Stephen King - Dôme. Tome 2
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- Название:Dôme. Tome 2
- Автор:
- Издательство:Editions Albin Michel
- Жанр:
- Год:2011
- Город:Paris
- ISBN:978-2-226-22437-8
- Рейтинг книги:5 / 5. Голосов: 1
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— C’est vrai, confirma Alice de sa petite voix flûtée. On peut dire merde et pisse tant qu’on veut, au moins tant que maman sera pas revenue.
— Mais pas salope, intervint Aidan. Salope, c’est interdit. »
Carolyn ne prit pas garde à cet aparté. « Thurston ? Qu’est-ce qui s’est passé ?
— Pas devant les enfants, répondit-il. Liberté de langage ou pas.
— Les parents de Frank ne sont pas à Chester’s Mill, dit Twitch, mais j’ai pu entrer en contact avec Hélène Roux. Elle l’a pris avec calme.
— Ivre ? demanda Andy.
— Saoule comme une grive. »
Andy s’avança de quelques pas dans le couloir. Un petit groupe de patients, en tenue d’hôpital, lui tournait le dos. Regardant la scène de crime, supposa-t-il. Il n’avait aucune envie d’en faire autant et fut soulagé que Dougie Twitchell se soit occupé de tout. Il était pharmacien et politicien, lui. Son boulot était d’aider les vivants, pas de régler le sort des morts. Et il savait quelque chose que ces gens ignoraient. Pas question de leur révéler que Phil Bushey se trouvait encore sur le territoire de la commune, vivant comme un ermite à la station de radio, mais il pouvait aller lui dire que sa femme était morte. Il le pouvait et il le devait. Évidemment, il était impossible de prévoir ce que serait la réaction de Phil Bushey. Phil n’était plus lui-même, depuis quelque temps. Il risquait de devenir agressif. Il risquait même de tuer le messager. Mais est-ce que ce serait si affreux ? Les suicidés allaient peut-être en enfer manger des charbons ardents pour l’éternité, mais les victimes de meurtre, Andy en était convaincu, allaient au ciel et dînaient de rôti de bœuf et de jus de pêche à la table du Seigneur, aussi pour l’éternité.
Avec ceux qu’ils aimaient.
15
En dépit de la sieste qu’elle avait faite un peu plus tôt, jamais Julia ne s’était sentie aussi fatiguée de toute sa vie. Et à moins d’accepter l’offre de Rosie, elle n’avait nulle part où aller. Il ne lui restait que sa voiture.
Elle y retourna, enleva sa laisse à Horace pour qu’il puisse sauter sur le siège passager, puis s’assit derrière le volant. Essayant de réfléchir. Elle aimait beaucoup Rose Twitchell, mais celle-ci allait vouloir passer en revue toute cette longue et éprouvante journée. Sans compter qu’elle voudrait aussi certainement savoir ce qui pouvait être fait pour venir en aide à Dale Barbara. Elle espérait que Julia aurait des idées, mais Julia n’en avait aucune.
Pendant ce temps, Horace la regardait, lui demandant la suite du programme de ses oreilles dressées et de ses yeux brillants. Il lui fit penser à la femme qui avait perdu son chien, Piper Libby. Piper l’accueillerait chez elle et lui donnerait un lit sans la saouler de paroles. Et, après une bonne nuit de sommeil, Julia serait peut-être capable de penser à nouveau. Voire d’amorcer un projet.
Elle démarra la Prius et se rendit jusqu’à la Congo. Le presbytère était plongé dans l’obscurité ; il y avait un mot punaisé à la porte. Julia le décrocha, retourna à sa voiture et le déchiffra à la lumière du plafonnier.
Je suis partie pour l’hôpital. Il y a eu une fusillade là-bas.
Julia recommença à pousser son gémissement mais, lorsque Horace se mit à en faire autant, comme pour se mettre à l’unisson, elle se força à s’arrêter. Elle passa en marche arrière, puis revint au point mort, le temps d’aller remettre la note là où elle l’avait trouvée, au cas où un autre paroissien, portant lui aussi le poids du monde sur ses épaules, viendrait faire appel au dernier conseiller spirituel de Chester’s Mill.
Et maintenant, où ? Chez Rosie, finalement ? Mais Rosie s’était peut-être déjà couchée. L’hôpital ? Julia se serait forcée à s’y rendre, en dépit de son état de choc et de sa fatigue, si cela avait servi à quelque chose ; sauf qu’elle n’avait plus de journal dans lequel rapporter ce qui s’y était passé et donc plus de raison de se confronter à une nouvelle rafale d’horreurs.
Elle sortit à reculons de l’allée et se dirigea vers la place principale sans savoir pourquoi, jusqu’au moment où elle arriva à la hauteur de Prestile Street. Trois minutes plus tard, elle se garait dans l’allée d’Andrea Grinnell. Pourtant, la maison était elle aussi plongée dans l’obscurité. Personne ne répondit à ses coups discrets. N’ayant aucun moyen de savoir qu’Andrea était au premier, dans son lit, profondément endormie pour la première fois depuis qu’elle avait balancé toutes ses pilules, Julia supposa qu’elle s’était rendue chez son frère Dougie, ou bien qu’elle passait la nuit chez une amie.
Horace, assis sur le paillasson, levait les yeux vers elle, l’air d’attendre qu’elle prenne les choses en main, comme elle l’avait toujours fait. Mais elle se sentait trop fatiguée pour prendre les choses en main, pour aller plus loin. Elle était à peu près certaine qu’elle allait se retrouver dans le fossé et les tuer tous les deux si elle se remettait au volant de la Prius.
La pensée qui la harcelait n’était pas le souvenir du bâtiment où toute sa vie avait été réduite en cendres, mais la réaction qu’avait eue le colonel Cox quand elle lui avait demandé si on les avait abandonnés.
Négatif , avait-il répondu. Absolument pas . Si ce n’est qu’il n’avait pas été capable de la regarder dans les yeux en disant cela.
Il y avait un fauteuil de jardin sur le porche. Si nécessaire, elle pouvait s’y lover… Mais peut-être…
Elle essaya la poignée de la porte. C’était ouvert. Elle hésita ; pas Horace. Assuré qu’il était d’être toujours bienvenu partout, il entra immédiatement. Julia le suivit, en se disant, C’est mon chien qui prend les décisions maintenant. Voilà à quoi j’en suis réduite .
« Andrea ? appela-t-elle doucement. Andi ? Vous êtes là ? C’est Julia. »
Au premier, allongée sur le dos et ronflant tel un chauffeur de poids lourds après quatre jours de route, Andrea bougea un seul membre : son pied gauche, qui n’avait pas encore renoncé à gigoter sous l’effet du sevrage.
Il faisait sombre, dans le séjour, mais le noir n’était pas complet ; Andrea avait laissé une veilleuse allumée dans la cuisine. Et il y avait une odeur. Les fenêtres étaient ouvertes, mais, en l’absence de toute brise, les relents de vomi persistaient encore. Ne lui avait-on pas dit qu’Andrea était souffrante ? Qu’elle avait la grippe, peut-être ?
C’est peut-être la grippe, mais cela pourrait être tout aussi bien l’effet du sevrage, si elle est à court de pilules.
Que ce fût l’un ou l’autre, la maladie était la maladie, et les gens malades, en règle générale, n’aiment pas rester seuls. Ce qui signifiait pour Julia que la maison était vide. Et elle était tellement fatiguée. Il y avait un superbe canapé, très long, de l’autre côté de la pièce, qui lui tendait les bras. Si Andrea revenait demain matin et la trouvait là, elle comprendrait.
Elle me préparera même une tasse de thé, peut-être. Nous en rirons. Bien que l’idée de rire de quoi que ce soit, aujourd’hui ou plus tard, lui parût tout à fait impensable en ce moment. « Allez viens, Horace. »
Elle défit la laisse et traversa la pièce d’un pas fatigué. Horace continua de la regarder jusqu’à ce qu’elle se soit installée, un coussin moelleux sous la tête. Il s’allongea alors à son tour, le museau sur la patte.
« Sois bien sage », lui dit-elle. Et elle ferma les yeux. Ce qu’elle vit alors, ce fut ceux de Cox qui ne regardaient pas tout à fait dans les siens. Parce que Cox pensait qu’ils étaient prisonniers du Dôme pour longtemps.
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