1 ...7 8 9 11 12 13 ...18 Lucas se pencha contre elle et posa ses lèvres sur les siennes. Il baissa sa main pour la rapprocher de lui et savoura ses doux soupirs de plaisir.
Ses lèvres s’écartèrent pour lui et la douce chaleur de son souffle lui fit bouillir le sang. Il se pressa contre elle, grogna et plongea la langue dans sa bouche. Les bras d’Aurélia remontèrent jusqu’à sa nuque et ses doigts s’enfoncèrent dans ses cheveux. Il s’agrippa à ses hanches, passa ses mains sur son dos, désirant plus. Le baiser les enflamma tous les deux et très rapidement ils se trouvèrent à bout de souffle.
Lucas rompit le baiser et se recula pour la regarder. Son visage était rouge et quand elle ouvrit les yeux, ce fut pour poser sur lui un magnifique regard saphir. Son expression semblait l’accuser de lui refuser son plaisir et il en aurait ri s’il n’avait pas été si excité.
« Déshabille-toi, » dit-il, le plus sérieusement du monde.
Elle obéit, se remettant à genoux et se saisissant de l’ourlet de sa robe. La passant par-dessus sa tête, elle se débarrassa de l’étoffe d’un seul mouvement souple. Lucas se débarrassa de sa chemise, déboutonna son jeans mais ne l’enleva pas.
Aurélia était magnifique dans la lingerie qu’il avait choisie pour elle. Deux simples morceaux de soie blanche transparente recouvraient ses seins et entre ses cuisses, de la dentelle vaporeuse dans le style des années cinquante qu’il aimait tant.
La blancheur de sa peau, la cascade cuivrée de ses boucles qui descendait jusqu’à ses hanches, ses lèvres pleines et ses magnifiques yeux bleus, sans parler de l’expression aguicheuse qu’elle avait sur le visage…
« Tu es de loin la meilleure décision que j’aie jamais prise, » lui dit-il en s’avançant vers elle pour faire glisser les bretelles de son soutien-gorge sur ses épaules.
Aurélia lui sourit timidement, repoussa ses cheveux et mit sa poitrine en avant. Comme une invitation. Il pouvait sentir son regard se poser sur son corps et savait que son torse et ses épaules musclées lui plaisaient.
« J’ai envie de te toucher, » dit-elle et se rapprochant. Elle s’agenouilla devant lui et fit courir ses mains sur ses épaules, ses bras. Ses yeux restaient braqués sur son visage alors qu’elle explorait de plus en plus bas. Il souffla quand elle atteint les hanches et glissa les pouces dans la ceinture de son jean.
Leurs bouches se trouvèrent et il enfouit ses mains dans ses cheveux. Les doigts d’Aurélia glissaient partout sur son corps, laissant derrière eux comme une traînée de feu. Quand ses mains passèrent sur son érection, à travers son pantalon, il fit un mouvement brusque.
Il la repoussa sur le lit et la débarrassa du fin tissu qui couvrait sa poitrine. Se penchant vers elle, il enfouit sa tête entre ses seins, les taquinant de sa barbe. Elle cria, il les prit dans ses mains et attrapa un téton avec sa bouche.
Souffler, lécher, mordiller ses seins, les frotter contre son visage l’excitait tellement que ça en devenait presque douloureux. Descendant plus bas, il lui enleva sa culotte et plaça ses paumes sur ses cuisses.
Il les écarta et se fraya un chemin vers le haut en partant des genoux, en l’embrassant, la léchant et la griffant gentiment de sa barbe naissante. Il s’arrêta pour admirer la chair rose et la trouva déjà toute mouillée, prête pour lui.
« Oh, dit-elle en ondulant les hanches. Oh, oui. »
En grognant, il posa ses doigts et frotta sa tête contre elle. Son goût, si doux, si frais sur sa langue le fit gémir et il se mit à la lécher vigoureusement. Sa langue trouva son clitoris et elle cria.
Aurélia se frottait contre sa bouche alors qu’il faisait tourner sa langue contre son clitoris, la lapait et la suçait fort. Il titilla sa vulve, puis enfonça deux doigts en elle. Il leur fit faire des allers-retours et les incurva jusqu’à atteindre son point le plus sensible. Elle se tendit, frémit et Lucas sut qu’elle y était presque.
« Putain ! » hurla-t-elle. Il aimait qu’elle crie autant et il l’encouragea en la léchant encore plus et en faisant bouger ses doigts sans relâche.
D’un coup elle se contracta et explosa contre lui.
« Lucas ! » cria-t-elle, sa vulve humide s’écrasant sur son visage. Il ralentit alors qu’elle gémissait et se retira quand elle commença à se détendre. Aurélia jeta un bras en travers de son visage, haletante, elle essayait de reprendre sa respiration.
Remontant pour s’allonger à côté d’elle, Lucas repoussa gentiment le bras de son visage et l’embrassa. Ses yeux étaient brillants de plaisir et ses joues colorées d’un beau rose. Elle se redressa à demi, se débarrassa totalement de son soutien-gorge et le jeta par terre.
« Alors ? Comment se passe ta période d’essai, jusque-là ? » demanda-t-il d’un ton neutre.
Aurélia rougit encore un peu plus.
« Eh bien, euh, c’est super. Mais…, toujours un peu essoufflée, elle laissa sa phrase en suspens.
— Mais ? demanda-t-il incrédule, en arquant un sourcil.
— Ce n’est pas un essai, dit-elle. J’avais déjà signé les papiers, avant même de descendre te rejoindre. »
Une vague de chaleur le submergea et il s’allongea pour l’embrasser à nouveau. Elle répondit instantanément, elle n’était pas encore rassasiée. Il sourit contre sa bouche, savourant son désir.
Sa main atteignit ses hanches et elle tira sur la ceinture de son pantalon.
« Enlève ça, ordonna-t-elle.
— Oui maîtresse, » dit-il d’un ton taquin en enlevant son pantalon et en le jetant au bas du lit.
Aurélia le regarda en levant un sourcil.
« Tu n’as rien dessous ? demanda-t-elle.
— Jamais, » répondit-il avec un sourire coquin.
Elle toucha ses hanches encore une fois, admirant sa nudité. Ses doigts caressèrent l’intérieur de ses cuisses et il se contracta.
« Elle est si grosse, » dit-elle en lui caressant le gland du pouce. Il jura alors qu’une grosse goûte de liquide pré séminal se mettait à couler, attestant de son désir intense de la pénétrer.
« Aurélia, la prévint-il, ne me cherche pas. Je t’ai attendue bien trop longtemps. »
Ses doigts s’enroulèrent autour de sa queue et il ferma les yeux. Le plaisir qu’il tira de ce simple contact était tellement intense qu’il aurait pu jouir dans ses mains.
Il lui attrapa les poignets et l’arrêta.
« Laisse-moi te baiser, tout de suite, » lui dit-il en la regardant dans les yeux. Il ne suppliait jamais personne, merde, mais là il avait vraiment besoin de posséder cette femelle.
« Oui, » murmura-t-elle, l’attirant sur elle.
Lucas se positionna entre ses cuisses, frottant sa queue contre son clitoris et pressant son gland sur l’entrée de son vagin.
« Maintenant ! cria Aurélia et d’un coup, Lucas s’enfonça profondément en elle.
— Oh putain ! » cria-t-il. Si chaude et si mouillée, il la sentait s’élargir pour s’adapter à lui.
Il se retira, replongea, se retira.
« Je suis désolé, je ne peux plus attendre, » murmura-t-il, la voix cassée.
Aurélia le gratifia d’un sourire satisfait et commença à onduler les hanches sous lui, donnant le rythme. Il s’accrocha à ses hanches et commença à la pilonner, serrant les dents pour maîtriser le plaisir qui menaçait de lui faire perdre le contrôle. Ses gémissements sexy le rendirent fou, tout autant que la façon dont ses seins tressautaient à chaque coup de boutoir.
« Aurélia, » dit-il, jurant, alors qu’il la sentait se contracter autour de son sexe. Elle avait les yeux fermés, le visage tendu et elle haletait en accompagnant chacune de ses poussées, le baisant elle aussi, autant qu’il la baisait.
Soudain elle se tendit, palpita, puis cria de plaisir.
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