Agatha Christie - Le Noël d'Hercule Poirot

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Le Noël d'Hercule Poirot: краткое содержание, описание и аннотация

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Est-ce une très bonne idée de réunir, à l’occasion des fêtes de fin d’année, des enfants qui ont tous de bonnes raisons de vous haïr ? Surtout quand il s’agit de leur annoncer que vous modifiez votre testament ?
Toujours est-il que, le 24 décembre, Simeon Lee, vieillard aussi riche que cynique, est sauvagement assassiné dans sa chambre. Et voici Hercule Poirot s’interrogeant sur Alfred et sa femme, tyrannisés depuis longtemps par leur père et beau-père ; sur Harry, qui ne lui pardonne pas les humiliations que sa mère a subies ; sur Pilar, la petite-fille espagnole, devant qui le vieil homme a peut-être imprudemment étalé ses diamants…
Beaucoup de monde. Et pour finir, un coupable présent dès le début, mais bien difficile à soupçonner…

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Cessant de rire, elle se remit à souffler dans son ballon. Ayant ensuite fermé l’ouverture, ils les lancèrent en l’air.

« Allons dans le vestibule, conseilla Pilar. Nous aurons plus de place. »

Ils s’envoyaient les ballons de l’un à l’autre et riaient follement, lorsque Poirot passa dans le vestibule et les considéra d’un air indulgent.

« Vous jouez comme des enfants, leur dit-il. Ils sont jolis, ces ballons ! »

Haletante, Pilar lui dit :

« Le mien, c’est le rouge. Il est plus gros que le sien… beaucoup plus gros. Si je le lançais dehors, il monterait jusqu’au ciel.

— Eh bien, sortons et formons un vœu en les lançant, dit Stéphen.

— Voilà une bonne idée ! » dit Pilar.

Elle courut vers la porte du jardin suivie de Stéphen. Poirot, amusé, marchait derrière eux.

« Moi, je souhaite beaucoup d’argent », annonça Pilar.

Se tenant sur la pointe des pieds, elle tenait la ficelle de son ballon, qui se raidit sous un souffle de vent. Pilar lâcha la ficelle et le ballon rouge flotta dans l’air, emporté par la brise.

« Il ne fallait pas dire votre souhait tout haut ! remarqua Stéphen en riant.

— Pourquoi ?

— Parce que alors il ne se réalisera pas. À mon tour de former un vœu. »

Il lâcha son ballon, mais ne fut pas aussi heureux que Pilar. Le ballon de Stéphen flotta de côté, s’accrocha à un buisson de houx et expira avec un bruit sec.

Pilar courut vers le buisson en annonçant d’une voix tragique : « Fini !… »

Remuant du bout du pied un morceau de baudruche tombé à terre, elle dit :

« Tiens, voilà ce que j’ai ramassé dans la chambre de grand-père. Lui aussi avait un ballon, mais c’était un rose. »

Poirot laissa échapper une exclamation. Pilar se tourna vers lui, curieuse.

« Ce n’est rien, lui dit-il. Je viens de faire un faux pas. » Il se tourna vers la maison.

« Que de fenêtres ! murmura-t-il. Mademoiselle, une maison a des yeux… et des oreilles. Je ne puis comprendre que les Anglais aiment tant les fenêtres ouvertes. »

Lydia s’avançait sur la terrasse.

« Le déjeuner est prêt, annonça-t-elle. Pilar, ma chérie, tout s’est arrangé pour le mieux. Alfred vous mettra au courant de notre décision après le déjeuner. Voulez-vous entrer ? »

Ils pénétrèrent dans la maison. Poirot, l’air grave, fermait la marche.

III

Le déjeuner était terminé.

En sortant de la salle à manger, Alfred dit à Pilar :

« Voulez-vous venir dans mon bureau ? Je voudrais vous dire un mot. »

Tous deux traversèrent le vestibule et entrèrent dans le studio. Les autres se rendirent au salon. Seul, Hercule Poirot demeura dans le vestibule, les yeux fixés sur la porte de la pièce où Pilar avait disparu avec Alfred.

Soudain, le détective se rendit compte que le vieux maître d’hôtel se tenait près de lui. Tressilian paraissait gêné.

« Eh bien, Tressilian, qu’y a-t-il ? »

Le vieux domestique se troubla.

« Je voulais parler à Mr. Lee. Mais cela m’ennuie de le déranger en ce moment.

— Il se passe quelque chose d’extraordinaire ? »

Lentement, le vieux Tressilian murmura :

« C’est si drôle ! Cela n’a aucun sens !

— Dites-moi de quoi il s’agit. »

Après un instant d’hésitation, le maître d’hôtel dit au détective :

« Voici, monsieur. Vous avez peut-être remarqué que, de chaque côté de la porte, il y avait un boulet de canon. Eh bien, un d’eux a disparu. »

Poirot leva les sourcils.

« Depuis quand ?

— Ils s’y trouvaient tous les deux, ce matin, monsieur. Je suis prêt à le jurer.

— Allons voir ça. »

Les deux hommes sortirent devant la porte d’entrée. Poirot se baissa pour examiner le boulet restant, puis se redressa, le visage sévère.

D’une voix tremblante, le vieux domestique demanda :

« Qui a pu voler une chose pareille, monsieur ? Cela n’a aucun sens.

— Voilà qui ne me plaît pas du tout… pas du tout ! » déclara Poirot.

Tressilian l’observait avec anxiété et balbutia :

« Qu’arrive-t-il à cette maison, monsieur ? Depuis que mon maître a été assassiné, il y a quelque chose de changé à Gorston. Je crois vivre en plein cauchemar. Je mélange tout et parfois je me demande si mes yeux ne se trompent pas.

— Là, vous avez tort, lui dit Poirot en hochant la tête. Vous devez précisément vous fier à vos propres yeux.

— Mais j’ai la vue mauvaise… je ne vois plus aussi bien qu’autrefois. Je commets des erreurs. Je prends les gens l’un pour l’autre. Voyez-vous, je suis trop vieux pour continuer mon travail.

Hercule Poirot lui donna une tape sur l’épaule et dit :

« Courage !

— Merci, monsieur. Vous êtes bien bon, mais l’âge est là et je suis trop vieux. Je reviens toujours vers le passé et les visages d’autrefois. Miss Jenny, Mr. David et Mr. Alfred, je les revois au temps de leur jeunesse… depuis ce soir où Mr. Harry est arrivé ici…

— C’est bien ce que je pensais, dit Poirot. Tout à l’heure, vous disiez : « Depuis que mon maître a été assassiné… » mais cela a commencé avant. C’est depuis l’arrivée de Mr. Harry que tout vous paraît bizarre dans cette maison, n’est-ce pas ?

— Oui, c’est bien cela, monsieur, Mr. Harry a toujours apporté la discorde avec lui, même autrefois. »

Tressilian porta les yeux vers le socle de pierre où manquait le boulet de canon.

« Qui peut l’avoir pris, monsieur ? murmura-t-il. Et pourquoi ? On se croirait dans une maison de fous !

— Je crains que ce ne soit pas de la folie ! murmura Poirot. Mais quelqu’un court un grand danger, Tressilian. »

Vivement, le détective rentra dans le vestibule.

À ce moment, Pilar sortait du bureau, une plaque rouge sur chaque joue. Les yeux brillants, elle relevait fièrement la tête.

Comme Poirot la rejoignait, elle tapa du pied en s’écriant :

« Je n’en veux pas ! »

Poirot leva les sourcils.

« De quoi ne voulez-vous pas, mademoiselle ? »

Pilar lui expliqua :

« Alfred vient de m’apprendre que je recevrai la part que mon grand-père a laissée à ma mère.

— Eh bien ?

— Il m’a dit que la loi s’y opposait, mais que lui, Lydia et les autres, considérant que cet argent me revenait en toute justice, me le rendaient. »

De nouveau, Poirot dit :

« Eh bien ? »

Une fois de plus, la jeune fille tapa du pied.

« Ne comprenez-vous pas ? Ils me donnent cet argent… Ils me le donnent !

— Je ne vois pas pourquoi vous vous offusqueriez… puisqu’ils admettent qu’en toute justice cet argent vous appartient.

— Vous ne comprenez pas…

— Au contraire, lui dit Poirot, je comprends fort bien.

— Oh !… »

Elle se détourna, irritée.

On venait de sonner à la porte. Poirot jeta un coup d’œil par-dessus son épaule et aperçut la silhouette du chef de police Sugden à travers la porte vitrée. Il demanda à Pilar :

« Où allez-vous ? »

Maussade, elle lui répondit :

« Rejoindre les autres, au salon.

— Bien, dit Poirot. Mais restez-y ! Ne vous promenez pas autour de la maison… surtout dès qu’il fera sombre. Tenez-vous sur vos gardes, mademoiselle, vous courez un grand danger… un danger terrible. »

Il la quitta pour aller vers Sugden.

Celui-ci attendit que Tressilian se fût enfermé dans son office.

Puis il déplia un câble et le mit sous le nez de Poirot.

« Nous le tenons, cette fois ! déclara-t-il. Tenez ! Lisez ! Cela vient de l’Afrique du Sud. »

Le câble disait :

« Le fils unique d’Ebnezer Farr est mort, il y a deux ans. »

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