Stephen King - Dôme. Tome 2
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- Название:Dôme. Tome 2
- Автор:
- Издательство:Editions Albin Michel
- Жанр:
- Год:2011
- Город:Paris
- ISBN:978-2-226-22437-8
- Рейтинг книги:5 / 5. Голосов: 1
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Elle n’allait pas discuter ; elle finirait par hurler et faire peur aux enfants.
« Justement. Nous en avons besoin. Grouillez-vous. C’est un vrai piège, ici.
— Je vais faire aussi vite que possible. »
Elle eut cependant l’impression qu’il mettait un temps fou à découper les plaques de plomb et elle dut se retenir pour ne pas passer la tête par la fenêtre et lui demander s’il était devenu récemment une vieille chochotte ou s’il avait toujours été comme ça.
Ferme-la. Il a perdu la femme qu’il aimait hier soir.
Oui, mais s’il ne se pressait pas, ils perdraient tout. Il y avait déjà du monde sur Main Street, des gens qui se dirigeaient vers la 119 et la ferme Dinsmore, soucieux d’occuper les meilleures places. Linda sursautait chaque fois qu’elle entendait trompetter un haut-parleur de la police : « VOITURES INTERDITES SUR LA ROUTE SAUF POUR LES HANDICAPÉS ! TOUT LE MONDE À PIED ! »
Thibodeau, en type intelligent, avait soupçonné quelque chose. Et si jamais il revenait et ne trouvait plus le van ? Le rechercherait-il ? En attendant, Thurston continuait à débiter des fragments dans le rouleau de plomb à isoler les toits. Il se tourna et elle pensa qu’il avait terminé, mais il estimait, à l’œil, les dimensions du pare-brise. Il se remit à couper et tailler. Encore un autre morceau. En réalité, il ne faisait peut-être qu’essayer de la rendre folle. Idée idiote qu’elle n’arriva pas à chasser une fois qu’elle l’eut dans la tête.
Elle avait encore l’impression de sentir Thibodeau se frotter contre ses fesses. De sentir le chatouillis de sa barbe de trois jours. Ses doigts lui écrasant le sein. Elle s’était jurée de ne pas regarder ce qu’il y avait sur le fond de son pantalon, quand elle s’était changée, mais elle n’avait pas pu s’en empêcher. Le terme qui lui était venu alors à l’esprit était Mansplat [18] Nom d’un site porno américain.
et elle avait dû batailler ferme quelques instants pour garder son petit déjeuner là où il était. Ce qui lui aurait certainement fait plaisir, s’il l’avait su.
La sueur se mit à perler à son front.
« Maman ? » demanda Judy, juste dans son oreille. Linda sursauta et poussa un petit cri. « Je suis désolée, je ne voulais pas te faire peur. Je peux manger quelque chose ? J’ai faim.
— Non, pas maintenant.
— Pourquoi il y a ce haut-parleur qui crie ?
— Je ne peux pas te parler pour le moment, ma chérie.
— T’es triste ?
— Oui. Un peu. Rassieds-toi.
— On va voir papa ?
— Oui. » Sauf si on se fait attraper et qu’on me viole devant vous. « Je t’ai dit de te rasseoir. »
Thurston en avait enfin terminé et revenait. Merci mon Dieu. Il trimballait apparemment assez de carrés et de rectangles de plomb pour blinder un tank. « Vous voyez ? Ce n’était pas si terri… oh, merde. »
Les filles pouffèrent, un bruit qui fit à Linda l’effet de grosses limes lui entamant le cerveau. « Une pièce dans la tirelire à gros mots, Mr Marshall », dit Janelle.
Thurston se tenait les yeux baissés, amusé. Il avait glissé la cisaille dans sa ceinture.
« Je vais aller la remettre à sa place… »
Linda arracha l’outil à la ceinture, se retint de l’enfoncer dans la poitrine étroite de l’homme (faisant preuve d’une admirable retenue, à son avis) et descendit du van pour aller la replacer elle-même sous le bidon.
À ce moment-là, un autre véhicule vint s’arrêter derrière l’Odyssey Green, lui barrant l’accès à West Street, seule voie de sortie de ce cul-de-sac.
2
Au sommet de Town Common Hill, juste en dessous du carrefour en Y où Highland Avenue se sépare de Main Street, le Hummer de Rennie attendait, tournant au ralenti. Les exhortations amplifiées ordonnant aux gens d’abandonner leur véhicule et de marcher, sauf s’ils étaient handicapés, lui parvenaient. La foule avait envahi les trottoirs et nombreux étaient ceux qui avaient un sac à dos. Big Jim les observait avec cette expression de mépris indulgent que ne ressentent que les responsables faisant leur métier non par amour, mais par devoir.
Remontant le courant, il aperçut Carter Thibodeau. L’homme avançait à grands pas au milieu de la rue, bousculant à l’occasion qui se trouvait dans son chemin. Il rejoignit le Hummer, monta dans le siège du passager et essuya la sueur de son front avec son avant-bras. « Ça fait du bien, cet air conditionné, dit-il. À peine huit heures du matin et il fait déjà vingt-cinq degrés. Et l’air pue comme une saloperie de cendrier. S’cusez mon langage, patron.
— Du succès ?
— Pas vraiment. J’ai parlé à l’officier Everett. À l’ ex -officier Everett. Les autres nous ont joué les filles de l’air.
— Elle sait quelque chose ?
— Non, rien. Elle n’a pas eu de nouvelles du toubib. Wettington l’a traitée comme un champignon — en la laissant dans le noir total et en lui faisant bouffer de la merde.
— T’en es sûr ?
— Ouais.
— Ses gosses étaient avec elle ?
— Ouais. Et le hippie. Celui qui vous a remis le palpitant en ordre de marche. Avec les deux gosses que Junior et Frankie avaient trouvés près des étangs. » Carter réfléchit un instant. « Lui avec sa nana morte et elle avec son mari dans la nature, ils vont probablement baiser comme des malades dès la fin de la semaine. Si vous voulez que j’y retourne, patron, vous n’avez qu’à dire. »
Big Jim n’agita qu’un index, gardant les mains sur le volant, pour indiquer que ce n’était pas nécessaire. Son attention se portait sur autre chose. « Regarde-les, Carter. »
Carter aurait eu du mal à ne pas le faire. La circulation des piétons quittant la ville augmentait d’une minute à l’autre.
« La plupart vont arriver au Dôme à neuf heures, mais leurs proches ne se pointeront qu’à dix heures. Au mieux. À ce moment-là, ils en auront marre et ils auront soif. À midi, ceux qui n’auront pas pensé à apporter de l’eau en seront réduits à boire la pisse de vache dans l’étang de Dinsmore, Dieu les prenne en pitié. Dieu doit forcément les prendre en pitié, d’ailleurs, parce qu’ils sont presque tous trop bêtes pour travailler et trop chochottes pour voler. »
Carter aboya en guise de rire.
« Et c’est à ça que nous avons affaire, reprit Rennie. La populace. La racaille des cueilleurs de coton. Qu’est-ce qu’ils veulent, d’après toi, Carter ?
— Je ne sais pas, patron.
— Mais si. Ils veulent de quoi manger, Oprah à la télé, de la musique country et un lit bien chaud pour sauter leurs mochetés quand vient le soir. Afin d’en faire d’autres comme eux. Et, Dieu me bénisse, voilà qu’arrive un des membres de la tribu. »
C’était le chef Randolph qui remontait d’un pas lourd la colline en s’épongeant le visage, qu’il avait d’un rouge éclatant, avec son mouchoir.
Big Jim était maintenant complètement lancé : « Notre boulot, Carter, c’est de prendre soin d’eux. Ça ne nous plaît pas forcément, nous pouvons parfois penser qu’ils n’en valent pas la peine, mais c’est le boulot que Dieu nous a donné. Sauf que pour le faire, nous devons commencer par prendre soin de nous-mêmes, et c’est la raison pour laquelle une bonne partie des fruits et légumes frais du Food City a été mise à l’abri il y a deux jours dans le secrétariat de l’hôtel de ville. Tu l’ignorais, hein ? Mais c’est très bien comme ça. Tu es en avance d’une longueur sur eux, je suis en avance d’une longueur sur toi, et c’est de cette façon que les choses doivent marcher. La leçon est simple : le Seigneur aide ceux qui s’aident.
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