1 ...8 9 10 12 13 14 ...36 Elle me sourit, s’approche, pose sa main sur mon torse. « Je suis pas vierge. »
Je pousse un grognement. C’est plus fort que moi.
« Je ne peux pas changer mon passé. Mais, il faut que tu saches, » ajoute-t-elle, sa main descend le long de mon ventre, plus bas, elle m’agrippe. J’ondule des hanches. « Il ne te ressemblait absolument pas. Il avait une bite riquiqui comparé à toi, il savait même pas s’en servir. »
Elle lève la tête et me dévisage de ses yeux clairs.
A cet instant précis, je suis à sa merci. Complètement, totalement. Je pourrais partir au combat sa main sur ma queue. Si j’avais une once de jugeote, je lui aurais demandé ce qu’elle entendait par « bite riquiqui ».
« Tu sais t’en servir, n’est-ce pas ? » murmure-t-elle, en essuyant de la main la goutte de sperme qui s’écoule de mon gland.
Effectivement, on va pas s’ennuyer.
« Terrienne, tu es la tentation personnifiée. Je vais te laver, te préparer en vue de la baise sauvage que je vais t’infliger, tu ne connais pas encore les us et coutumes en vigueur sur Trion, je vais y remédier. »
Natalie
Il y a une minute à peine, j’étais devant Roark, je touchais effrontément sa verge, me voici allongée, à contempler la végétation luxuriante de l’oasis. Ses mains effleurent mes épaules, mes seins, il les prend en coupe et joue avec, effleure mes tétons et leurs petits anneaux.
J’ignore s’ils sont sensibles à cause des caresses de Roark ou des anneaux. Je m’en fiche, je me cambre sous la caresse, j’ai envie de lui. Ses mains descendent, il caresse mes flancs, mon ventre, mes hanches, l’intérieur de mes cuisses. Il ne touche pas mon sexe. Non, Roark semble prendre un malin plaisir à me torturer. Il écarte mes cuisses et s’installe au milieu, il se baisse afin que sa tête se trouve pile au niveau de mon sexe. Je prends appui sur mes coudes pour le regarder. Cheveux bruns, air sérieux, mains où il faut.
« T’es excitée, je le sens. C’est doux et acidulé à la fois. Tu dégoulines. Il est grand temps de te goûter. »
Je pousse un hurlement et agrippe ses cheveux lorsqu’il baisse la tête et glisse sa langue dans ma fente.
« Oh mon dieu. »
Je rejette la tête en arrière et ferme les yeux, je m’abandonne à sa bouche gourmande. Il titille, il tournoie, il glisse, il suce. Me lave. M’embrasse. Curtis a essayé une fois mais a vite laissé tomber, il attendait son tour, ce sale petit égoïste. Je lui ai plus jamais demandé de cuni après ça, c’était pas son truc. Mais putain, Roark me bouffe la chatte, il sait s’y prendre. Il manie sa langue et sa bouche comme un expert, pour la première fois de ma vie, je m’envole direct au septième ciel. Est-ce parce que je suis totalement épilée, à cause de sa barbe, ou les deux ? Il me doigte, tombe pile sur ma zone érogène, je jouis sur le champ.
Mon corps est parcouru de soubresauts, j’emprisonne sa tête entre mes cuisses, le forçant à y rester.
« C’est … oh putain, t’as trouvé mon point G. » Je pars en tilt lorsqu’il prolonge le plaisir en atteignant une zone éclipsant toutes les autres. Pour le moment.
Je suis en nage. Tous mes sens sont en éveil. Je sens la robe dans mon dos, ses épaules musclées contre mes cuisses, ses mains qui me bloquent, le poids de la chaîne sur mon ventre, les petits anneaux entre mes tétons.
Roark est accroupi sur ses talons, il s’essuie la bouche d’un revers de la main, sa barbe est toute luisante. Oh mon dieu, c’est à cause de moi. C’est la première fois de ma vie que je mouille autant. Son membre en saillie se dresse vers moi, je me lèche les lèvres. J’ai envie de lui. J’ai envie de le goûter, de le sentir sur ma langue.
Je me ressaisis, replie mes jambes et baisse la tête. Les mains sur les cuisses, ses poils doux et frisés sous mes mains, je m’agenouille et lèche son gros gland, il a une queue énorme. Une goutte de sperme s’écoule et dégouline le long de l’étroit orifice. Je la lèche goulument, je le goûte pour la première fois.
Il pousse un profond soupir et ondule des hanches. Je le regarde les yeux mi-clos, sa mâchoire se contracte, ses yeux brillent de désir, il serre les poings, il contracte ses abdos. Son corps est tendu, comme s’il attendait à ce que je le lèche. Il respire ou quoi ?
A cet instant précis, je me sens toute puissante. Je l’ai dompté d’un seul coup de langue … comment ça se fait ? Il grogne lorsque je titille son gland du bout de la langue. Je le sens à ses mains sur mes cuisses. Je n’attends pas, je le prends dans ma bouche, j’écarte grand les lèvres pour l’accueillir entièrement.
Waouh, il est énorme. Il ne rentrera pas en entier dans ma bouche. Seule une star du X arriverait à l’avaler, et pour une gorge profonde ? Impossible. Il a un goût salé et musqué, une odeur très masculine. Je ne résiste pas à l’envie de toucher ses couilles, leur pesanteur est la preuve de sa virilité. C’est tout pour moi, ça ? Heureusement que j’ai réussi les examens haut la main. Je pense pas pouvoir le prendre en entier.
J’y réfléchis tout en suçant sa bite, il fourre sa main dans mes cheveux, les attrape fermement et me fait reculer.
« C’est moi qui décide, femme, » dit Roark. Ses yeux sont noirs, sa mâchoire, contractée. Il me tire les cheveux, ça fait mal mais j’aime cette démonstration de force, de domination.
Il tire doucement mes cheveux et je m’allonge sur le dos. Il me regarde tout en m’écartant les jambes en grand, il se poste devant mon vagin et me pénètre d’un coup.
Je pousse un cri et me cambre sous la sensation de complétude. Il me tient d’une main et me force à le regarder, parfaitement concentré. Il me lâche, effleure mon corps, mes seins, touche les anneaux.
Il me pilonne, j’oublie qu’il tripote mes tétons. Il est énorme et je suis toute étroite. L’accès n’est pas aisé mais il m’a préparée. Ma vulve est douce et béante, mouillée de désir, il sait que je vais pouvoir l’accueillir, qu’il peut y aller franco.
Je m’agrippe à lui, je me retiens tandis qu’il se retire pour me pénétrer plus profondément, encore plus. Mes seins oscillent, la lourde chaîne tire dessus.
Il ouvre les yeux et me regarde pendant qu’il me baise.
« Ça va être du rapide, Natalie. Ta bouche chaude sur ma bite m’a fait perdre mon sang-froid. Merde. » Il est mécontent.
J’aime le voir poussé dans ses retranchements, il me donne des coups de boutoir incessants. Il transpire, le souffle court.
Il m’a déjà fait jouir, mais j’ai encore envie. Cette zone qu’il a titillée du doigt tout à l’heure aime la sensation de frottement procurée par sa bite. Je ne peux m’empêcher de me contracter sur sa bite, j’aimerais le garder en moi.
Il pousse un sifflement en sentant que je le pressure, il s’enfonce et je recommence. Encore, jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus.
« Je vais … Je vais jouir. Roark, j’ai jamais … c’est—
— Jouis. Vas-y, je vais pas tarder. »
J’obtempère, je jouis, je m’arcboute, je serre les genoux et les hanches. Je le pressure, les parois de mon vagin se contractent sur son sexe, je l’enduis de mon fluide, comme si ça devait jamais s’arrêter.
Il passe sa main derrière mon genou, le lève et se met en position, il me pénètre et se contracte. La douleur se lit sur son visage, il rougit, les muscles de son cou se contractent. Il laisse échapper un grognement guttural tandis que sa verge palpite, il m’inonde de sperme chaud. Il laisse son empreinte.
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