Janet Evanovich - Deux fois n’est pas coutume

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Deux fois n’est pas coutume: краткое содержание, описание и аннотация

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Stéphanie Plum est chasseuse de prime. Sa spécialité : ramener les libérés sous caution récalcitrants au tribunal. Un job sans grande surprise, sauf quand il s'agit de mettre la main sur Kenny Mancuso. Un vrai coriace trempé dans une affaire de trafic d'armes, qui passe son temps à découper des cadavres et à envoyer les morceaux à Stéphanie. Sans compter les quarante cercueils disparus d'une entreprise de pompes funèbres. Un vrai casse-tête. Évidemment, tout irait mieux si Morelli, flic et pot de colle, n'était pas toujours pendu à ses basques. Heureusement, Stéphanie à une grand-mère qui s'y connaît en flingues et en salons funéraires.

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— Vous avez un problème ? lui fis-je.

— J’aime pas les flics. Y compris les flics femelles.

— Je ne suis pas flic. Je suis agent de cautionnement judiciaire.

— Vous êtes une enfoirée de chasseuse de primes. Et j’ai rien à dire aux enfoirées de chasseuses de primes.

— Traitez-moi d’enfoirée encore une fois, et je vais vous montrer de quel bois je me chauffe.

— C’est censé me faire peur ?

J’avais une bombe lacrymo dans mon sac et l’envie me démangeait de lui en pulvériser une giclée en pleine poire. J’avais aussi un boîtier paralysant [3] Stun gun : boîtier électrique à effet paralysant long d’une quinzaine de centimètres et qui comprend deux électrodes provoquant une décharge de 50 000 volts. (N.d.T.) . La dame qui tenait l’armurerie du coin m’avait convaincue de l’acheter, et je ne l’avais pas encore étrenné. Je me demandais si 50 000 volts dans son logo Harley lui remettraient les idées en place.

— Attention de ne pas me dissimuler des informations, Sandeman. Ou gare à votre liberté conditionnelle. Réfléchissez-y.

Il me flanqua un coup sur l’épaule qui me fit reculer d’un mètre.

— Que quelqu’un s’avise d’aller tirer la sonnette de mon agent de probation, et ce quelqu’un pourrait bien découvrir pourquoi on m’a surnommé le Marchand de Sable. Réfléchissez à ça, vous, de votre côté.

On y pensera.

5

Je partis du garage en début d’après-midi. Une des rares choses que m’avait apprises Sandeman était que je le détestais en bloc. En temps ordinaire, je n’aurais jamais imaginé que Kenny et lui puissent être amis, mais l’ordinaire ne l’était plus trop, et ce Sandeman dégageait quelque chose qui éveillait mes soupçons.

Fouiller dans son quotidien ne figurait pas en tête de la liste de mes loisirs préférés, mais je me dis qu’il serait sage d’y consacrer un peu de temps. Je devais au moins aller jeter un coup d’œil à son home sweet home et vérifier que Kenny n’était pas son colocataire.

Je descendis Hamilton Avenue et pus me garer à deux immeubles du bureau de Vinnie. Connie allait et venait, fermant d’un coup sec les tiroirs des classeurs et poussant un juron quand j’entrai.

— Ton cousin est une merde de chien ! me cria-t-elle. Stronzo !

— Qu’est-ce qu’il a encore fait ?

— Tu connais la fille qu’il vient d’embaucher ?

— Sally Quelque chose.

— Ouais : Sally Qui Connaissait l’Alphabet.

Mon regard fit le tour de la pièce.

— Elle manque à l’appel à ce qu’il semblerait.

— Et comment ! Ton cousin Vinnie l’a coincée à un angle de quarante-cinq degrés devant le tiroir des D et a essayé de jouer à cache-saucisse !

— Je crois comprendre que Sally n’a pas été d’accord.

— Elle est sortie d’ici en hurlant qu’on pouvait donner son salaire à une œuvre de charité. Et maintenant, plus personne pour faire le classement. Et devine qui doit se taper des heures sup’ ?

Connie referma un tiroir d’un coup de pied.

— C’est la troisième employée en deux mois !

— Peut-être qu’on devrait intervenir et faire châtrer Vinnie.

Connie ouvrit le tiroir central de son bureau et en sortit un couteau à cran d’arrêt. Elle libéra la lame qui jaillit avec un claquement mortel.

— Peut-être qu’on devrait s’en charger nous-mêmes, dit-elle.

Le téléphone sonna et Connie remit prestement le couteau dans le tiroir. Pendant qu’elle parlait, je consultai le fichier en quête du dossier Sandeman. Aucun. Donc, soit il n’avait pas eu de caution à payer, soit il s’était trouvé un autre garant. J’essayai l’annuaire de Trenton et de ses environs, mais sans plus de succès. J’appelai Loretta Heinz au DMV [4] DMV : Department of Motor Vehicles. . Loretta et moi nous connaissions depuis des années. Nous avions été éclaireuses chez les Ames vaillantes ensemble et passé notre temps à râler en chœur pendant les deux pires semaines de ma vie au Camp Sacajawea. Loretta tapota sur son ordinateur à tout faire et, abracadabra, j’obtins l’adresse de Sandeman.

Je la notai et articulai « salut » à Connie.

Sandeman habitait dans Morton Street, dans un quartier de grandes maisons en pierre apparente laissées à l’abandon. Les pelouses n’étaient pas entretenues, des stores déchirés pendaient mollement à des vitres sales, les pierres angulaires étaient recouvertes de tags et la peinture s’écaillait aux encadrements des fenêtres et des portes. Presque toutes les maisons avaient été divisées en appartements. Quelques-unes, incendiées ou laissées pour compte, étaient condamnées par des planches. Certaines avaient été restaurées et luttaient vaillamment pour reconquérir leur grandeur et leur dignité d’antan.

Sandeman vivait dans une des maisons multifamiliales. Ni la plus jolie ni la plus moche de la rue. Un vieil homme était assis sur la véranda. Le blanc de ses yeux s’était terni avec l’âge, des poils gris s’accrochaient à ses joues cadavériques, et sa peau avait la couleur du bitume. Une cigarette pendillait au coin de sa bouche. Il avala un peu de fumée et plissa les yeux dans ma direction.

— Je vais vous dire une chose, fit-il. Je reconnais un flic quand j’en vois un.

— Je n’en suis pas un.

C’était une obsession ou quoi ? Je jetai un œil à mes Doc Martens, me demandant si ça ne venait pas des chaussures. Morelli avait peut-être raison. Je devrais peut-être changer de style.

— Je cherche Perry Sandeman, lui dis-je, brandissant ma carte. Je suis à la recherche d’un de ses amis.

— Sandeman n’est pas chez lui. Il travaille au garage la journée. Il est pas souvent chez lui la nuit non plus d’ailleurs. Il rentre seulement quand il est saoul ou dopé. Et alors, il devient méchant. Vaut mieux pas s’approcher trop près quand il est bourré. Un excellent mécanicien, remarquez.

Tout le monde est d’accord là-dessus.

— Vous connaissez le numéro de son appartement ?

— 3C.

— Il y a quelqu’un en ce moment ?

— Je n’ai vu entrer personne.

Je passai à côté du vieil homme, entrai dans le hall et m’immobilisai, le temps que mes yeux s’habituent à l’obscurité. L’air était vicié par une odeur de plomberie défaillante. Le papier peint taché se décollait aux raccords. Le plancher crissait sous les pas.

Je fis passer ma bombe lacrymo de mon sac à la poche de mon blouson et commençai à gravir les marches. Il y avait trois portes au deuxième étage. Toutes fermées à clef. Une télévision bourdonnait derrière l’une d’elles. Le silence régnait dans les deux autres appartements. Je frappai à la 3C et attendis. Rien. Je refrappai. Toujours rien.

D’un côté, la perspective de me confronter à un malfrat me fichait une trouille d’enfer, et je n’avais qu’une envie, décaniller au plus vite. D’un autre côté, je voulais capturer Kenny, et je me sentais obligée d’aller jusqu’au bout.

Il y avait une fenêtre au fond du couloir à travers laquelle je voyais des barreaux noirs et rouillés qui avaient tout l’air d’être ceux d’un escalier de secours. Je m’approchai et regardai au-dehors. Oui, c’était bien un escalier de secours… dont une partie longeait l’appartement de Sandeman. En passant par la fenêtre, je pourrais jeter un coup d’œil à son intérieur. Personne en bas. Tous les stores du bâtiment d’en face étaient baissés.

Je fermai les yeux et pris une profonde inspiration. Que pouvait-il arriver au pire ? Je pouvais me faire arrêter, tuer, pousser dans le vide, ou mettre en bouillie. Bon. Et au mieux ? Personne ne serait à la maison et ni vu ni connu.

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