Stephen King - Dôme. Tome 2
Здесь есть возможность читать онлайн «Stephen King - Dôme. Tome 2» весь текст электронной книги совершенно бесплатно (целиком полную версию без сокращений). В некоторых случаях можно слушать аудио, скачать через торрент в формате fb2 и присутствует краткое содержание. Город: Paris, Год выпуска: 2011, ISBN: 2011, Издательство: Editions Albin Michel, Жанр: Фантастика и фэнтези, Триллер, Ужасы и Мистика, на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале библиотеки ЛибКат.
- Название:Dôme. Tome 2
- Автор:
- Издательство:Editions Albin Michel
- Жанр:
- Год:2011
- Город:Paris
- ISBN:978-2-226-22437-8
- Рейтинг книги:5 / 5. Голосов: 1
-
Избранное:Добавить в избранное
- Отзывы:
-
Ваша оценка:
- 100
- 1
- 2
- 3
- 4
- 5
Dôme. Tome 2: краткое содержание, описание и аннотация
Предлагаем к чтению аннотацию, описание, краткое содержание или предисловие (зависит от того, что написал сам автор книги «Dôme. Tome 2»). Если вы не нашли необходимую информацию о книге — напишите в комментариях, мы постараемся отыскать её.
Dôme. Tome 2 — читать онлайн бесплатно полную книгу (весь текст) целиком
Ниже представлен текст книги, разбитый по страницам. Система сохранения места последней прочитанной страницы, позволяет с удобством читать онлайн бесплатно книгу «Dôme. Tome 2», без необходимости каждый раз заново искать на чём Вы остановились. Поставьте закладку, и сможете в любой момент перейти на страницу, на которой закончили чтение.
Интервал:
Закладка:
Frank n’avait toujours pas sorti son pistolet. Dans sa peur et sa confusion, il tirait sur l’étui et non pas sur l’arme, ne réussissant qu’à faire remonter le ceinturon. Sammy s’avança de deux pas vers lui, étreignit le pistolet à deux mains comme elle avait vu qu’on s’y prenait à la télé, et fit de nouveau feu. La partie gauche de la figure de Frank se détacha. Un débris scalpé heurta le mur et y resta collé. Il porta vivement la main à sa blessure. Du sang jaillit entre ses doigts. Puis ceux-ci disparurent, s’enfonçant dans le magma spongieux qu’il y avait à la place de l’os du crâne.
« Ça suffit ! » cria-t-il. Ses yeux étaient exorbités, noyés de larmes. « Ça suffit ! Ça suffit ! Me fais pas mal ! » Puis : « Maman ! MAMAN !
— Oublie ta mère, elle t’a mal élevé », répliqua Sammy avant de tirer une troisième fois, l’atteignant à la poitrine.
Il fut projeté contre le mur. Sa main gauche retomba sur le plancher ; des éclaboussures de sang jaillirent de la flaque qui s’y était déjà formée. Elle tira une quatrième fois. Puis elle se tourna vers la fille qui gisait sur le lit.
Georgia s’était recroquevillée en boule. Le moniteur bipait comme un forcené au-dessus d’elle, probablement à cause des fils qui s’étaient détachés. Ses cheveux lui pendaient sur les yeux. Elle poussait hurlement sur hurlement.
« C’est pas ce que t’as dit ? demanda Sammy. “Baise-moi cette salope”, c’est ça ?
— Uis ’é-olée !
— Quoi ? »
Georgia essaya de nouveau. « Suis ’ésolée ! Suis ’ésolée, Hammy ! » Puis, ultime absurdité : « E le ’eti’e !
— Quoi ? Tu le retires ? Tu peux pas. »
Sammy lui tira une première balle en pleine figure, puis une autre dans le cou. Georgia sursauta comme avait sursauté Frank et ne bougea plus.
Sammy entendit courir et crier dans le couloir. Des cris endormis provenaient aussi des autres chambres. Elle était navrée d’avoir provoqué tout ce désordre, mais parfois, on n’avait pas le choix. Parfois, il fallait faire certaines choses. Et une fois qu’elles étaient faites, on pouvait avoir la paix.
Elle porta l’arme à sa tempe.
« Je t’aime, Little Walter. Maman aime son petit garçon. »
Et elle appuya sur la détente.
8
Rusty emprunta West Street pour contourner l’incendie, puis revint sur le bas de Main Street à hauteur du carrefour avec la 117. Le salon funéraire Bowie était plongé dans le noir ; seules de fausses bougies électriques vacillaient dans les vitrines de la façade. Rusty se rendit dans le petit parking, comme le lui avait demandé sa femme, et se gara à côté du corbillard, une longue Cadillac grise. Quelque part dans le secteur, un générateur haletait.
Il tendait la main pour ouvrir sa portière lorsque son téléphone sonna. Il le coupa sans même regarder qui appelait et, quand il releva la tête, un flic se tenait à côté de la vitre. Un flic avec son arme à la main.
C’était une femme. Quand elle se pencha, Rusty vit un nuage exubérant de cheveux blonds frisottés — et il eut enfin un visage à associer au nom qu’avait mentionné Linda. La réceptionniste et dispatcher du poste de police, de service en journée. Il supposa qu’elle avait dû devenir flic à plein temps le Jour du Dôme, ou juste après. Supposa aussi qu’elle avait décidé toute seule de sa mission actuelle.
Elle rengaina son arme. « Hé, Dr Rusty. Stacey Moggin. Vous m’avez soignée, il y a deux ans ; je m’étais assise sur du sumac vénéneux. Vous savez, j’en avais plein les… » Elle se tapota les fesses.
« Oui, je m’en souviens. C’est agréable de vous voir avec votre pantalon remonté, Ms Moggin. »
Elle rit comme elle venait de parler : doucement. « J’espère que je ne vous ai pas fait peur.
— Si, un peu. J’étais en train de couper mon téléphone, et tout d’un coup, vous étiez là.
— Désolée. Venez à l’intérieur. Linda vous attend. Nous n’avons pas beaucoup de temps. Je vais faire le guet. J’enverrai un double clic sur le talkie-walkie de Linda si quelqu’un arrive. Si ce sont les Bowie, ils se gareront dans le parking latéral et nous pourrons nous éclipser par East Street sans être vus. » Elle inclina légèrement la tête de côté. « Bon, d’accord, c’est un poil optimiste, mais au moins sans être identifiés. Avec un peu de chance. »
Rusty la suivit, gardant le cap sur la balise de cheveux blonds frisottés. « Vous êtes entrée par effraction, Stacey ?
— Bon sang, non. On a la clef, à la Casa Flicos. Nous avons des doubles des clefs de la plupart des commerces de Main Street.
— Et comment se fait-il que vous soyez avec nous ?
— Parce que ce ne sont que des conneries induites par la peur. Duke Perkins y aurait mis le holà depuis longtemps. Bon, venez. Et faites vite.
— Je ne peux pas vous le promettre. En fait, je ne peux rien promettre. Je ne suis pas médecin légiste.
— Aussi vite que possible, alors. »
Rusty la suivit à l’intérieur. L’instant d’après, Linda refermait ses bras sur lui.
9
Harriet Bigelow poussa deux cris, puis s’évanouit. Gina Buffalino resta figée, le regard fixe, presque vitreux. « Faites sortir Gina de là », lança sèchement Thurston. Il n’avait pas été plus loin que le parking : en entendant les coups de feu, il était revenu au pas de course. Pour trouver quoi ? Un massacre.
Ginny passa un bras autour des épaules de Gina et la ramena dans le hall où les patients en état de marcher — soit Bill Allnut et Tansy Freeman — s’étaient retrouvés, apeurés, ouvrant de grands yeux.
« Sortez-moi aussi celle-là du chemin, ajouta Thurston à l’intention de Twitch en lui montrant Harriet. Et rabattez sa jupe pour ménager la pudeur de cette pauvre petite. »
Twitch obtempéra. Lorsqu’il retourna dans la chambre avec Ginny, il trouva Thurston agenouillé à côté du corps de Frank DeLesseps, mort parce qu’il était venu à la place du petit ami de Georgia et était resté après les heures de visite. Des coquelicots sanglants fleurissaient déjà sur le drap que Thurston avait rabattu sur le corps de Georgia.
« Est-ce qu’on peut faire quelque chose, docteur ? » demanda Ginny. Elle savait que l’homme n’était pas médecin, mais sous le choc, elle l’avait spontanément appelé ainsi. Elle regardait le corps de Frank, une main sur la bouche.
« Oui. » Thurston se releva et ses genoux osseux craquèrent comme des coups de pistolet. « Appelez la police. C’est une scène de crime.
— Tous ceux qui sont en service doivent combattre l’incendie, objecta Twitch. Ceux qui ne le sont pas sont en train de rejoindre les autres ou dorment, le téléphone coupé.
— Eh bien, appelez quelqu’un , pour l’amour du ciel ! Et essayez de savoir si nous sommes supposés faire quelque chose avant de nettoyer ce… ce carnage. Prendre des photos, ou je ne sais quoi. Même s’il n’y a guère de doutes sur ce qui s’est passé. Je vous prie de m’excuser une minute. Faut que j’aille vomir. »
Ginny s’effaça pour que Thurston puisse entrer dans les minuscules toilettes de la chambre. Il referma la porte, mais les bruits qu’il émettait résonnaient dans la pièce — on aurait dit un moteur rétif essayant de démarrer.
Ginny sentit soudain une vague de faiblesse envahir sa tête, lui donnant l’impression d’être soulevée et de devenir trop légère. Elle lutta contre la sensation. Quand elle regarda de nouveau Twitch, il refermait son portable. « Pas de réponse de Rusty, dit-il. J’ai laissé un message. Personne d’autre ? Rennie, peut-être ?
Читать дальшеИнтервал:
Закладка:
Похожие книги на «Dôme. Tome 2»
Представляем Вашему вниманию похожие книги на «Dôme. Tome 2» списком для выбора. Мы отобрали схожую по названию и смыслу литературу в надежде предоставить читателям больше вариантов отыскать новые, интересные, ещё непрочитанные произведения.
Обсуждение, отзывы о книге «Dôme. Tome 2» и просто собственные мнения читателей. Оставьте ваши комментарии, напишите, что Вы думаете о произведении, его смысле или главных героях. Укажите что конкретно понравилось, а что нет, и почему Вы так считаете.