Laure Abrantès - Histoire des salons de Paris. Tome 4
Здесь есть возможность читать онлайн «Laure Abrantès - Histoire des salons de Paris. Tome 4» — ознакомительный отрывок электронной книги совершенно бесплатно, а после прочтения отрывка купить полную версию. В некоторых случаях можно слушать аудио, скачать через торрент в формате fb2 и присутствует краткое содержание. ISBN: , Жанр: foreign_antique, foreign_prose, на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале библиотеки ЛибКат.
- Название:Histoire des salons de Paris. Tome 4
- Автор:
- Жанр:
- Год:неизвестен
- ISBN:http://www.gutenberg.org/ebooks/44054
- Рейтинг книги:5 / 5. Голосов: 1
-
Избранное:Добавить в избранное
- Отзывы:
-
Ваша оценка:
- 100
- 1
- 2
- 3
- 4
- 5
Histoire des salons de Paris. Tome 4: краткое содержание, описание и аннотация
Предлагаем к чтению аннотацию, описание, краткое содержание или предисловие (зависит от того, что написал сам автор книги «Histoire des salons de Paris. Tome 4»). Если вы не нашли необходимую информацию о книге — напишите в комментариях, мы постараемся отыскать её.
Histoire des salons de Paris. Tome 4 — читать онлайн ознакомительный отрывок
Ниже представлен текст книги, разбитый по страницам. Система сохранения места последней прочитанной страницы, позволяет с удобством читать онлайн бесплатно книгу «Histoire des salons de Paris. Tome 4», без необходимости каждый раз заново искать на чём Вы остановились. Поставьте закладку, и сможете в любой момент перейти на страницу, на которой закончили чтение.
Интервал:
Закладка:
Pulchérie était madame de Valence, spirituelle et charmante femme. Elle était encore fort jolie à cette époque.
22
Cette coutume était assez ordinaire dans les grandes maisons; mais surtout dans les maisons royales et les maisons princières.
23
Madame de Custine, belle-fille du général de Custine; qui mourut sur l'échafaud en 1793, était mademoiselle de Sabran.
24
Mesdemoiselles Lolive et de Beuvry étaient à cette époque les lingères les plus renommées; elles furent ensuite lingères de la cour; mais elles étaient déjà un peu vieilles, et avaient été lingères de nos mères. – Plus tard ce fut Minette qui prit leur place dans la mode pour être lingère des jeunes femmes. Elle faisait des choses charmantes, unissant le goût le plus recherché au plus grand luxe. C'est chez elle que j'ai vu une robe de percale , et par conséquent du matin, du prix de 2,500 francs.
25
Une toilette comme je viens de la décrire pouvait revenir à 6 ou 8,000 francs. Un beau cachemire coûtait au moins 1,500 ou 2,000 fr. – Ces canezous très-brodés, 4 ou 500 fr., en raison de la dentelle qui était autour du col, et presque toujours en malines, valenciennes, et souvent en point d'Angleterre ou point à l'aiguille. – Le voile, 1,000 fr., et souvent bien au-delà lorsqu'il était dans une corbeille de mariage. – La montre, 2,000 fr. – La toque, 200 fr., etc. On voit que la chose allait vite.
26
Le premier Consul ne voulait jamais avoir l'air d'aller en aucun lieu par invitation … les demandes eussent été trop fréquentes, et beaucoup n'auraient même pas pu être refusées par lui.
27
Mère du marquis de Custine, dont on va publier un voyage en Espagne, qui continuera à justifier tout ce que le beau talent de l'auteur promettait dans ses Souvenirs de voyage en Italie et en Angleterre . Je connais plusieurs parties de ce voyage en Espagne, admirables de vérité, de description, de chaleur de style, et également belles par la richesse et la profondeur des pensées. M. de Custine est un homme dont l'époque littéraire sera fière. Un talent comme le sien est rare aujourd'hui; au milieu de cette foule de choses, de productions de mauvais goût, on jouit en lisant un ouvrage qui, par la pureté du style et la haute portée des pensées, vous reporte aux beaux temps de notre littérature. J'ai porté ce jugement lorsque M. de Custine publia le Monde comme il est , admirable ouvrage qui grandira comme il le mérite, car il restera. Mon sentiment est le même aujourd'hui qu'alors, seulement il est plus positif, parce que le temps l'a confirmé.
28
C'est pour rappeler cette matinée et la démarche de madame de Custine que madame de Staël a placé dans Delphine la scène qui se passe chez la Reine, lorsque tout le monde abandonne Delphine et que madame de R*** va auprès d'elle.
29
C'était à cette époque une opinion assez répandue que le général Bonaparte avait instruit et envoyé Augereau pour faire le 18 fructidor.
30
Monseigneur le duc d'Orléans, grand-père du roi.
31
M. le duc d'Orléans était très-gros, et n'aurait pas pu, en effet, jouer un rôle où il aurait fallu de l'élégance dans la tournure.
32
1760 ou 1761. – C'était l'époque qui commença les turpitudes de la fin du règne de Louis XV.
33
Alors on ne disait pas la Comédie Française , on disait les Français .
34
Madame de Montesson savait sans doute, par les Mémoires de Saint-Simon et ceux de Dangeau, que les princesses se couchaient sur leur lit pour ne pas reconduire lorsque l'étiquette était douteuse. Pour trancher la difficulté, madame de Montesson était sur un canapé, les pieds posés sur un tabouret et les jambes recouvertes d'un couvrepied. Cette attitude admettait un état qui l'empêchait de se lever et conséquemment de reconduire. Elle ne reconduisait que madame Bonaparte et madame Louis, quelquefois aussi la princesse Pauline: celle-ci exigea qu'elle ne le fît pas, mais elle le voulait faire. J'ai déjà parlé de cette coutume de la maison de madame de Montesson.
35
La serre de la Folie de Saint-James, à Neuilly, avait été faite sur ce plan bien avant toutes deux.
36
Madame Robadet, dame de compagnie de madame de Montesson, fut toujours attentive à lui plaire, mais n'en fut pas récompensée comme elle aurait dû l'être à la mort de madame de Montesson. Elle fut à peu près oubliée dans le testament, si elle ne le fut pas tout-à-fait. J'ai contribué pour ma part, et sans qu'elle l'ait su, peut-être, à lui faire avoir une place de dame de compagnie en Italie. Madame Robadet était une aimable femme.
37
J'ai vu des exemples de ce que je viens de citer, pas plus tard que l'hiver dernier. C'était dans un salon où il y avait beaucoup de monde; la maîtresse de la maison se levait pour aller parler à quelqu'un à l'extrémité du salon; elle trouvait sa place auprès de la cheminée prise, cette place qui est toujours un lieu réservé, ainsi que tout le monde sait. Cette ridicule usurpation se fit plusieurs fois de suite; il fallut que la maîtresse de la maison le dît enfin, pour qu'on ne retombât plus dans cette faute.
38
Qui depuis épousèrent, l'une M. de Celles, préfet de Nantes, l'autre le maréchal Gérard. Toutes deux sont faites pour servir de modèle comme filles, comme épouses et comme mères. Madame de Celles est morte à Rome en 1825.
39
Madame de La Tour était mademoiselle de Polastron et sœur de la duchesse Jules de Polignac.
40
Madame la marquise de Fontanges, fille de l'ancien intendant de Metz, était une charmante personne et jolie comme un ange; sa fille Delphine a depuis épousé M. Onslow (Georges), qui possède un si beau talent pour la composition de musique dramatique.
Madame de Fontanges et son père, M. de Pont, étaient aussi des amis intimes de ma mère. M. de Pont était avec M. de Valence et César Ducrest, lorsque ce malheureux jeune homme fut tué par une bombe, au feu d'artifice tiré pour la paix avec l'Angleterre: M. de Pont eut le bras cassé à plus de soixante-six ans. Il était l'ami le plus intime, après M. de Valence, de madame de Montesson.
41
Femme du ministre de Prusse. – C'était une énorme Prussienne, très-bonne femme du reste.
42
Ambassadrice de Naples.
43
Sœur du prince Czartorinsky.
44
Madame de Genlis a été pour madame de Montesson comme beaucoup de gens sont envers les grands parents, c'est-à-dire ingrats, du jour où celui qui a longtemps fait s'arrête. Alors ce parent a tous les défauts; il a d'abord les siens, et puis toutes ses qualités qui se sont changées en défauts. Bienheureux qu'elles ne deviennent pas des vices!
45
Madame de La Tour se serait crue coupable d'appeler l'Empereur par son nom.
46
On a dit vulgairement que MM. de Polignac avaient été tous deux condamnés à mort; c'est une erreur. M. Armand le fut, mais non pas M. Jules. Il fut condamné à deux ans de prison; il n'eut pas de lettres de grâce comme les autres.
47
Junot et moi nous étions alors à Arras, et Murat était gouverneur de Paris. J'ai vu Junot se féliciter, avec un bonheur dont des paroles ne peuvent donner l'idée, de s'être trouvé loin de Paris dans un pareil moment. – Si je m'y fusse trouvée, toutefois, j'aurais été aussi une des premières auprès de l'Empereur. – Madame de La Tour était l'amie de ma mère, comme je l'ai déjà dit, ainsi que la famille Polastron, à Toulouse.
Читать дальшеИнтервал:
Закладка:
Похожие книги на «Histoire des salons de Paris. Tome 4»
Представляем Вашему вниманию похожие книги на «Histoire des salons de Paris. Tome 4» списком для выбора. Мы отобрали схожую по названию и смыслу литературу в надежде предоставить читателям больше вариантов отыскать новые, интересные, ещё непрочитанные произведения.
Обсуждение, отзывы о книге «Histoire des salons de Paris. Tome 4» и просто собственные мнения читателей. Оставьте ваши комментарии, напишите, что Вы думаете о произведении, его смысле или главных героях. Укажите что конкретно понравилось, а что нет, и почему Вы так считаете.