Stephen King - Dôme. Tome 2
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- Название:Dôme. Tome 2
- Автор:
- Издательство:Editions Albin Michel
- Жанр:
- Год:2011
- Город:Paris
- ISBN:978-2-226-22437-8
- Рейтинг книги:5 / 5. Голосов: 1
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— Mais…
— Une balle dans la tête serait bien pire que du sumac, non ? Bon, j’ai été ravi de te parler, Pete. Content que tu sois aussi… »
Pompeux ? Ridicule ? Stupide ?
« Aussi complètement enthousiaste, dit Carter.
— Merci, Carter, exactement les mots que je cherchais. Pete, dis à Henry Morrison qu’il est maintenant responsable du contrôle de la foule sur la 119. Et toi, passe par la route secondaire .
— Je crois vraiment…
— Carter, va lui ouvrir la portière. »
5
« Oh, mon Dieu », dit Linda, braquant brusquement à gauche. Le van sauta par-dessus le trottoir à moins de cent mètres du carrefour Main Street-Highland. Le cahot fit rire les filles, mais le pauvre petit Aidan parut surtout éprouver de la peur, et il attrapa une fois de plus la tête d’Audrey, la patience incarnée.
« Qu’est-ce qu’il y a ? s’exclama Thurston. Qu’est-ce… »
Elle se gara sur la pelouse d’une maison, derrière un arbre. Un chêne de bonne taille, mais le van était lui aussi d’une bonne taille et l’arbre avait perdu la plus grande partie de son feuillage qui dépérissait. Elle aurait aimé croire qu’ils étaient cachés, mais il ne fallait pas se leurrer.
« C’est le Hummer de Big Jim, planté là-bas en plein milieu du bon Dieu de carrefour.
— T’as juré, t’as juré ! Deux quarters dans la tirelire à gros mots, dit Judy.
— Vous en êtes sûre ? demanda Thurston en se démanchant le cou.
— Il n’y a que lui dans cette ville pour posséder un engin aussi monstrueux.
— Oh, bordel, dit Thurston.
— Tirelire ! » s’exclamèrent Judy et Janelle d’une seule voix.
Linda sentit sa gorge se dessécher, sa langue se coller au palais. Thibodeau descendait du Hummer, côté passager, et regardait dans leur direction…
S’il nous voit, je l’écrase , pensa-t-elle. Idée qui lui apporta un certain calme pervers.
Thibodeau ouvrit la portière arrière. Peter Randolph descendit.
« Il tire sur le fond de son pantalon, le monsieur, déclara Alice Appleton, ne s’adressant à personne en particulier. Ma maman dit que ça veut dire qu’on va au cinéma. »
Thurston Marshall éclata de rire et Linda, qui n’aurait jamais cru avoir envie de rire dans leur situation, se joignit à lui. Bientôt tous riaient, Aidan y compris, même s’il ne savait certainement pas de quoi il riait. Linda elle-même ne le savait pas trop, d’ailleurs.
Randolph partit en direction du bas de la colline, tirant toujours sur le fond de son pantalon d’uniforme. Il n’y avait rien là de spécialement drôle, ce qui rendait la chose encore plus drôle.
Histoire de ne pas rester à l’écart, Audrey se mit à aboyer.
6
Quelque part, un chien aboya.
Big Jim l’entendit, mais ne prit pas la peine de se retourner. La vue de Peter Randolph descendant la colline le remplissait de bien-être.
« Regardez-le qui tire son falzar de ses fesses, fit observer Carter. D’après mon père, ça voulait dire qu’on allait au cinéma.
— Le seul endroit où il va, c’est à la station de WCIK et s’il s’entête à lancer l’assaut par l’entrée, ça risque d’être le dernier endroit où il ira jamais. Bon. Allons à l’hôtel de ville pour regarder un moment ce cirque à la télé. Quand on en aura assez, tu iras chercher ce toubib hippie pour lui dire que s’il essaie d’aller se planquer quelque part, on l’arrêtera et on le mettra en prison.
— Oui monsieur. »
Voilà une commission qui ne l’embêtait pas. Il pourrait peut-être en profiter pour faire une autre tentative auprès de l’ex-officier Everett. Sans le pantalon, cette fois.
Big Jim passa une vitesse et commença à descendre lentement la côte, donnant des coups d’avertisseur quand les piétons ne s’écartaient pas assez vite à son gré.
À peine s’était-il engagé dans l’allée desservant l’hôtel de ville que l’Odyssey Green franchissait le carrefour en direction de la sortie de la ville. Il n’y avait plus de piétons, sur Upper Highland Street, et Linda accéléra rapidement. Thurston Marshall se mit à chanter « The Wheels on the Bus » et bientôt tous les enfants chantaient avec lui.
Linda, dont la terreur s’estompait tous les cent mètres qu’ajoutait le compteur journalier, se mit à son tour à chanter la comptine.
7
La Journée des Visiteurs est enfin arrivée à Chester’s Mill et une ambiance d’impatience excitée remplit tous ceux qui marchent sur la Route 119 en direction de la ferme Dinsmore, là où la manifestation organisée par Joe McClatchey a si mal tourné cinq jours seulement auparavant. Tous sont pleins d’espoir (même s’ils ne sont pas exactement heureux) en dépit de ce souvenir, en dépit aussi de la chaleur et de la puanteur de l’air. L’horizon est brouillé, au-delà du Dôme, et le ciel s’est assombri au-dessus des arbres, du fait de l’accumulation de particules de matière. C’est mieux lorsqu’on regarde à la verticale, mais tout de même pas parfait ; le bleu a pris une nuance jaunâtre, comme la cataracte qui recouvre l’œil d’un vieillard.
« C’est comme ça que le ciel était au-dessus des usines de pâte à papier dans les années 1970, quand elles tournaient à plein régime », commente Henrietta Clavard — la vieille dame qui a failli avoir le cul cassé. Elle propose un peu de son soda à Petra Searles, qui marche à côté d’elle.
« Non, merci, répond Petra. J’ai de l’eau.
— Elle serait pas aussi coupée à la vodka ? demande Henrietta. Parce que la mienne, si. Moitié-moitié, ma belle. J’appelle ça un Canada Dry Rocket. »
Petra sort sa bouteille et prend une grande rasade. « Ouais ! » dit-elle.
Henrietta opine très sérieusement du chef. « Oui madame. C’est pas un cocktail, mais ça met tout de même de bonne humeur. »
Nombre de pèlerins ont préparé des panneaux qu’ils brandiront à l’intention de leurs visiteurs du monde extérieur (et devant les caméras, bien sûr), comme le public soigneusement briefé d’une émission de télé matinale. Mais tous les panneaux, dans les émissions de télé matinales, sont uniformément joyeux. Ici, la plupart ne le sont pas. Certains, qui remontent à la manif du dimanche précédent, disent À BAS LE POUVOIR et LAISSEZ-NOUS SORTIR, BON DIEU ! Il y en a de nouveaux : UNE EXPÉRIENCE DU GOUVERNEMENT — POURQUOI ? ARRÊTEZ LES MENSONGES, et NOUS SOMMES DES ÊTRES HUMAINS, PAS DES COBAYES. Sur celui de Johnny Carver on lit : AU NOM DE DIEU ARRÊTEZ CE QUE VOUS FAITES AVANT QU’IL SOIT TROP TARD ! ! Frieda Morrison demande avec passion, sinon sans faute : POUR LESQUELS CRIMES ON CRÈVENT ? Le panneau de Bruce Yardley est le seul à présenter une note entièrement positive. Au bout d’un bâton mesurant bien deux mètres vingt (brandi, il dépassera tous les autres) et entouré d’un papier crépon bleu, on peut lire : BONJOUR PAPA ET MAMAN À CLEVELAND ! JE VOUS AIME !
Neuf ou dix font référence aux Écritures. Bonnie Morrell, l’épouse du propriétaire de la scierie, proclame haut et fort : NE LEUR PARDONNEZ PASPARCE QU’ILS SAVENTCE QU’ILS FONT ! Et Trina Cale a écrit : LE SEIGNEUR EST MON BERGER sous un dessin qui représente sans doute un mouton, mais ce n’est pas évident.
Donnie Baribeau a simplement écrit : PRIEZ POUR NOUS.
Marta Edmunds, la femme qui garde parfois les enfants des Everett, n’est pas parmi les pèlerins. Son ex-mari habite à South Portland, mais il n’y a guère de chances qu’il vienne, et qu’est-ce qu’elle pourrait lui raconter ? Tu es en retard pour ma pension alimentaire, espèce de branleur ? Elle part pour la Little Bitch Road, et non pour la 119. L’avantage est qu’elle n’est pas obligée de s’y rendre à pied. Elle prend son Acura (la clim branchée à fond). Sa destination est la coquette petite maison dans laquelle Clayton Brassey passe les dernières années de sa vie. C’est son arrière-grand-oncle, ou un truc comme ça, et si elle n’est pas sûre de la réalité ou du degré de leur parenté, elle sait, en revanche, qu’il possède un générateur. S’il fonctionne encore, elle pourra regarder la télé. Elle s’assurera par la même occasion qu’Oncle Clayt va bien — enfin, aussi bien qu’on peut aller quand on a cent cinq ans et la cervelle comme du fromage blanc.
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