Brown, Dan - Da Vinci code
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La visite inopinée de Langdon au château de Villette avait également posé au Maître un véritable dilemme. Si la livraison imprévue de la clé de voûte avait représenté une aubaine inespérée, l'arrivée de la police, en revanche, avait terriblement compliqué les choses. Ils avaient évidemment retrouvé les empreintes digitales de Rémy un peu partout dans le château, sans parler de la station d'écoute que les policiers avaient fatalement dû découvrir. Mais personne ne pourrait établir un quelconque lien entre les activités du domestique et les siennes : le Maître avait pris toutes les précautions nécessaires. Rémy, seul témoin capable de l'impliquer dans l'affaire, n'était plus de ce monde.
Un dernier petit détail à régler , se dit-il en ouvrant la porte arrière de la voiture. La police n'aura aucun moyen d'imaginer ce qui s'est passé .
Après un coup d'œil pour s'assurer que personne ne le regardait, il s'assit sur le siège arrière et ouvrit le minibar.
Quelques minutes plus tard, le Maître descendait à pied Horse Guards Road, en direction du sud.
– 425 –
Il ne reste plus que Langdon et Neveu . Leur suppression s'annonçait plus compliquée, mais réalisable. Pour le moment, l'objectif était d'ouvrir le cryptex.
Un chevalier à Londres gît, qu'un Pope enterra.
Une ire extrême le fruit de ses œuvres causa.
Il embrassa le parc d'un regard triomphant. Il avait identifié le chevalier dès la première lecture du poème. Mais il n'y avait rien de surprenant à ce que les autres n'aient pas deviné.
J'avais une bonne longueur d'avance sur eux . Depuis plusieurs mois qu'il écoutait les conversations de Jacques Saunière, le « chevalier » avait été évoqué de nombreuses fois, avec une admiration presque égale à celle que le vieux conservateur vouait à Leonardo Da Vinci. Une fois cette information connue, l'allusion au chevalier devenait évidente.
Restait cependant à comprendre comment la tombe allait bien pouvoir révéler le mot de passe final.
Il fallait maintenant découvrir le sésame du petit cryptex d'onyx.
Cherchez la sphère qui devrait sa tombe orner.
Le Maître se souvenait vaguement de photos du monument funéraire, et notamment de ce superbe globe de marbre, presque aussi gros que la tombe elle-même. La présence de ce globe semblait pourtant aussi encourageante que déconcertante au Maître. D'un côté, elle avait valeur de signal, et pourtant le poème faisait état d'une sphère absente, ce qui était une étrange manière de définir la pièce manquante du puzzle.
Il espérait bien trouver la clé du mystère sur place en examinant attentivement ladite tombe.
Il enfonça le petit cryptex plus profondément dans sa poche droite pour le protéger de la pluie, et s'assura que le Médusa, au fond de la gauche, ne risquait pas de tomber.
Il arrivait à destination. Plus que quelques mètres avant de pénétrer dans l'édifice presque millénaire, le sanctuaire où l'attendait la tombe du chevalier.
À l'instant même où le Maître s'abritait de la pluie, Mgr Aringarosa posait le pied sur le tarmac ruisselant de l'aéroport de Biggin Hill. Abrité sous le parapluie de l'officier de la police
– 426 –
britannique venu l'accueillir à sa sortie d'avion - et quelque peu déçu que ce ne soit pas Fache en personne -, il rassembla dans une main les plis de sa soutane pour ne pas en souiller l'ourlet.
— Monseigneur Aringarosa ? Le commissaire a été obligé de s'absenter. Je suis chargé de veiller sur vous en son absence.
Il m'a conseillé de vous conduire au siège de Scotland Yard. Il pense que vous y serez plus en sécurité.
En sécurité ? Aringarosa serra un peu plus fort la valise bourrée de bons au porteur qu'il tenait à la main et qu'il avait presque oubliée.
En s'asseyant dans la voiture qui devait l'emmener, il se demanda où Silas pouvait bien se trouver en ce moment.
Quelques minutes plus tard, la radio crachotait la réponse.
Le policier décrocha le micro :
— Cinq, Orme Court, Bayswater. Aringarosa reconnut instantanément l'adresse.
Le siège londonien de l’Opus Dei.
Il ordonna au chauffeur :
— Conduisez-moi tout de suite là-bas !
– 427 –
95
Langdon n'avait pas quitté des yeux l'écran de l'ordinateur depuis le début de la recherche.
Seulement deux titres sortis, en plus de cinq minutes. Et ils ne concordent pas...
Il commençait à douter.
Pamela Gettum était en train de préparer des boissons chaudes dans la pièce voisine. Langdon et Sophie avaient commis l’erreur de demander si la jeune femme pouvait leur préparer du café et, d'après les bips du micro-ondes, ils comprirent qu'ils allaient devoir se contenter de café instantané.
La petite cloche du moteur de recherche fit entendre son tintement joyeux.
— Vous avez une nouvelle réponse, on dirait, lança Pamela de sa cuisinette. Quel est le titre ?
Langdon jeta un coup d'œil à l'écran.
L'Allégorie du Graal dans la littérature médiévale : Un traité sur sir Gauvain et le Chevalier Vert.
— L'allégorie du Chevalier Vert..., répondit-il.
— Laissez tomber. Il y a très peu de géants verts de la mythologie enterrés à Londres...
Langdon et Sophie, patiemment assis devant l'écran, vérifièrent deux nouvelles réponses aussi décevantes. Quand l'ordinateur tinta une nouvelle fois, ils furent passablement surpris du lien qui s'afficha :
LES OPÉRAS DE RICHARD WAGNER
— Les opéras de Wagner ? s'étonna Sophie. Mlle Gettum jeta un coup d'œil du seuil de la pièce voisine, un pot de café instantané à la main.
— Drôle de réponse. Wagner était-il chevalier ?
— Non, répliqua Langdon, soudain intrigué, mais il était franc-maçon. Tout comme Shakespeare, Mozart, Beethoven et Gershwin. On a écrit des milliers de pages sur les liens entre les francs-maçons, les Templiers, le Prieuré de Sion et donc le
– 428 –
Graal. J'aimerais voir le texte entier, ajouta-t-il en se tournant vers Pamela.
— Vous n'avez pas besoin du texte entier, objecta celle-ci.
Cliquez sur l'hypertexte, vous allez voir vos mots clés et le contexte dans lequel ils apparaissent.
Langdon obtempéra et une nouvelle fenêtre apparut.
… un chevalier mythique appelé Parsifal, qui...
... s'il est vrai que la quête du Graal a donné lieu à...
... l'Orchestre philharmonique de Londres en 1855...
... une interprétation de Rebecca Pope , la diva...
... la tombe de Wagner à Bayreuth...
— Ce n'est pas cette Pope que nous cherchons, conclut Langdon, plus déçu qu'amusé.
Il était pourtant impressionné par l'extrême commodité du système. Ces mots clés avec leur contexte suffisaient ainsi à rappeler que Parsifal, l'opéra de Wagner, est un hommage à Marie Madeleine et à la lignée du Christ, le tout transposé dans la quête de vérité d'un jeune chevalier.
— Patience, il va sûrement en tomber d'autres, fit Pamela.
C'est comme au loto, il faut laisser tourner la machine.
Au cours des cinq ou six minutes qui suivirent, la seule référence qui retint leur attention fut un article consacré aux troubadours français du Moyen Age, les célèbres ménestrels.
Langdon savait que ce n'était pas une coïncidence si ménestrel et ministre provenaient d'une même racine étymologique. Les troubadours étaient les « ministres » itinérants de l'église de Marie Madeleine, et par leurs chants, ils contribuaient à répandre l'histoire du Féminin sacré dans le peuple. Ils chantaient les vertus de la gente « Dame », une mystérieuse et belle femme à laquelle ils faisaient vœu d'éternelle fidélité.
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