Stephen King - Dôme. Tome 2
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- Название:Dôme. Tome 2
- Автор:
- Издательство:Editions Albin Michel
- Жанр:
- Год:2011
- Город:Paris
- ISBN:978-2-226-22437-8
- Рейтинг книги:5 / 5. Голосов: 1
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Depuis son banc, Piper se tourna vers lui. « Si vous étiez vraiment premier conseiller, Andy, vous feriez rentrer votre deuxième conseiller dans le rang.
— Nous venons de vivre quelques journées difficiles, répondit Andy sans se départir de son sourire. Comme tout le monde. »
Piper continua à le dévisager avec une froideur singulière, puis se tourna vers les deux jeunes filles et leur demanda si elles ne voulaient pas venir avec elle à la cafétéria pour un thé. « Moi, j’en prendrais bien un.
— Je l’ai appelée tout de suite après vous », dit Ginny, un peu sur un ton d’excuse, lorsque Piper fut partie avec les deux jeunes infirmières. Et j’ai appelé la police. J’ai eu Fred Denton. »
Elle plissa le nez comme si elle sentait une mauvaise odeur.
« Voyons, Freddy est un bon gars », répondit Andy. Mais le cœur n’y était pas — son cœur lui donnait l’impression qu’il était toujours assis sur le lit de Dale Barbara, sur le point de boire l’eau rose empoisonnée — les vieilles habitudes avaient néanmoins repris le dessus sans à-coups. L’envie d’arranger les choses, d’apaiser les eaux troublées, tout cela c’était comme savoir monter à bicyclette. « Racontez-moi ce qui s’est passé. »
Ce qu’elle fit. Andy l’écouta avec un calme surprenant, si l’on songeait qu’il connaissait depuis toujours la famille DeLesseps et qu’il était sorti autrefois avec la mère de Georgia Roux (Hélène embrassait bouche ouverte, ce qui était chouette, mais avait mauvaise haleine, ce qui ne l’était pas). Lui-même pensa que sa placidité émotionnelle avait tout à voir avec le fait que si son téléphone n’avait pas sonné, il serait inconscient à l’heure actuelle. Ou peut-être mort. Voilà qui met le monde en perspective.
« Deux de nos officiers récemment nommés », dit-il. Il avait lui-même l’impression de parler comme les répondeurs automatiques des salles de cinéma vous donnant les horaires des films. « Et l’un d’eux déjà gravement blessé en essayant de contrôler l’émeute du supermarché. Mon Dieu, mon Dieu…
— Ce n’est peut-être pas le moment de vous le dire, mais je ne suis pas un très grand fan de votre poste de police, dit Thurston. Même si porter plainte pour les coups de poing que m’a donnés celui qui est mort est évidemment aujourd’hui sans objet.
— Quel officier ? Frank, ou la fille Roux ?
— Le jeune homme. Je l’ai reconnu en dépit de… en dépit de son visage défiguré.
— Frank DeLesseps vous a frappé ? »
Andy n’arrivait tout simplement pas à y croire. Frankie avait déposé chez lui, pendant quatre ans, un exemplaire du Lewiston Sun sans jamais manquer un jour. Oui, bon, un ou deux, maintenant qu’il y pensait, mais c’était à cause de grosses tempêtes de neige. Et une fois, il avait eu la rougeole. Ou les oreillons ?
« Si c’est bien son nom.
— Eh bien… diable… c’est… » Qu’est-ce que c’était ? Et est-ce que c’était important ? Y avait-il quelque chose d’important ? Cependant, Andy continua à jouer sportivement le jeu : « C’est regrettable, monsieur. Nous considérons, à Chester’s Mill, qu’il faut savoir prendre ses responsabilités. Qu’il faut faire son devoir. Sauf qu’en ce moment, nous avons plus ou moins le pistolet sur la tempe. Les circonstances dépassent notre contrôle, vous savez.
— Je le sais tout à fait, répondit Thurston. En ce qui me concerne, cette affaire est de l’histoire ancienne. Mais, monsieur… ces officiers sont terriblement jeunes. Et très indisciplinés. » Il marqua une pause. « La personne avec qui j’étais a également été agressée. »
Décidément, Andy ne pouvait tout simplement pas croire que ce type lui disait la vérité. Les flics de Chester’s Mill ne faisaient pas de mal aux gens, ou alors il fallait qu’on les provoque — et pas qu’un peu. Ces brutalités étaient réservées aux grandes villes, là où les gens ne savent pas se conduire. Bien entendu, il aurait aussi affirmé qu’une jeune femme tuant deux flics pour se suicider ensuite était le genre d’évènement qui ne se produisait jamais à Chester’s Mill.
Laisse tomber , se dit Andy. Il n’est pas d’ici, il n’est même pas de l’État. C’est sans doute pour ça .
Ginny intervint alors : « À présent que vous êtes ici, Andy, je ne sais pas trop ce que nous devons faire. Twitch s’occupe des corps, et… »
Mais avant qu’elle aille plus loin, la porte s’ouvrit. Une jeune femme entra, tenant deux enfants à l’air endormi par la main. Le vieux type — Thurston — l’embrassa sous les yeux des gosses, un garçon et une fille. Ils étaient pieds nus et portaient des T-shirts en guise de chemises de nuit. On lisait sur celui du garçon, qui lui tombait jusqu’aux chevilles, PRISONNIER 9091 et PROPRIÉTÉ DE LA PRISON D’ÉTAT DE SHAWSHANK. La fille de Thurston et ses petits-enfants, sans doute, supposa Andy, et Claudie et Dodee se mirent soudain à lui manquer terriblement. Il repoussa cette vague d’émotion. Ginny lui avait demandé de l’aide et en avait clairement besoin. Ce qui signifiait sans aucun doute qu’il allait devoir l’écouter lui raconter toute l’histoire une seconde fois — non pour son bénéfice à lui, mais pour elle. Pour qu’elle puisse en prendre toute la mesure et commencer à la digérer. Ça ne gênait pas Andy. Il avait toujours eu le don pour écouter, et c’était beaucoup mieux que de contempler trois cadavres dont l’un était celui de son ex-livreur de journaux. C’était tellement simple d’écouter, quand on y pensait, même un parfait imbécile pouvait écouter, mais c’était une chose que Big Jim n’avait jamais su faire. Big Jim était meilleur pour parler. Et pour dresser des plans — ça aussi. Ils avaient de la chance de l’avoir, par les temps qui couraient.
Tandis que Ginny lui racontait l’histoire une seconde fois, une idée vint à Andy. Une idée importante : « Est-ce que quelqu’un… »
Mais Thurston revenait avec les nouveaux venus. « Conseiller Sanders… euh, Andy, voici ma compagne, Carolyn Sturges. Et ces deux-là sont des enfants dont nous nous occupons. Alice et Aidan.
— Je veux mon biberon, réclama Aidan d’un ton morose.
— Tu es trop grand pour le biberon », lui répondit Alice en lui donnant un coup de coude.
Le visage du petit garçon se tordit en une grimace, mais il ne pleura pas vraiment.
« Alice, dit Carolyn Sturges, c’est méchant. Et qu’est-ce qu’on dit des gens méchants ? »
Le visage d’Alice s’éclaira. « Les gens méchants nous gonflent ! » s’écria-t-elle, et elle pouffa de rire. Après un instant d’hésitation, Aidan se joignit à elle.
« Je suis désolée, dit Carolyn à Andy. Je n’avais personne pour les surveiller et Thurston avait l’air tellement déprimé quand il m’a appelée… »
C’était dur à croire, mais on aurait bien dit que le vieux type faisait frotti-frotta avec cette jeune femme. Cette idée ne suscita que peu d’intérêt dans l’esprit d’Andy qui, en d’autres circonstances, aurait pu s’y attarder plus longtemps, imaginant les positions, se demandant si elle le suçait avec cette jolie bouche pulpeuse, etc. Pour l’instant, il avait d’autres choses en tête.
« Est-ce que quelqu’un a averti le mari de Sammy qu’elle était morte ? demanda-t-il.
— Phil Bushey ? » La question avait été lancée par Dougie Twitchell, qui venait d’apparaître à l’accueil. Il se tenait les épaules voûtées et son teint était grisâtre. « Ce fils de pute l’a abandonnée et a quitté la ville. Ça fait des mois. » Ses yeux se portèrent sur Alice et Aidan. « Désolé, les enfants.
— Pas de problème, dit Caro. Nous sommes pour la liberté de langage, chez nous. C’est plus honnête.
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