faire. Puis il secoua la tête. « Elle va juste se mettre à te baratiner sur ses foutus droits civiques et tout le bazar. Comme si elle ne se rendait pas compte que flanquer une frousse d’enfer à tout le monde n’est pas exactement dans l’intérêt de la ville. » Il secoua de nouveau la tête. « Probable qu’elle s’en rend pas compte, oui. Elle est incroyablement… » Il y avait un mot pour ce qu’elle était, un mot français qu’il avait appris au lycée. Il ne s’attendait pas à ce qu’il lui revienne à l’esprit et pourtant, si : « … incroyablement naïve .

— Je vais l’arrêter, chef, pas de problème. Qu’est-ce qu’elle va faire, appeler son avocat ?

— Non. Qu’elle s’amuse un peu. Au moins, comme ça, on l’a pas sur le dos. Je ferais mieux d’aller à l’hôpital. Denton dit que la fille Bushey a assassiné Frank DeLesseps et Georgia Roux. Puis qu’elle s’est suicidée.

— Bordel », murmura Marty en se décomposant. C’est aussi en rapport avec Barbara, tu crois ? »

Randolph faillit répondre que non, puis réfléchit. Il venait de penser aux accusations de viol lancées par la fille. Son suicide leur donnait un accent de vérité et si jamais la rumeur courait que des membres de la police de Chester’s Mill avaient commis un tel acte, ce serait mauvais pour le moral du poste, et donc pour la ville. Cela, il n’avait pas besoin de Jim Rennie pour le lui dire.

« Je sais pas. Mais c’est possible. »

Les yeux de Marty étaient embués — la fumée, ou le chagrin. Les deux, peut-être. « Faut mettre Big Jim au courant de ce truc, Pete.

— Je vais le faire. En attendant (Randolph eut un mouvement de tête vers Julia), garde un œil sur elle et quand elle en aura marre et sera partie, récupère toutes ces merdes et remets-les à leur place (cette fois-ci, il indiqua le brasier qui restait de ce qui le matin même était encore un journal). La merde avec la merde. »

Marty ricana. « Bien compris, patron. »

Et c’est exactement ce que fit l’officier Arsenault. Mais pas avant que plusieurs citoyens de la ville n’aient eu le temps de décrocher un certain nombre de journaux pour les examiner dans un endroit bien éclairé — une demi-douzaine, peut-être dix. Ils passèrent de main en main au cours des deux ou trois jours suivants, et furent lus jusqu’à ce qu’à être pratiquement en lambeaux.

14

Lorsque Andy arriva à l’hôpital, Piper Libby s’y trouvait déjà. Assise sur l’un des bancs du hall d’entrée, elle parlait avec deux jeunes filles portant les pantalons de nylon et les blouses blanches d’infirmière… même si Andy trouva qu’elles avaient l’air bien trop jeunes pour ça. Toutes deux avaient pleuré et avaient l’air d’être sur le point de recommencer, mais il était clair, se rendit-il compte, que la révérende Libby avait un effet apaisant sur elles. Il n’avait jamais eu de problèmes pour ce qui était d’évaluer les émotions humaines. Parfois, il regrettait de ne pas être plus doué pour le côté intellectuel des choses.

Ginny Tomlinson se tenait à côté, s’entretenant d’un ton calme avec un type d’un certain âge. Ils donnaient l’impression d’être sonnés. Ginny vit Andy et se dirigea vers lui, suivie par le type d’un certain âge. Elle dit qu’il s’appelait Thurston Marshall et expliqua qu’il leur donnait un coup de main.

Andy adressa un grand sourire au nouveau venu et lui serra chaleureusement la main. « Heureux de faire votre connaissance, Thurston. Moi, c’est Andy Sanders. Premier conseiller. »

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