Stephen King - Dôme. Tome 2
Здесь есть возможность читать онлайн «Stephen King - Dôme. Tome 2» весь текст электронной книги совершенно бесплатно (целиком полную версию без сокращений). В некоторых случаях можно слушать аудио, скачать через торрент в формате fb2 и присутствует краткое содержание. Город: Paris, Год выпуска: 2011, ISBN: 2011, Издательство: Editions Albin Michel, Жанр: Фантастика и фэнтези, Триллер, Ужасы и Мистика, на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале библиотеки ЛибКат.
- Название:Dôme. Tome 2
- Автор:
- Издательство:Editions Albin Michel
- Жанр:
- Год:2011
- Город:Paris
- ISBN:978-2-226-22437-8
- Рейтинг книги:5 / 5. Голосов: 1
-
Избранное:Добавить в избранное
- Отзывы:
-
Ваша оценка:
- 100
- 1
- 2
- 3
- 4
- 5
Dôme. Tome 2: краткое содержание, описание и аннотация
Предлагаем к чтению аннотацию, описание, краткое содержание или предисловие (зависит от того, что написал сам автор книги «Dôme. Tome 2»). Если вы не нашли необходимую информацию о книге — напишите в комментариях, мы постараемся отыскать её.
Dôme. Tome 2 — читать онлайн бесплатно полную книгу (весь текст) целиком
Ниже представлен текст книги, разбитый по страницам. Система сохранения места последней прочитанной страницы, позволяет с удобством читать онлайн бесплатно книгу «Dôme. Tome 2», без необходимости каждый раз заново искать на чём Вы остановились. Поставьте закладку, и сможете в любой момент перейти на страницу, на которой закончили чтение.
Интервал:
Закладка:
Pourtant, il n’avait guère envie de sourire ; jusqu’ici la matinée avait été infructueuse. La femme pasteur avait disparu, la salope de journaliste avait disparu, ses deux reporters avait apparemment disparu, eux aussi, ainsi que Rose Twitchell. Le restaurant était ouvert et le petit Wheeler tenait la boutique, mais il affirmait n’avoir aucune idée de l’endroit où se trouvait Rose. Carter l’avait cru. Anse Wheeler avait tout d’un chien qui ne se rappelle plus où il a planqué son os préféré. À en juger par les odeurs horribles qui provenaient de la cuisine, il n’avait aucune idée non plus de ce qu’étaient les processus de cuisson. Carter avait fait le tour de l’établissement, à la recherche du van du Sweetbriar. Introuvable. Il n’avait pas été surpris.
Après avoir vérifié le restaurant, il était passé au Burpee’s, cognant tout d’abord sur les portes d’entrée, puis sur celles de derrière, où un employé négligent avait laissé, bien en vue, tout un tas de rouleaux de plomb que le premier petit malin venu aurait pu voler. Sauf que, si l’on y pensait un peu, qui voudrait voler des matériaux de protection pour son toit, dans une ville où il ne pleuvait plus jamais ?
Carter avait supposé qu’il ferait aussi chou blanc à la maison des Everett, et il n’y était allé que pour pouvoir dire qu’il avait respecté ses instructions à la lettre, mais il avait entendu les gosses qui jouaient dans la cour pendant qu’il remontait l’allée. Et le van de Linda était là. C’était bien le sien, aucun doute : il voyait un gyrophare amovible posé sur le tableau de bord. Le patron lui avait recommandé un interrogatoire modéré ; mais Linda Everett étant la seule qu’il ait trouvée, Carter se dit qu’il pouvait modérer sa modération. Que cela lui plaise ou pas — et cela ne lui plairait pas —, la petite mère Everett devrait répondre pour tous ceux qu’il n’avait pu trouver. Mais avant qu’il ait pu ouvrir la bouche, elle lui parlait déjà. Non seulement elle lui parlait, mais elle le prenait par la main, l’entraînant littéralement à l’intérieur.
« Vous l’avez trouvé ? Je t’en prie, Carter, est-ce que Rusty va bien ? Il n’est pas… » Elle lui lâcha la main. « Si… s’il y a quelque chose, parle à voix basse, les enfants sont là, dehors, et je ne veux pas qu’ils soient davantage bouleversés qu’ils ne le sont déjà. »
Carter passa devant elle, entra dans la cuisine et jeta un coup d’œil par la fenêtre, au-dessus de l’évier. « Qu’est-ce qu’il fabrique ici, le toubib hippie ?
— Il est venu avec les enfants dont il s’occupe. Caro les avait amenés à la réunion, hier au soir, et…tu sais ce qui est arrivé. »
Ce débit de mitrailleuse était bien la dernière chose à laquelle Carter se serait attendu. Peut-être ignorait-elle tout. Le fait qu’elle ait été à la réunion, la veille et qu’elle soit encore là ce matin plaidait en faveur de cette idée. Ou peut-être essayait-elle simplement de le déstabiliser. De procéder à… comment disait-on, déjà ? À une frappe préventive. C’était possible. Elle était intelligente. Il suffisait de la regarder pour s’en rendre compte. Et encore mignonne, pour une nana plus toute jeune.
« Vous l’avez trouvé ? Est-ce que Barbara… » Elle n’avait pas de mal à parler d’une voix étranglée. « Est-ce que Barbara lui a fait du mal ? Il ne l’aurait pas abandonné quelque part, après ? Tu peux me dire la vérité. »
Il se tourna vers elle, affichant un sourire décontracté dans la lumière tamisée provenant de l’extérieur. « À toi d’abord.
— Quoi ?
— J’ai dit, à toi d’abord . Dis-moi la vérité.
— Mais tout ce que je sais, c’est qu’il a disparu ! » Ses épaules s’affaissèrent. « Et toi, tu ne sais même pas où il est. Je le vois bien. Et si Barbara l’a tué ? S’il l’a déjà tué… »
Carter l’attrapa, la fit pivoter sur elle-même comme un danseur de quadrille et lui tordit le bras dans le dos jusqu’à ce qu’on entende l’épaule craquer. Mouvement exécuté avec une telle fluidité et une si incroyable rapidité qu’elle ne comprit son intention qu’une fois la chose faite.
Il sait tout ! Il sait tout et il va me faire mal ! Me faire mal jusqu’à ce que je lui dise…
L’haleine de Carter était brûlante dans son oreille. Elle sentait sa barbe de trois jours lui chatouiller la joue pendant qu’il parlait, et ce contact la fit frissonner.
« Ne déconne pas avec un déconneur, maman . » À peine plus fort qu’un murmure. « Toi et Wettington, vous vous êtes toujours serré les coudes — et le reste. Tu voudrais me faire croire que tu ne savais pas qu’elle allait faire évader ton mari ? C’est ça que tu me racontes ?
— Si elle me l’avait dit, j’aurais averti Randolph, répondit-elle, haletante. Jamais je n’aurais voulu laisser Rusty courir un tel risque. Il n’a rien fait.
— Il a fait plein de trucs. Il a menacé le patron de ne pas le soigner s’il ne démissionnait pas. C’est pas un putain de chantage, ça ? Je l’ai entendu de mes propres oreilles. » Il tordit un peu plus le bras de Linda. Elle laissa échapper un petit gémissement. « T’as quelque chose à répondre à ça ? Maman ?
— Je ne sais pas ce qu’il a fait. Je ne l’ai pas vu et je ne lui ai même pas parlé depuis que tout ça est arrivé, comment veux-tu que je sache ? Ce que je sais, c’est qu’il est ce qui ressemble le plus à un médecin, dans cette ville, et que jamais Rennie ne le ferait exécuter. Barbara, peut-être, mais Rusty, sûrement pas. Je le sais, et tu le sais très bien, toi aussi. Lâche-moi, maintenant. »
Un instant, il fut sur le point de le faire. Ça se tenait. Puis il eut une meilleure idée et la repoussa contre l’évier. « Penche-toi, maman .
— Non ! »
Il lui tordit encore le bras. Elle eut l’impression que son épaule allait se déboîter. « Je te dis de te pencher. Comme si t’allais laver tes si jolis cheveux blonds.
« Linda ? » C’était Thurston. « Comment ça va ? »
Seigneur ! Pourvu qu’il ne me demande pas si j’ai fini de vider les placards ! Je vous en prie, mon Dieu !
Puis une autre idée lui vint brusquement à l’esprit : où sont les affaires des gosses ? Chacune des filles avait préparé un petit sac de voyage. Et s’ils étaient posés au beau milieu du salon ?
« Dis-lui que tout va bien, lui souffla Thibodeau à l’oreille. Inutile de laisser rappliquer ce hippie. Ou les gosses. On est d’accord ? »
Seigneur, non. Mais où sont donc les sacs ?
« Tout va bien ! cria-t-elle.
— Bientôt fini ? »
Oh, Thurston, la ferme !
« J’ai encore besoin de cinq minutes ! »
Thurston parut hésiter, comme s’il voulait ajouter quelque chose, puis retourna vers les balançoires.
« Bien joué. » Carter se pressait contre elle, à présent, et il bandait. Elle le sentait contre le fond de son pantalon. Un vrai démonte-pneu, son truc. Puis il s’écarta. « Bientôt fini quoi ? »
Elle faillit répondre : de préparer le petit déjeuner , mais les bols sales étaient dans l’évier. Un instant, son cerveau eut un passage à vide, et elle en vint presque à espérer qu’il presse de nouveau sa foutue trique contre elle, vu que lorsque les hommes pensent avec leur queue, il ne se passe pas grand-chose dans leur tête.
Mais il lui tordit une fois de plus le bras. « Raconte-moi ça, maman . Fais plaisir à papa.
— Les cookies ! Je leur ai promis de faire des cookies, haleta-t-elle. C’est les gosses qui m’en ont demandé !
— Des cookies ? Sans électricité ? C’est la meilleure de la semaine, celle-là.
Читать дальшеИнтервал:
Закладка:
Похожие книги на «Dôme. Tome 2»
Представляем Вашему вниманию похожие книги на «Dôme. Tome 2» списком для выбора. Мы отобрали схожую по названию и смыслу литературу в надежде предоставить читателям больше вариантов отыскать новые, интересные, ещё непрочитанные произведения.
Обсуждение, отзывы о книге «Dôme. Tome 2» и просто собственные мнения читателей. Оставьте ваши комментарии, напишите, что Вы думаете о произведении, его смысле или главных героях. Укажите что конкретно понравилось, а что нет, и почему Вы так считаете.