Stephen King - Dôme. Tome 2
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- Название:Dôme. Tome 2
- Автор:
- Издательство:Editions Albin Michel
- Жанр:
- Год:2011
- Город:Paris
- ISBN:978-2-226-22437-8
- Рейтинг книги:5 / 5. Голосов: 1
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« J’ai eu le dernier ticket gagnant de la loterie, cette année-là, leur avait dit Jack. Et je l’ai eu avec ça. » Il leur avait montré, dans le meuble vitré, un engin d’aspect terrifiant doté d’une lunette.
Myra était venue se placer dans l’embrasure, en faisant tinter les glaçons dans son verre de café glacé. Jolie, l’air cool et amusé — le genre de femme, Sammy n’en doutait pas, qu’elle ne serait jamais. « Ça coûte un prix fou, mais j’ai accepté qu’il l’achète à condition qu’il m’emmène aux Bermudes pendant une semaine, en décembre prochain. »
« Aux Bermudes, dit Sammy à voix haute en regardant la tête d’orignal. Mais elle n’ira jamais. C’est vraiment trop triste. »
Phil, après avoir glissé l’enveloppe avec l’argent dans sa poche-revolver, avait dit : « Sensationnel, le fusil, mais c’est pas terrible pour se protéger chez soi.
— J’ai aussi pensé à me couvrir de ce côté », avait répondu Jack. Et même s’il n’avait pas montré à Phil en quoi consistait exactement sa couverture, il avait tapoté de manière significative le dessus de son bureau et ajouté : « J’ai deux excellents automatiques là-dedans. »
Phil avait hoché la tête, tout aussi significativement. Sammy et Myra avaient échangé un regard les garçons seront toujours des garçons parfaitement synchrone. Elle se souvenait encore à quel point cette complicité lui avait fait du bien, à quel point elle s’était sentie incluse , et elle supposait qu’elle était venue ici pour cette raison, au lieu d’essayer d’entrer ailleurs, dans une maison plus proche du centre.
Elle s’arrêta, le temps de croquer encore un Percocet, puis commença à fouiller les tiroirs du bureau. Ils n’étaient pas fermés à clef, pas plus que la boîte en bois qu’elle trouva dans le troisième. Elle contenait un Springfield XD calibre 45. Elle le prit et, après avoir un peu cherché, elle éjecta le magasin de l’automatique. Il était plein, et il y avait un deuxième magasin dans le tiroir. Elle le prit aussi. Puis elle retourna dans la cuisine chercher un sac pour tout transporter. Et des clefs aussi. Celles de la voiture qui devait être garée dans le garage de feu Jack et Myra Evans. Elle n’avait aucune envie de retourner en ville à pied.
19
Julia et Rose discutaient de ce que l’avenir pouvait bien réserver à leur ville lorsque leur présent faillit, lui, s’interrompre abruptement. Se serait même interrompu, si Julia avait abordé quelques secondes plus tard le virage du lieu-dit Esty Bend, à environ deux kilomètres de leur destination, quand s’y présenta dans l’autre sens le petit camion. Mais Julia sortit assez tôt du virage pour voir que le camion roulait sur sa voie, droit sur elle.
Elle donna un violent coup de volant à gauche, sans même réfléchir ; la Prius passa sur l’autre voie et les deux véhicules se croisèrent à quelques centimètres. Horace, installé sur le siège arrière et arborant son expression habituelle de ravissement oh-mec-la-belle-balade ! dégringola sur le plancher avec un jappement de surprise. Ce fut le seul bruit. Aucune des deux femmes ne hurla, ne poussa le moindre cri. Les choses s’étaient déroulées trop vite. La mort ou des blessures graves — tout cela passa en un instant et disparut à l’horizon.
Julia revint sur la voie de droite et s’arrêta sur le bas-côté où elle mit le levier de la Prius au point mort. Elle regarda Rose. Rose lui rendit son regard, les yeux écarquillés, bouche bée. À l’arrière, Horace sauta sur le siège et aboya, une seule fois, comme pour demander ce qu’on attendait. Les deux femmes éclatèrent de rire et Rose se tapota la poitrine au-dessus de son balcon avantageux.
« Mon cœur… mon cœur, dit-elle.
— Ouais. Moi aussi. Vous avez vu ça ? À quelques centimètres.
— Vous blaguez ? Si j’avais passé le bras par la fenêtre, ce fils de pute me l’aurait amputé jusqu’au coude ! »
Julia secoua la tête. « Ivre, sans doute.
— Ivre, sans aucun doute, répliqua Rose avec un reniflement.
— Prête à repartir ?
— Et vous ? demanda Rose.
— Oui. Et toi, Horace, qu’est-ce que t’en penses ? »
Horace aboya qu’il était prêt.
« La chance appelle la chance, dit Rose. C’est en tout cas ce que proclamait grand-père Twitchell.
— J’espère qu’il avait raison », conclut Julia.
Elle repartit. Elle surveilla la route, guettant les phares en face, mais les seules lumières qu’elles aperçurent furent, peu après, celles des projecteurs installés côté Harlow du Dôme. Elles ne virent pas Sammy Bushey. Sammy, elle, les vit ; elle se tenait devant le garage des Evans, les clefs de leur Malibu à la main. Lorsque Julia et Rose furent passées, elle souleva la porte (obligée de procéder manuellement, ce qui lui fit terriblement mal) et alla se glisser derrière le volant.
20
Il y avait, entre le grand magasin Burpee’s et le Mill Gas & Grocery, une allée qui reliait Main Street et West Street. Les camions de livraison en étaient les principaux utilisateurs. À neuf heures et quart ce soir-là, Junior Rennie et Carter Thibodeau la remontèrent dans une obscurité presque totale. Carter tenait d’une main un jerrycan rouge avec une bande jaune en diagonale sur le côté sur laquelle on lisait : ESSENCE et de l’autre un porte-voix à piles. Blanc à l’origine, Carter l’avait emmailloté de ruban adhésif noir pour qu’on ne le remarque pas, au cas où des gens regarderaient de leur côté avant qu’ils puissent se fondre dans la pénombre de l’allée.
Junior portait un sac à dos. Il n’avait plus mal à la tête et ne boitait pratiquement plus. Il était sûr que son organisme avait enfin pris le dessus sur le truc, quel qu’il fût, qui l’avait mis dans cet état. Un virus dormant quelconque, peut-être. On attrape toutes sortes de saloperies au collège, et s’être fait virer pour avoir flanqué une raclée à ce gosse était probablement une bénédiction, en fin de compte.
Une fois au bout de l’allée, ils eurent une vue bien dégagée du local du Democrat . Ses fenêtres éclairaient le trottoir désert, et ils voyaient Freeman et Guay se déplacer à l’intérieur, portant des piles de papier qu’ils déposaient près de la porte. La vieille construction en bois qui abritait le journal et l’appartement de Julia s’élevait entre la pharmacie de Sanders et la librairie, mais était séparée des deux par des allées en macadam identiques à celle dans laquelle Carter et lui planquaient, côté pharmacie. Il n’y avait aucun vent, et il pensa que si son père mobilisait ses troupes assez rapidement, il n’y aurait pas de dommages collatéraux. Non qu’il s’en souciât. Tout le côté est de Main Street pouvait brûler, pas de problème pour Junior. Par contre, pour Dale Barbara, le poste de police étant de ce côté-là… Il avait encore l’impression de sentir son regard froid et évaluateur sur lui. Ce n’était pas normal d’être scruté ainsi, en particulier quand celui qui vous scrutait se trouvait derrière les barreaux. Ce con de Baaarbie .
« J’aurais dû le descendre, marmonna Junior.
— Quoi ? demanda Carter.
— Rien. (Il s’essuya le front.) Fait chaud.
— Ouais. Frankie dit que si ça continue, on va tous finir confits comme des pruneaux. À quelle heure on doit opérer ? »
Junior haussa les épaules avec humeur. Son père le lui avait dit, mais il ne s’en souvenait pas exactement. Dix heures, lui semblait-il. Mais qu’est-ce que ça faisait ? Ils n’avaient qu’à rôtir, ces deux-là. Et si la salope de journaliste était chez elle — en train de se détendre avec son godemiché préféré après une dure journée de travail —, qu’elle crame aussi. Encore plus d’emmerdes pour Baaarbie .
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