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Frédéric Dard: Foiridon à Morbac City

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Frédéric Dard Foiridon à Morbac City

Foiridon à Morbac City: краткое содержание, описание и аннотация

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Le gonzier qui passe sa vie dans ses charentaises, à concocter d'illusoires tiercés et quintés plus, ne peut pas s'imaginer tous les amphigouris de ce monde. Je te prends « la fête du banc », dans l'Utah, tu savais qu'elle existait, toi ? Moi non plus. Ben, elle existe, mon vieux, et j'ai failli m'y faire lyncher. Béru, M. Félix, le Marquis ont eu des avaries de paf si terrifiantes que leur trompes de l'émisphère sud, mondialement réputées, filaient la gerbe aux coyotes. Si t'as pas peur d'affronter le bizarre, lis ce book d'extrème urgence. Tu y rencontreras d'inoubliables personnages : Roy, dit « Petit Gibus », qui, à six ans, pilote une dépanneuse ; Ivy, la femme du pasteur qui raffole de la levrette ; Le cow-boy suisse qui tire plus vite que son ombre. Sans parler du shérif, un drôle de pourri qui m'a viandé de première ! Non, franchement, t'as pas le droit de passer à côté de cette histoire. Si tu négligeais la lecture de , tout le monde se foutrait de la gueule. T'as pas besoin de ça !

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Ayant enfin terminé sa boyasse-partie, il cueille sans vergogne (juste avec la main) les feuilles en forme de palettes de la plante et s’en sert de faf à train ; il les dispose ensuite sur le résultat de sa « mise à jour », histoire de dissimuler les traces de son passage, ainsi procèdent les chats.

Reculotté, il s’approche des deux vieillasses épouvantées.

— Mes chéries, leur dit-il, j’en sais d’autres qu’auraient offusqué à vot’ place, aussi j’vous complimente.

Magiquement, la moins vieille des ancêtres comprend et parle un peu de français. Oublieuse de la partie excrémentielle de l’incident, elle n’en retient que le principal, à savoir l’apparition fugace du membre colossal. En brave Américaine soucieuse d’apaiser ses curiosités, elle demande au Gros s’il serait possible de revoir la chose une dernière fois.

Peu formaliste, le chieur-sur-plante-en-pot exhibe son tube lance-torpilles sans se faire prier. Les consommateuses de thé poussent des cris d’admiration, assurant qu’elles n’en ont jamais vu de semblable.

— Si vous l’prendrez su’ c’ton, assure Béru, je vas vous faire admirer l’ clou d’not’ collection.

De sa voix de stentor, il hèle :

— Félisque ! T’as une minute pour montrer ton chibre à des dames d’la bonne société ?

Notre ami prof qui stagnait avec nous devant le vaste comptoir de marbre de la réception, va rejoindre Alexandre-Benoît, lequel le prie d’extraire de ses braies le boa qui s’y love.

En homme parfaitement libre, n’importe le continent où il se produit, Félix extirpe le prestigieux mandrin en viande crue. Cris forcenés des douairières ! La presque aveugle tire une loupe de son réticule, ce qui ne fait qu’accroître la spectacularité du zob.

My God ! My God ! déclame-t-elle comme du Shakespeare.

— Vot’ gode, la mère, vous pouvez l’laisser dans le tiroir d’vot’ commode quand on vous montre un panais pareil, classé monument hystérique, et qu’la Faculté d’Paris paie une pension à mon pote pour qu’y le laissasse à la science après sa mort !

Flatté par son succès, Félix déclare que ces deux aimables personnes sont attendrissantes et qu’il tient à les récompenser. Alors il ordonne au Marquis, qui ne le quitte pas d’une semelle, de se dépantalonner à son tour.

Une immense clameur fait vibrer les fondations de l’hôtel, voire les fondements de ses clientes. Ce qui apparaît alors au milieu des ors et de la pourpre palacieuses, est un défi au genre humain. Tu crois que Dieu s’est amusé à tenter un prototype auquel Il s’est empressé de renoncer en raison de sa complète inutilité et de sa monstruosité. Magine-toi qu’à première vue, le Marquis a TROIS jambes. Tu croirais le tronc multiple d’un palétuvier. Ça se réunit tels des tentacules de pieuvre. Cela est effroyable ; il s’agit d’une anomalie insoutenable. Les deux vieilles vivent l’instant culminant de leur longue existence. Ne savent où donner de la prunelle, vont du chibre féroce d’Alexandre-Benoît, à l’infirmité du Marquis en s’attardant au passage sur le chibraque fabuleux de M. Félix. Malgré tout, c’est à lui que revient la palme, son paf gardant les apparences d’une bite.

Chez Lagrande-Bourrée, il ne s’agit plus de gigantisme, mais d’accident de nature. Il fascine en écœurant. Tandis que le Gros et Félix déclenchent des convoitises plus ou moins réalisables, mais tout de même ENVISAGEABLES !

Un serveur attiré par les cris et l’odeur se pointe ! Son plateau lui en choit ! Ce bris amène du monde. Ce monde réagit différemment. Un pasteur veut appeler la police, appuyé en cela par le sous-directeur du Sacramento qui tient à la répute de sa crèche. Les dames présentes crient que « pas tout de suite, please ! » ; elles veulent regarder en plein, toucher même, si c’est dans leurs prix.

La situation est réglée par un grand monsieur chauve, à lunettes cerclées d’écaille qui n’est autre que Harold J.B. Chesterton-Levy, le fameux producteur, P.-D.G. de la Gloria Hollywood Pictures, auquel on doit des chefs-d’œuvre tels que Beignets de courgettes en fleurs, Le Château d’Os, Chérie, viens vite : j’ai fait gonfler ma bite, Barbe Bleue s’est rasé , et Ma femme est une sourcière .

Il contemple le tableautin à la Fragonard que constituent ces trois mâles (ô combien !) déculottés et s’approche de moi avec cette infaillibilité des puissants qui, au premier regard, savent reconnaître un manager d’un déboucheur d’évier.

— C’est vous qui vous occupez de ces gars ? me demande-t-il.

— Cela m’arrive, réponds-je.

Il fait claquer ses doigts et une jeune fille très blonde, coiffée court, vêtue d’une jupe-culotte noire et d’une veste de cuir blanche s’avance.

— Angela, fait-il (il prononce Anguéla), prenez rendez-vous avec monsieur pour demain en fin de matinée.

— Bien, monsieur Levy.

Le magnat saisit un bouton de mon veston léger.

— Dites à vos phénomènes de se reculotter et de ne plus montrer leurs sexes jusqu’à nouvel ordre.

Et tu sais quoi ? Cet homme subjugue tellement que je m’entends lui répondre :

— Bien, monsieur Levy.

Là-dessus, le cinémateur va pour s’éloigner, mais il revient sur ses pas en entendant le sous-dirluche repartir en vociférations chasseresses. Le monsieur nous prie de décamper séance tenante et de nous estimer heureux qu’il ne prévienne pas la police.

Le producteur (qui a conservé le bouton de mon veston dans le creux de sa main, en otage sans doute), déclare au sous-dirluche :

— Vous ne ferez pas de carrière, Haller ! Renvoyer des gens aussi singuliers de votre hôtel est criminel ! Je parlerai de vous à mon ami Tannerbaum, le propriétaire !

L’interpellé se met à applaudir des genoux, à perdre ses couleurs, à baver ses amygdales et à ajouter le fumet de ses vesses à l’odeur prenante des récents épanchements du Dodu.

— Tout compte fait, Angela, déclare le grand producteur international, inutile de prendre rendez-vous, vous allez installer tous ces messieurs à la Résidence de Malibu et je passerai les voir en fin de journée !

Telle est sa volonté !

3

CHAPITRE ORTHOPHONIQUE

MODULABLE

Il faudrait avoir la puissance évocatrice d’un Robin-Grillé pour parler de « la » Résidence. Elle s’appelle « The Résidence » et elle le mérite. Campée sur la verdoyante colline de Malibu, elle est de style colonial New Orleans, avec huit colonnes de marbre soutenant des chapiteaux corinthiens à couettes et des volées de marches, en marbre également et non en bois vert.

Trouvant l’aventure plaisante, je me laisse chaperonner par Angela. Fille étonnante, presque cybernétique tant elle est tournée vers la seule efficacité. Elle doit être plus que précieuse à un homme aussi suroccupé que le big boss de la Gloria Hollywood Pictures. Sa beauté ne paraît être que « de politesse ». Elle vise à l’agrément de l’œil afin de rendre sa présence plus agréable et non à la séduction charnelle. Une ravissante dame robot, pour te faire comprendre. Rapide, affûtée, vite indispensable pour qui bénéficie de ses prestations.

Nous nous déplaçons à bord de deux immenses Lincoln long châssis. La fille est assise sur le canapé faisant face au mien, dans le sens contraire à celui de la marche. Elle m’interroge en cours de route pour commencer à établir mon dossier : nos noms, qualités, adresses.

Pour la rubrique emploi, je réponds « fonctionnaire d’Etat » et c’est bien suffisant comme ça.

Lorsqu’elle en a terminé avec ses questions, je lui demande ce que Mister Chesterton-Levy attend de mes scouts.

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