Stephen King - Dôme. Tome 2
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- Название:Dôme. Tome 2
- Автор:
- Издательство:Editions Albin Michel
- Жанр:
- Год:2011
- Город:Paris
- ISBN:978-2-226-22437-8
- Рейтинг книги:5 / 5. Голосов: 1
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« Qu’est-ce que ça veut dire, chéri ? Qu’est-ce que ça veut dire ?
— Que ce salopard, cet assassin, n’a pas agi tout seul, répondit Johnny. Cela veut dire qu’il a une bande. »
Carrie avait posé la main sur le bras de son mari ; elle l’étreignit, lui enfonçant les ongles dans la peau. Johnny se libéra et courut vers le poste de police, hurlant Au feu ! à pleins poumons. Au lieu de le suivre, Carrie Carver continua à charger le van. L’avenir l’effrayait de plus en plus.
24
En plus de Roger Killian et des frères Bowie, on comptait à présent dix nouveaux officiers dans ce qui était devenu les forces de sécurité locale de Chester’s Mill, assis sur les bancs de touche du gymnase, à la grande école ; Big Jim venait tout juste de commencer son laïus sur les responsabilités qui leur incombaient lorsque se déclencha la sirène d’incendie. Il s’y est pris beaucoup trop tôt , pensa-t-il. Je peux pas compter sur lui pour me donner un coup de main. J’ai jamais pu, mais c’est pire que jamais .
« Eh bien, les gars, dit-il en portant plus particulièrement son attention sur le jeune Mickey Wardlaw — Dieu, quelle brute ! — , j’avais beaucoup d’autres choses à vous expliquer, mais on dirait que nous avons une urgence. Dites-moi, Fern Bowie, savez-vous si nous avons des pompes indiennes dans le baraquement des pompiers ? »
Fern répondit qu’il y avait jeté un coup d’œil un peu plus tôt dans la soirée et qu’il devait y avoir pas loin d’une douzaine de ces pompes, en effet. Toutes remplies, ce qui était bien pratique.
Big Jim, estimant que les sarcasmes devaient être réservés aux gens assez intelligents pour les comprendre, déclara que c’était le Seigneur qui veillait sur eux. Et que s’il ne s’agissait pas d’une fausse alerte, il prendrait le commandement des opérations, secondé par Stewart Bowie.
Et maintenant, espèce de fouinarde, pensa-t-il pendant que les nouveaux officiers, l’œil animé, l’air pressé d’en découdre, se levaient des bancs, dis-moi si ça t’amuse d’avoir fourré ton nez de sorcière dans mes affaires .
25
« Où tu vas ? » demanda Carter. Il avait gagné, tous feux éteints, le carrefour de West Street et de la Route 117. Le bâtiment qui se dressait là était une station-service Texaco qui avait fermé en 2007. Proche de la ville, elle constituait néanmoins une bonne planque, ce qui la rendait bien pratique. De là où ils venaient, la sirène d’incendie s’époumonait et les premières lueurs des flammes, davantage roses qu’orange, s’élevaient vers le ciel.
« Hein ? » fit Junior, perdu dans la contemplation de la lumière. Ça l’excitait sexuellement. Il regretta de ne plus avoir de petite amie.
« Je te demande où tu veux aller. Ton père t’a dit de te trouver un alibi.
— J’ai laissé l’unité 2 derrière la poste, répondit Junior en se détournant à regret du spectacle. J’ai pas quitté Freddy Denton une minute. Freddy dira pareil. Toute la nuit. Je vais prendre un raccourci depuis ici. Je vais peut-être revenir par West Street. Pour voir comment ça a pris. »
Il se mit à pouffer sur un mode aigu, presque comme une fille, et Carter lui adressa un regard perplexe.
« Ouais, eh bien, n’y reste pas trop longtemps. Les incendiaires se font toujours choper parce qu’ils reviennent voir les incendies qu’ils ont allumés. Je l’ai lu dans America’s Most Wanted.
— Sauf qu’il n’y a personne pour porter le Sombrero d’Or sur ce coup, mis à part Baaarbie , répliqua Junior. Et toi ? Où tu vas ?
— Chez moi. Ma mère dira que j’y suis resté toute la soirée. Et je vais lui faire changer le pansement de mon épaule — cette putain de morsure me fait un mal… de chien. Je vais prendre de l’aspirine. Puis je reviendrai pour aider à combattre l’incendie.
— Ils ont des trucs plus forts que l’aspirine au centre de soins et à l’hôpital. Et aussi à la pharmacie. On devrait s’intéresser à ces conneries.
— Sûr, dit Carter.
— Ou bien… tu te shootes ? Je crois que je peux en avoir, de ce truc-là.
— De la méth ? Jamais touché à ça. Mais un peu d’Oxy, je dirais pas non.
— De l’Oxy ! » s’exclama Junior. Pourquoi n’y avait-il jamais pensé ? Voilà qui calmerait probablement ses maux de tête beaucoup mieux que le Zomig ou l’Imitrex. « Ouais, vieux ! T’as bien parlé ! »
Il leva un poing. Carter le heurta, mais il n’avait aucune intention de se shooter avec Junior. Junior était devenu trop bizarre. « Vaudrait mieux y aller, Junior.
— J’suis parti. »
Il ouvrit la portière et s’éloigna, boitant encore légèrement.
Carter constata avec étonnement qu’il était soulagé de voir Junior s’en aller.
26
Barbie s’éveilla au hululement de la sirène et vit Mel Searles qui se tenait juste devant sa cellule. Il avait la braguette ouverte et il tenait son assez considérable engin à la main. Quand il vit qu’il avait l’attention de Barbie, il commença à pisser. Son objectif, manifestement, était la couchette. Comme il ne pouvait y arriver, il se contenta d’éclabousser le béton en dessinant un S approximatif.
« Vas-y, Barbie, rince-toi la dalle, dit-il. Tu dois avoir soif. C’est un peu salé, mais qu’est-ce que t’en as à branler ?
— Qu’est-ce qui brûle ?
— Comme si tu le savais pas », répondit Mel avec un sourire.
Il était toujours pâle — il devait avoir perdu pas mal de sang — mais le bandage qui entourait sa tête était impeccable, sans la moindre tache.
« Fais comme si je savais pas.
— Tes copains ont mis le feu au journal », dit Mel. Barbie prit conscience que le jeune homme était furieux. Et qu’il avait peur. « Pour nous flanquer la frousse et qu’on te relâche. Mais c’est pas ça qui va nous faire peur.
— Mais pourquoi diable aurais-je voulu incendier le journal ? Pourquoi pas l’hôtel de ville, plutôt ? Et qui sont ces prétendus copains que j’aurais ? »
Mel remballait sa queue dans son pantalon. « Tu n’auras pas soif demain, Barbie, t’en fais pas pour ça. Nous avons un seau d’eau plein avec ton nom dessus et une éponge pour aller avec. »
Barbie garda le silence.
« T’as assisté à des petites séances de lessiveuse en Aïe-rak , non ? » Mel acquiesça comme pour s’en convaincre. « Eh bien maintenant, tu vas en avoir une expérience personnelle. » Il pointa un doigt à travers les barreaux. « Nous allons trouver tes acolytes, enfoiré. Et on va trouver pourquoi tu as verrouillé cette ville, pour commencer. La connerie du supplice de l’eau ? Personne ne tient le coup. »
Il commença à s’éloigner, puis se retourna.
« Pas de l’eau douce, non plus. Salée. Premier truc. T’y penses. »
Sur quoi, il partit, marchant d’un pas lourd dans le corridor du sous-sol, tenant baissée sa tête bandée. Barbie s’assit sur sa couchette en regardant le serpent d’urine de Mel sécher sur le sol et écouta la sirène de l’incendie. Il pensa à la fille dans le pick-up. La petite blonde qui avait failli le prendre à bord et qui avait changé d’avis. Il ferma les yeux.
CENDRES
1
Rusty se tenait sur le rond-point, devant l’hôpital, et regardait les flammes qui montaient de quelque part sur Main Street, lorsque le téléphone se mit à jouer sa petite musique à sa ceinture. Twitch et Gina étaient avec lui, Gina tenant le bras de Twitch comme pour se protéger. Ginny Tomlinson et Harriet Bigelow dormaient dans le local réservé au personnel. Le vieux type qui s’était porté volontaire, Thurston Marshall qui s’était montré étonnamment efficace, faisait la tournée des malades. L’électricité était revenue, les appareils fonctionnaient et, pour le moment, les choses étaient à peu près stabilisées. Jusqu’au moment où l’alerte incendie s’était déclenchée, Rusty s’était même autorisé à se sentir bien.
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