Antonio Baldaque da Silva - O descobrimento do Brasil por Pedro Alvares Cabral
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Vents et moussons – La côte du Brésil, entre Bahia et Rio-Janeiro, est encore comprise dans la limite des alizés, et ce sont en effet les vents de la partie de l'E. qui y régnent le plus fréquemment; mais, comme on approche déjà de la limite Sud de ces vents, ils y subissent de grandes perturbations, et les moussons de N.E. et S.O. y sont bien caratèrisées, surtout dans le voisinage de la côte. Mousson de S.O. – La direction moyenne de l'alizé varie de trois quarts entre l'été et l'hiver, et, dans cette dernière saison d'avril à septembre, dite mousson de S.O., les vents généraux sont souvent remplacés par des vents variables du S. à l'O., qui sont les derniers souffles des pampeiros régnant à cette époque de l'année sur les côtes de la Plata. Ils amènent des temps sombres, de la pluie et un peu de mauvais temps; mais, arrivés par cette latitude, ils ont perdu toute leur force; ils sont tièdes, légers sur les voiles, et il est rare qu'ils forcent à prendre plus d'un ris aux huniers. Ils ne durent jamais plus de deux ou trois jours; le plus généralement même ce ne sont que des grains de quelques heures, auxquels succèdent des calmes et du beau temps, si le vent tourne au S.E. et à l'E. Outre ces grains de S.O., on reçoit aussi assez souvent des grains de S.E. aux environs des Abrolhos, et des orages du N.O. avec pluie et tonnerre qui arrivent également tout le long de la côte, mais s'étendent en général assez peu au large. En résumé, pendant tout l'hiver ou mousson de S.O., entre les deux équinoxes (avril, mai, juin, juillet et août), on trouve sur la côte du Brésil, entre Rio et Bahia, jusqu'à 30 ou 40 lieues au large, des petits temps très-variables, des grains pluvieux de S.O., des orages de N.O. et des brises inégales de l'E. au Sud». — Les côtes du Brésil , II.e section, pages 8. Dépôt des cartes e plans de la marine, Paris, 1864.
«… aly jouuemos toda aquela noute, e aa quimtafeira pola manhãa fezemos vella e segujmos direitos aa terra e os nauios pequenos diante himdo per XVIJ, XVJ, XV, XIIIJ, XIIJ, XIJ, X, e IX braças ataa mea legoa de terra onde todos lamçamos amcoras em direito da boca de huum Rio e chegariamos a esta amcorajem aas X oras pouco mais ou menos…» – Carta (citada) de Pero Vaz Caminha, 1 de maio de 1500.
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Carta de Pero Vaz Caminha. – Carta de mestre Johan, fisico e cirugyano de El-Rei D. Manuel. – Roteiros já citados. – Effectivamente não ha nada que documente ou explique a existencia de uma tempestade, e portanto esta hypothese não tem fundamento algum, e até está banida pelos principaes e mais profundos historiadores e notaveis hydrographos. — Corografia Brazilica do padre Cazal. Roteiro do Brazil de M. Ernest Mouchez, nota ( a ), pag. 115.
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«… senor ayer segunda feria que fueron 27 de Abril descendymos en terra yo e el pyloto do capitan moor e el pyloto de Sancho de tovar e tomamos el altura del sol al medyodya e fallamos 56 grados e la sontra era septentrional per lo qual segund las reglas del estrolabio jusgamos ser afastados de la equinocial por 17 grados e per consyguiente tener el altura del polo antartico en 17 grados segund que es magnifiesto en el espera e esto es quanto alo uno por lo qual sabra vosa alteza que todos los pylotos van adyante de mi en tanto que pero escolar va adyante 150 leguas e otros mas e outros menos pero quien dyse la verdad non se puede certyficar fasta que en boa ora allegemos al cabo de boa esperança e ally sabremos quien va mas cierto ellos con la carta o yo con la carta e el estrolabio…» – Carta de mestre Johan, 1 de maio de 1500. Arch. Nac. da Torre do Tombo, Corpo Chron., parte 3.ª, maço 2, doc. n.º 2.
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Courant général au large. Il existe à 40 ou 50 lieues, au large de la côte du Brésil, un courant général descendant parallèlement à cette côte du N.N.E. au S.S.O., et qui n'est que la branche Sud du grand courant équatorial se bifurquant sur le cap Saint-Roque. Ce courant a une vitesse moyenne de 10 à 15 milles par 24 heures; il perd de sa force en avançant vers le S., et varie d'ailleurs selon les saisons et la force du vent. Il n'est plus guère sensible au delà du tropique. Ce courant, combiné avec la dérive produite par les vents alizés du S.E., se modifie souvent et porte vers la côte au S.O. et à l'O.S.O.» — Les côtes du Brésil (já citado), pag. 11. Veja-se tambem a Chart of the World on Mercators projection , constructed by Hermann Berghaus and Fr. v. Stülpnagel. Gotha: Justus Perthes.
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« Courants près de terre. Entre le courant dont nous venons de parler et la côte, le mouvement des eaux est entièrement soumis aux vents régnants dès que la brise souffle 24 heures de la même direction, soit du N.E. ou du S.O. Le courant s'établit en conséquence et proportionnellement à la force des vents; aussi pendant la saison des vents de N.E., surtout d'octobre à janvier, les courants portent au S.O. avec une vitesse qui peut atteindre 25 à 30 milles par 24 heures. C'est surtout près des points saillants, tels que les caps Saint-Augustin, le Rio Doce, les caps Saint-Thomé et Frio, que la vitesse est la plus grande. Les navires qui atterrissent dans cette saison à Pernambouc et Bahia doivent compter sur une différence d'au moins 1 mille par heure et manœuvrer en conséquence; beaucoup de navires sont portés de 36 à 40 milles au S.O. dans les 24 heures. Mais, nous le répétons, ces courants cessent avec la cause qui les produit et sont loin d'opposer à la navigation un obstacle semblable à celui que l'on rencontre le long de la côte ferme, quand on veut remonter à contre-courant et contre-mousson de Sainte-Marthe à Curaçao ou à la Guayra. A l'exception des trois ou quatre mois d'été, novembre, décembre et janvier, où les vents de N.E. sont dans toute leur force, ces courants sont assez faibles et très-variables. Pendant la mousson de S.O., ils portent au N., et sont également faibles et variables; c'est en juin et juillet qu'ils acquièrent la plus grande force». — Les côtes du Brésil (já citado), pag. 12.
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A expedição compunha-se ao largar de Lisboa de tres naus e dez caravellas. « Caravelle : Le navire de ce nom, qui eut une véritable célébrité aux XVe et XVIe siècles; le navire dont se servirent les Portugais pour leur voyages de découvertes, et Christophe Colomb pour sont aventureuse navigation à l'ouest, était un petit bâtiment de la famille des vaisseaux ronds, mais plus fin de forme que les nefs ses contemporaines, et ayant des façons plus pincés. Ainsi était-il plus rapide, meilleur manœuvrier, et plus propre à toutes les expéditions qui demandait de la célérité dans la marche et une grande rapidité dans les évolutions».== Glossaire Nautique par A. Jal, Paris MDCCCXLVIII, pag. 419.
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Vaz de Camina, qui donne beaucoup de détails sur ce voyage, n'indique nulle part ce motif (éviter les calmes de la côte d'Afrique) comme cause de la déviation dans l'O. de la route de Cabral, et nulle par non plus on ne lui voit invoquer le motif d'une tempête par 15° ou 16° de latitude pour expliquer ce grand écart de route et la découverte de la terre. Dès qu'on s'avance au S. de l'équateur, les alizés adonnent continuellement, et si l'on peut doubler la partie la plus orientale du continent, un peut au S. du cap Saint-Roque, l'on ne peut que s'éloigner de plus en plus de la côte quand on cherche à doubler le cap de Bonne-Espérance, puisque, d'un côté, les vents permettent de faire plus d'E., et que, de l'autre, la côte s'éloigne vers l'Ouest. Il est donc à peu près impossible de donner un autre motif plausible de l'arrivée de Cabral en vue de terre par 16° de latitude qu'une erreur de route commise par ce navigateur. — Les côtes du Brésil (já citado), nota a , pag. 115
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