Stephen King - Dôme. Tome 2
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- Название:Dôme. Tome 2
- Автор:
- Издательство:Editions Albin Michel
- Жанр:
- Год:2011
- Город:Paris
- ISBN:978-2-226-22437-8
- Рейтинг книги:5 / 5. Голосов: 1
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Pour Norrie, si. Et elle était curieuse. Elle s’agenouilla dans les hautes herbes et prit fermement la boîte à deux mains. Elle réagit immédiatement. Sa tête se renversa si brusquement que Piper entendit ses vertèbres craquer comme des articulations. Elle tendit la main mais la laissa retomber : Norrie se détendait déjà. Son menton alla toucher sa poitrine et ses yeux, qu’elle avait fermés de toutes ses forces au moment du choc, se rouvrirent tout de suite. Elle avait un regard vague et lointain.
« Pourquoi vous faites ça ? demanda-t-elle. Pourquoi ? »
Piper sentit la chair de poule lui hérisser les bras.
« Dites-moi ! » Une larme coula de l’œil de la fillette et tomba sur le dessus de la boîte, où elle grésilla et disparut. « Dites-moi ! »
Le silence se prolongea un moment. Il parut très long. Puis Norrie lâcha la boîte et se laissa aller en arrière, jusqu’à ce que ses fesses touchent ses talons. « Des enfants.
— Tu es certaine ?
— Certaine. Je ne pourrais pas dire combien. Ça n’arrête pas de changer. Ils ont des chapeaux de cuir. Ils ont des bouches affreuses. Ils portent des sortes de lunettes et regardent eux aussi une boîte. Sauf que leur boîte est comme une télé. Ils voient partout. Partout dans la ville.
— Comment le sais-tu ? »
Norrie secoua la tête, impuissante. « Je ne peux pas vous le dire, mais je suis sûre que c’est vrai. Ce sont des enfants avec des bouches affreuses. Je ne veux plus jamais retoucher cette boîte. Je me sens tellement sale… » Elle se mit à pleurer.
Piper la prit dans ses bras. « Quand tu as demandé pourquoi, qu’est-ce qu’ils t’ont répondu ?
— Rien.
— Crois-tu qu’ils t’aient entendue ?
— Oui, ils m’ont entendue. Simplement, ils s’en fichent. »
De derrière elles leur parvint un martèlement régulier, de plus en plus fort. Deux hélicoptères de transport arrivaient, en provenance du nord, paraissant presque frôler la cime des arbres, côté TR-90.
« Ils feraient mieux de faire attention au Dôme, sinon ils vont s’écraser ! » s’écria Norrie.
Mais les hélicoptères ne s’écrasèrent pas. Ils atteignirent la limite de sécurité, à environ trois kilomètres de distance, et commencèrent à descendre.
21
Cox avait informé Barbie de l’existence d’une ancienne route de service qui allait du verger McCoy jusqu’aux limites du TR-90 ; il estimait qu’elle était encore utilisable. Barbie, Rusty, Rommie, Julia et Pete Freeman l’empruntèrent vers sept heures et demie du matin, le vendredi. Barbie avait confiance en Cox, mais nettement moins dans des photos prises d’une altitude de trois cents kilomètres, si bien qu’ils s’étaient entassés dans le van de Rennie volé par Ernie Calvert. Barbie n’aurait aucun état d’âme à perdre ce véhicule-ci, si jamais ils tombaient dans une fondrière. Pete n’avait pas son appareil photo ; le Nikon numérique avait cessé de fonctionner quand il s’était approché de la boîte.
« Que veux-tu, les ET n’aiment pas les paparazzi, frangin », lui avait dit Barbie. Il avait pensé que sa réflexion était relativement drôle, mais quand il s’agissait de son matos, Pete perdait son sens de l’humour.
Le van réformé par AT&T parvint jusqu’à la limite du Dôme, et ses cinq passagers regardaient maintenant les deux mastodontes faire du surplace au-dessus d’un ancien pré envahi d’herbes folles, côté TR-90. La route continuait par là et les rotors des deux Chinook soulevaient de grands nuages de poussière. Ils s’abritèrent les yeux dans un geste instinctif et inutile, car une fois au niveau du Dôme, la poussière se séparait en deux courants.
Les hélicos atterrirent avec la royale lenteur de dames obèses s’installant dans des fauteuils de théâtre un poil trop étroits pour leur postérieur. Barbie entendit le grincement infernal du métal — un rocher dissimulé par les herbes — et l’hélico de gauche se déplaça latéralement d’une trentaine de mètres avant de tenter un nouvel atterrissage.
Une silhouette sauta à terre de la soute ouverte du premier et fonça à grands pas au milieu des tourbillons de débris qu’elle chassa d’une main impatiente. Barbie aurait reconnu n’importe où ce personnage décidé carburant à la nitroglycérine. Cox ralentit, la main tendue devant lui comme un aveugle. Il essuya vivement la poussière, de son côté.
« Ça fait plaisir de vous voir respirer à l’air libre, colonel Barbara.
— Oui monsieur. »
Le colonel regarda les autres. « Bonjour, Ms Shumway. Bonjour, les amis de Barbara. Je veux que vous me racontiez tout, mais il va falloir faire vite — j’ai un sacré cirque qui ne va pas tarder à ouvrir ses portes de l’autre côté, et je tiens à être sur place. »
Du pouce, Cox montra sans se retourner le déchargement en cours, derrière lui : des douzaines de ventilateurs Air Max accompagnés de leurs générateurs. Des gros, constata Barbie avec soulagement, du genre de ceux qui servent à sécher les terrains de tennis ou la cendrée d’un stade après une grosse averse. Chacun disposait de sa propre plate-forme à deux roues. Les générateurs devaient développer vingt chevaux, tout au plus. Il espéra que cela suffirait.
« Tout d’abord, j’aimerais que vous me disiez que ces trucs-là ne seront pas nécessaires.
— Impossible de vous répondre avec certitude, dit Barbie, mais j’ai bien peur que si. Et vous risquez de devoir en mettre aussi du côté de la 119, là où les gens vont rencontrer leurs parents.
— Pas avant ce soir. C’est le mieux que nous puissions faire.
— Prenez quelques-uns de ceux-ci, proposa Rusty. Si jamais nous avions besoin de la totalité, c’est que nous serions dans la merde jusqu’au cou, de toute façon.
— On peut pas, fiston. Si on pouvait franchir l’espace aérien de Chester’s Mill, à la rigueur, mais si on pouvait, il n’y aurait pas de problème, hein ? De toute façon, installer une batterie de ventilateurs là où vont se rassembler les visiteurs serait contre-productif. Personne ne pourrait rien entendre. Ces engins-là font un boucan infernal. » Il jeta un coup d’œil à sa montre. « Bon. Qu’est-ce que vous pouvez me raconter en un quart d’heure ? »
HALLOWEEN ARRIVE TÔT
1
À huit heures moins le quart, la Honda Odyssey Green presque neuve de Linda Everett vint se garer près du quai de chargement, à l’arrière du Burpee’s. Thurston était assis dans le siège du passager. Les enfants (bien trop silencieux pour des gosses se préparant à vivre une aventure) étaient à l’arrière. Aidan serrait la tête d’Audrey contre lui. La chienne, qui sentait peut-être l’angoisse du garçonnet, se laissait faire patiemment.
Linda avait encore l’épaule très douloureuse, en dépit des trois aspirines qu’elle avait prises, et l’image de Carter Thibodeau ne cessait de la hanter. Ainsi que son odeur, mélange de sueur et d’eau de Cologne. Elle n’arrêtait pas de l’imaginer arrivant derrière elle dans l’une des voitures de la police, leur coupant toute retraite. Le prochain coup ira tout droit dans ta bonne vieille chatte. Que les gosses regardent ou non. Je déteste pas avoir un public.
Et il le ferait. Sûr et certain. Et si elle ne pouvait sortir de la ville, elle brûlait de mettre un maximum de distance entre elle et le sinistre Vendredi fraîchement appointé de Rennie.
« Prenez un rouleau entier et les cisailles, dit-elle à Thurston. Elles sont sous le bidon de lait, d’après ce que m’a dit Rusty. »
Thurston avait ouvert la portière, mais il hésitait. « On ne peut pas. Si quelqu’un d’autre en a besoin ? »
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