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Ira Levin: Les femmes de Stepford

Здесь есть возможность читать онлайн «Ira Levin: Les femmes de Stepford» весь текст электронной книги совершенно бесплатно (целиком полную версию). В некоторых случаях присутствует краткое содержание. Город: Paris, год выпуска: 1974, ISBN: 2-226-00106-9, издательство: Albin Michel, категория: Фантастика и фэнтези / на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале. Библиотека «Либ Кат» — LibCat.ru создана для любителей полистать хорошую книжку и предлагает широкий выбор жанров:

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Ira Levin Les femmes de Stepford

Les femmes de Stepford: краткое содержание, описание и аннотация

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Qu’arrive-t-il donc aux femmes de Stepford ? Ont-elles toujours été, ainsi que Joanna les découvre en s’installant dans cette ville, de véri­tables poupées ménagères, unique­ment préoccupées de l’entretien de leur intérieur et du bien-être de leur famille ? Ou alors sont-elles victimes de leurs maris, tous adhé­rents du « Club des Hommes », qui se réunissent chaque soir dans une vieille bâtisse mystérieuse interdite aux femmes ? Joanna, jeune femme libérée, tente de créer une association féminine avec l’aide de deux amies nouvel­lement arrivées. Quelle n’est pas sa stupeur de les voir, à leur tour, se transformer brusquement, à l’image des autres femmes de la ville. L’inquiétude devient rapidement de l’angoisse… Joanna réussira-t-elle à échapper à ce cauchemar aseptisé, clima­tisé, lot quotidien des femmes de Stepford ?

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— Bon Dieu ! mais elles sont sensass, s’exclama Bobbie devant les quatre agrandissements que Joanna avait accrochés dans le bureau. Elles sont formidables.

Joanna exprima ses remerciements.

— Fana de la photo ! Je m’étais imaginé que vous vous contentiez de photographier vos gosses ! Mais ça, c’est des petites merveilles !

— Maintenant que Kim entre au jardin d’enfants, je compte me mettre sérieusement au travail, dit Joanna.

Elle accompagna Bobbie à sa voiture.

— Et puis zut ! déclara Bobbie. Il faut au moins tenter le coup, hein ? Parlons à ces ménagères ; il doit bien y en avoir quelques-unes qui souffrent un peu de cette situation. Qu’en dites-vous ? Vous ne croyez pas que ce serait formidable si nous arrivions à former un groupe, peut-être même une section du M.N.F. et à ébranler vachement le Club des Hommes ? Dave et Walter se fourrent le doigt dans l’œil : le Club ne changera que si on l’y contraint. Les huiles, ça ne cède jamais qu’à la force. Qu’en dites-vous, Joanna ? On se risque ? On mène notre enquête ?

Joanna hocha affirmativement la tête.

— Vous avez raison, dit-elle. Elles ne peuvent quand même pas être toutes aussi satisfaites qu’elles en ont l’air.

* * *

Elle alla trouver Carol Van Sant.

— Grand Dieu ! non, Joanna, lui répondit Carol. Je ne crois pas que ce soit un genre de truc à m’intéresser. Mais c’est gentil d’avoir pensé à moi.

Absorbée dans le nettoyage de la cloison coulissante qui divisait en deux la chambre où dormaient Stacy et Allison, elle administrait de grands coups d’éponge jaune sur une section des plis en accordéon.

— Mais ce ne serait qu’une affaire de deux heures, protesta Joanna. Soit en fin d’après-midi, soit, si c’est plus pratique pour tout le monde, pendant les heures de classe.

Carol s’accroupit pour dépoussiérer le bas de la cloison.

— Désolée, mais je n’ai guère de loisirs pour ce genre de truc.

Joanna la considéra un instant.

— Ça ne vous irrite pas, finit-elle par dire, qu’à Stepford la principale organisation, la seule qui se préoccupe effectivement de l’avenir de la communauté, soit interdite aux femmes ? Ça ne vous paraît pas un peu archaïque ?

— Ar-cha-ïque ? répéta Carol tout en pressant sa grosse éponge dans un seau d’eau savonneuse.

Joanna la regarda, surprise.

— Démodé, expliqua-t-elle.

Carol essora son éponge au-dessus du seau.

— Absolument pas, dit-elle en se redressant pour attaquer la section voisine. Ted est mieux équipé que moi dans ce domaine, poursuivit-elle, de nouveau absorbée dans son lessivage vertical et attentive à ce que chaque coup d’éponge chevauche légèrement le précédent. De plus, les hommes ont besoin d’un endroit où se détendre autour d’un verre ou deux, conclut-elle.

— Et pas les femmes ?

— Beaucoup moins.

Carol secoua ses jolies boucles aux reflets roux, vivante publicité d’une marque de shampooing.

— Excusez-moi, Joanna, dit-elle sans interrompre sa tâche. Je n’ai tout simplement pas le temps d’assister à ce genre de réunion.

— J’ai compris, dit Joanna. Prévenez-moi au cas où vous changeriez d’avis.

— Vous ne m’en voudrez pas si je ne descends pas avec vous ?

— Bien sûr que non.

Elle alla trouver Barbara Chamalian, l’autre voisine de Carol.

— Merci, mais je ne vois pas comment je pourrais m’arranger, répondit Barbara.

Châtain, la mâchoire carrée, elle arborait une robe rose qui moulait un corps exceptionnellement bien proportionné.

— Lloyd est souvent retenu le soir à New York, et les jours où il rentre de bonne heure, il aime aller au Club. Ça m’embêterait de payer une baby-sitter juste…

— On pourrait se réunir pendant les heures de classe, insista Joanna.

— Non, je crois que mieux vaut ne pas compter sur moi, conclut Barbara avec un large sourire plein de séduction. Mais je suis ravie de vous connaître, ajouta-t-elle. Vous ne voulez pas entrer et me tenir un peu compagnie pendant que je repasse ?

— Non. Merci beaucoup, dit Joanna. J’ai encore d’autres filles à voir.

Elle s’entretint avec Marge McCormick (« Franchement, je ne pense pas que ça m’intéresserait ») et avec Kit Sundersen (« Je crains de n’en avoir pas le temps ; j’en suis navrée, croyez-le ») et avec Donna Claybrook (« C’est une excellente idée, mais je suis tellement occupée ces jours-ci. Toutefois, merci d’avoir pensé à moi »).

Elle tomba sur Mary-Ann Stavros dans une allée du centre commercial.

— Non, je ne crois pas avoir le temps de m’occuper de ce genre de truc. J’ai tant à faire dans la maison, vous savez.

— Mais il vous arrive de sortir de chez vous, non ? objecta Joanna.

— Bien sûr, dit Mary-Ann. C’est le cas, non, en ce moment ?

— Je veux dire sortir vraiment. Pour vous détendre.

Mary-Ann sourit en secouant ses longs cheveux lisses, couleur de blé mûr.

— Non, pas souvent, répondit-elle. J’éprouve rarement le besoin de me distraire. À bientôt !

Et elle s’éloigna en poussant son chariot, s’arrêta bientôt pour prendre sur une étagère une boîte de conserve qu’elle examina attentivement et réussit à caser dans son panier avant de poursuivre sa route.

Joanna la suivit des yeux, puis plongea son regard dans le panier d’une autre bonne femme qui la dépassait sans se presser. Mon Dieu , pensa-t-elle, elles vont jusqu’à ranger leurs provisions par ordre de grandeur ! Elle reporta son regard sur son propre fouillis de cartons, de boîtes de conserve et de flacons. Un coupable désir d’y mettre de l’ordre l’effleura. Plutôt crever ! et elle prit sur l’étagère un étui quelconque, du détergent en flocons – qu’elle jeta parmi le reste. Elle n’avait même pas besoin de ce foutu produit.

Elle parla enfin, dans la salle d’attente du Dr Verry, à la mère d’une camarade de classe de Kim ; et à Yvonne Weisgalt, l’autre voisine des Stavros ; et à Jill Burke qui habitait la maison suivante. Toutes repoussèrent son offre – ou bien elles n’avaient pas assez de temps, ou bien ça ne les intéressait pas de retrouver d’autres femmes pour discuter de leur expérience respective.

Bobbie eut encore plus de malchance, si l’on considère qu’elle s’entretint avec presque deux fois plus d’interlocutrices.

— J’ai dégotté une adhérente, annonça-t-elle à Joanna. Une veuve de quatre-vingts ans qui m’a forcée à entrer et m’a postillonné au nez pendant une grande heure. Dès que nous serons prêtes à prendre d’assaut le Club des Hommes, Eda Mae Hamilton est toute disposée à nous accompagner.

— Je crois qu’on ferait mieux de ne pas perdre le contact avec elle, dit Joanna.

— Non, nous n’avons pas encore dit notre dernier mot.

Et elles consacrèrent une matinée à rechercher, ensemble cette fois, des adhésions en vertu de la théorie (de Bobbie) qu’à deux elles arriveraient, en parlant par ambiguïtés délibérées, à créer l’impression encourageante d’une phalange féminine susceptible d’accueillir de nouvelles candidatures. Aucun succès.

— Bon Dieu de Bon Dieu ! grogna Bobbie qui, dans sa colère, gravissait à une allure de bolide la côte de Short Ridge Hull. Je flaire un micmac là-dessous. On est dans la Ville Oubliée par le Temps, tu ne crois pas ?

* * *

Un après-midi, Joanna abandonna Pete et Kim aux soins de la jeune Melinda Stavros et prit le train pour New York afin de retrouver Walter et leurs amis Shep et Sylvia Tackover dans un restaurant italien du quartier des théâtres. C’était sympathique de revoir Shep et Sylvia qui formaient un couple intelligent, pas compliqué et plein d’allant, et avaient su surmonter quelques coups durs, dont la noyade d’un fils de quatre ans. C’était bon aussi de se retrouver à New York ; Joanna jouissait du pittoresque et de l’agitation du bistrot bondé.

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