Stephen King - Dôme. Tome 2
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- Название:Dôme. Tome 2
- Автор:
- Издательство:Editions Albin Michel
- Жанр:
- Год:2011
- Город:Paris
- ISBN:978-2-226-22437-8
- Рейтинг книги:5 / 5. Голосов: 1
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Il prononça Boucher , mais Sammy ne prit pas la peine de le corriger. « Oui, docteur », répondit-elle.
Thurston, lui non plus, ne prit pas la peine de la corriger. Cette joie indéfinissable — celle qui montait avec des larmes cachées dedans — lui gonfla de nouveau le cœur. Et dire qu’il avait failli ne pas se porter volontaire ! Si Caro ne l’avait pas encouragé… il aurait manqué cela.
« Le Dr Rusty sera content de voir que vous êtes revenue. Comme Walter. Avez-vous besoin d’un antidouleur ?
— Non. » C’était vrai.
Ses parties intimes lui faisaient encore mal, mais la douleur restait lointaine. Elle avait l’impression de flotter au-dessus d’elle-même, reliée à la terre par le plus mince des fils.
« Parfait. Cela veut dire que vous allez mieux.
— Oui, répondit Sammy. Bientôt, je me sentirai même bien.
— Quand vous aurez fini de le nourrir, mettez-vous au lit, hein ? Le Dr Rusty passera vous examiner demain matin.
— Très bien.
— Bonne nuit, Ms Boucher.
— Bonne nuit, docteur. »
Thurston referma doucement la porte et poursuivit son chemin dans le couloir. Tout au bout, se trouvait la chambre de la fille Roux. Un coup d’œil, et il aurait terminé.
Elle était hébétée mais réveillée. Le jeune homme qui était venu lui rendre visite, non. Il dormait dans un coin, sur le seul siège de la chambre, une revue sportive sur les genoux, ses longues jambes tendues devant lui.
Georgia fit signe à Thurston d’approcher et, lorsqu’il se pencha vers elle, elle lui murmura quelque chose. Elle avait parlé à voix basse, ce qui (s’ajoutant au fait qu’elle avait la bouche en capilotade et presque complètement édentée) l’empêcha de comprendre plus d’un ou deux mots. Il se pencha un peu plus.
« Eu éveillez pas. » On aurait dit Homer Simpson. « C’est ce-ui qu’est ’nu me endre isite. »
Thurston répondit d’un hochement de tête. Les heures de visites étaient dépassées depuis longtemps, bien entendu, et vu qu’il portait une chemise bleue et une arme de poing au côté, le jeune homme allait se faire sonner les cloches pour ne pas avoir réagi à l’alarme incendie — mais qu’est-ce que ça pouvait faire ? Un combattant du feu en plus ou en moins ne changerait sans doute pas grand-chose ; de plus, pour ne pas avoir été réveillé par la sirène, il fallait qu’il soit plongé dans un sommeil sacrément profond et il n’aurait sans doute pas été d’une grande efficacité. Thurston porta un doigt à ses lèvres et accompagna son geste d’un chut complice. Elle essaya de sourire, mais grimaça.
Thurston ne lui proposa cependant pas d’antidouleur ; d’après le tableau au bout de son lit, Georgia Roux ne pouvait rien prendre avant deux heures du matin. Il sortit donc, referma une fois de plus la porte doucement derrière lui, et revint le long du couloir endormi. Il ne remarqua pas que la porte avec BÉBÉ À BORD était une fois de plus entrouverte.
Le canapé de la salle du personnel lui fit de l’œil quand il passa, mais Thurston avait définitivement décidé de retourner sur Highland Avenue.
Il avait envie de voir comment allaient les enfants.
4
Sammy resta assise près du lit avec Little Walter dans les bras jusqu’à ce que le nouveau docteur soit repassé. Puis elle embrassa son fils sur les deux joues et la bouche. « Tu es un gentil bébé, dit-elle. Tu retrouveras maman au ciel, si on la laisse entrer. Je crois que oui. Elle a fait son temps en enfer. »
Elle le déposa dans le berceau, puis elle ouvrit le tiroir de la table de nuit. Elle y avait rangé le pistolet pour qu’il ne risque pas de faire mal à Little Walter pendant qu’elle le tenait et lui donnait le sein pour la dernière fois. Elle prit l’arme.
5
Le bas de Main Street était bloqué par des voitures de police nez à nez, jetant leurs éclairs de bandits manchots. Une foule, silencieuse, nullement excitée — presque lugubre — se tenait derrière et regardait.
Horace le corgi était d’ordinaire un chien peu bruyant, limitant son répertoire vocal à une volée d’aboiements d’accueil ou à un jappement occasionnel destiné à rappeler à Julia qu’il existait et qu’il fallait tenir compte de lui. Mais lorsqu’elle se gara devant la Maison des fleurs, il laissa échapper un hurlement bas, rentré, depuis le siège arrière. Julia tendit la main derrière elle à l’aveuglette pour lui caresser la tête. Cherchant autant à trouver du réconfort qu’à en donner.
« Julia ! mon Dieu ! » dit Rose.
Elles descendirent. Julia avait eu l’intention de laisser le chien dans la voiture, mais lorsqu’il émit de nouveau un de ses petits hurlements chargés d’affliction — comme s’il savait, savait vraiment —, elle alla récupérer la laisse sous le siège passager, ouvrit la portière arrière pour qu’il saute à terre et attacha la laisse à son collier. Puis elle prit son appareil photo personnel, un petit Casio de poche, avant de refermer la portière. Les deux femmes se frayèrent un chemin au milieu de la foule des badauds. Horace ouvrait la marche en tirant sur sa laisse.
Rupe, le cousin de Piper Libby, flic à temps partiel qui s’était installé à Chester’s Mill cinq ans auparavant, voulut leur barrer le passage. « Personne ne peut aller plus loin, mesdames.
— C’est chez moi, ici ! Au premier, il y a tout ce que je possède au monde ! En bas, c’est le journal qu’a fondé mon arrière-grand-père. The Democrat n’a sauté une parution que quatre fois en cent vingt ans ! Et maintenant, tout part en fumée ! Si vous voulez m’empêcher d’aller voir ça de plus près, il faudra m’abattre ! »
Rupe parut hésiter, mais lorsqu’elle s’élança à nouveau (Horace à hauteur de ses genoux et levant un regard menaçant vers l’homme et sa calvitie), il s’effaça. Seulement un instant.
« Pas vous, dit-il à Rose.
— Si, moi. À moins que tu aies envie que je mette un laxatif dans ton prochain chocolat froid.
— Madame… Rose… j’ai des ordres.
— Au diable vos ordres », dit Julia avec plus de fatigue que de défi dans la voix.
Elle prit Rose par le bras et l’entraîna le long du trottoir, ne s’arrêtant que lorsqu’elle sentit, sur son visage, la chaleur passer de préchauffage à cuisson.
The Democrat était une fournaise. La douzaine de flics présents n’essayaient même pas d’éteindre le feu, mais ils disposaient d’un bon nombre de pompes indiennes (certaines portant encore une étiquette parfaitement lisible à la lueur de l’incendie : PROFITEZ DES JOURNÉES À BAS PRIX AU BURPEE’S !) et ils en arrosaient la pharmacie et la librairie. Étant donné l’absence de vent, Julia se dit qu’ils devraient pouvoir éviter la propagation aux deux autres commerces… ainsi qu’au reste de la rue, de ce côté de Main Street.
« C’est incroyable qu’ils soient arrivés si vite », commenta Rose.
Julia ne dit rien et se contenta de regarder les flammes monter en grondant dans la nuit, faisant disparaître les étoiles roses. Elle était trop sous le choc pour pleurer.
Tout , pensa-t-elle. Presque tout .
Pete Freeman franchit le barrage de flics occupés à arroser la façade et le côté nord de la pharmacie de Sanders. Son visage était couvert de suie et strié de traînées de larmes.
« Je suis tellement désolé, Julia ! dit-il. On a presque réussi à l’arrêter… on l’avait pratiquement arrêté… mais il y en a eu encore une… la dernière bouteille qu’ont lancée ces fumiers est tombée sur les journaux, à côté de la porte… » Il passa ce qui restait de sa manche sur son visage, ne faisant que se barbouiller un peu plus de suie. « Je suis tellement désolé ! »
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