Alfred Vogel - Le petit docteur

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Quelles sont les raisons de l'intemporalité et de la popularité du « Petit Docteur » publié pour la première fois en 1952 par le pionnier de la médecine naturelle Alfred Vogel ?
Est-ce la simplicité et la clarté de ses conseils en matière de mode de vie naturel et d'alimentation saine ? Est-ce sa connaissance approfondie des plantes médicinales et de la médecine traditionnelle ? Ou est-ce l'homme Alfred Vogel lui-même, décédé en 1996 à l'âge de 94 ans, qui est devenu le symbole d'un mode de vie et d'une guérison proche de la nature ?
Une chose est certaine : « Le petit docteur », ce guide classique de la santé par la nature a aujourd'hui sa place dans toutes les familles. Avec son répertoire général et des problèmes de santé et ses nombreuses photos, ce livre est maintenant plus pratique et maniable que jamais. « Le charisme de la personnalité d'Alfred Vogel », écrit Prof. Dr. Dr. h.c. mult. Hildebert Wagner dans l'avant-propos, « rayonne jusque dans les temps modernes et transmet aux malades comme aux bien-portants le message d'un conseiller judicieux qui les accompagnera dans le troisième millénaire. "

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Dans le diabète de type 2, le pancréas produit encore de l’insuline, mais pas assez ou le corps n’est plus en mesure de l’utiliser efficacement pour convertir le sucre dans le sang en énergie (résistance à l’insuline). Le développement de cette maladie est favorisé par le surpoids et le manque d’exercice.

Les deux formes de cette maladie doivent être soumises à un traitement spécialisé.

3 Prêle/chiendent ( Agropyron repens ) : La racine possède des propriétés diurétiques et antimicrobiennes et est utilisée pour éliminer les infections des voies urinaires (cystite).

4 Les feuilles de lierre sont légèrement toxiques et un contact cutané direct peut provoquer des réactions allergiques chez les personnes sensibles (rougeurs, pustules suintantes). La tanaisie peut également provoquer des allergies de contact sur la peau.

5 Les éclampsies infantiles sont des désignations historiques de l’épilepsie ou des convulsions.

6 De nombreuses propriétés ont été attribuées au mouron des oiseaux dans la médecine populaire : pour stimuler le métabolisme, combattre les hémorroïdes, abcès, contusions, éruptions cutanées, rhumatismes. Selon Hildegard von Bingen, il est un remède préventif pour les hématomes suite à des contusions. Kneipp l’appréciait comme produit apaisant et expectorant pour les infections des voies respiratoires. Dans le Haut-Palatinat, au 18ème siècle, on suivait la coutume de déposer du mouron des oiseaux dans le berceau des enfants pour les protéger des crises d’épilepsie.

2ème partie

La fièvre, sonnette d’alarme

Si tout le monde savait que la fièvre est un avertissement que nous donne la nature, personne ne chercherait à la combattre comme cela se fait trop souvent de nos jours. La fièvre est un système de défense de l’organisme contre des envahisseurs nuisibles. Au lieu de laisser agir la nature et de la seconder dans son effort, l’homme, pris de peur, étouffe son action. Dès que la fièvre fait son apparition il se hâte de recourir à l’aspirine, à la quinine ou à un autre remède du même type pour la supprimer. Pourquoi vouloir être plus intelligent que la nature et dédaigner ses lois qui agissent en nous ? Pourquoi ne pas soutenir la fièvre et apprécier son aide ? Pourquoi ne pas écouter le conseil de gens avisés qui reconnaissent sa valeur ? Dans l’antiquité déjà, on tirait parti des vertus curatives de la fièvre, ce qui fit dire à un médecin : « Qu’on me donne le pouvoir d’engendrer la fièvre et je vous montrerai comment guérir toutes les maladies ! » Malgré une certaine exagération, ces paroles révèlent une vérité profonde. Il faut toutefois faire exception de la fièvre en cas de tuberculose, de maladie de Basedow, de paratyphus, d’inflammation de la valvule cardiaque et d’anémie. Une température insuffisante (hypothermie) crée une situation dangereuse, car chez les gens incapables d’avoir de la fièvre, on sait que l’art du médecin peut rester vain, parfois, en cas de complications. Voilà pourquoi il est bon d’admettre le point de vue des médecins de l’antiquité et d’apprécier la fièvre à sa juste valeur ! Nous devrions prendre conscience et ne jamais oublier qu’elle devient notre précieuse alliée dans la lutte contre les indésirables, à moins qu’il ne s’agisse d’une forme de fièvre due à la prise de médicaments allopathiques.

Mais que faire lorsqu’avec une poussée de fièvre, la peur de la mort grandit chez le malade ? Nous avons tous appris à l’école qu’avec une température dépassant 42° l’homme ne peut plus vivre, n’est-ce pas ? Faut-il donc attendre jusqu’à ce que mort s’ensuive ?

Certes pas… si nous savons faire usage de notre don d’observation. Nous n’avons pas besoin d’aller bien loin pour trouver un objet de comparaison qui illustre clairement l’efficacité de la fièvre. Nous savons tous qu’un poêle fonctionne bien tant que l’aération se fait normalement. Dans ce cas, nous pouvons augmenter la chaleur tant qu’il nous plaît sans causer de dommage au poêle. Si au contraire les tuyaux sont bouchés, de sorte que l’air ne peut plus passer, il en résulte une chaleur torride entraînant une compression qui peut causer de graves dégâts. Si l’air frais n’arrive pas constamment par le bas, les grilles risquent de fondre. Mais si le poêle est bien nettoyé, l’air circulera librement, la grille ne s’échauffera pas et ne devra pas être constamment remplacée.

En comparant le fonctionnement du corps à celui du poêle, nous comprenons comment il faut se comporter en face de la fièvre, celle-ci n’étant en somme qu’une combustion intensive. En cas d’état fébrile, il faut un bon tirage ! Rien ne doit être refoulé ni comprimé. L’un de nos « tuyaux d’aération » est l’intestin. De même que les reins et la peau, il doit absolument fonctionner normalement. Si l’on tient compte de ces trois facteurs, la fièvre n’aura aucune suite fâcheuse.

La thérapie naturelle implique l’assainissement de l’intestin dès l’apparition de la fièvre. On administrera des lavements aux herbes ainsi que des laxatifs naturels qui seront introduits par voie rectale si la prise orale reste sans effet.

Un diurétique activera la fonction rénale, le meilleur étant le Solidago ou verge d’or, mais la prèle 7convient également si nous n’avons pas de Solidago a portée de main. Une infusion de persil, d’oignon, de genévrier est aussi tout indiquée. A défaut de ces plantes, on aura recours à l’infusion de cynorhodon qui est toutefois moins efficace.

La diurèse assurée, on stimulera la peau. Dans tout état fébrile, il faut utiliser les enveloppements. Ceux qui ne sont pas familiarisés avec cette méthode auront intérêt à suivre un cours spécial ou tout au moins les instructions d’un bon manuel traitant de ce sujet. Si l’on ne respecte pas certaines règles, les enveloppements peuvent faire plus de mal que de bien. Ainsi, un enveloppement de la poitrine ou du torse n’est pas très compliqué à préparer mais il doit adhérer parfaitement et ne laisser aucun espace entre la peau et la toile. Bien appliqué, il ne tarde pas à provoquer la sudation désirée chez le fiévreux. Des compresses froides aux mollets ou des « chaussettes au vinaigre » seront pour le malade un bienfait véritable. Il se sentira soulagé et ne tardera pas à s’endormir. Cette solution naturelle est simple, n’est-ce pas ? Alors, inutile de perdre la tête et d’avoir recours à des comprimés néfastes.

Dans la nature tout est bien plus simple que nous le pensons. Mais l’homme a pris l’habitude de rechercher des solutions compliquées. Les noms savants de ce qu’il ne connaît pas lui en imposent davantage que le langage direct de la nature. Il veut agir plus rapidement qu’elle. Les suites fâcheuses qui en résulteront, il ne les imputera pas à des remèdes erronés. Tout ce qui est simple, naturel et à la portée de la main est maintenant discrédité.

Un autre facteur à observer dans les états fébriles, c’est l’alimentation. Normalement, la personne fiévreuse manque d’appétit. Elle n’a envie de rien car elle sent instinctivement que ses organes de digestion sont comme des machines à l’arrêt et qu’elle doit se contenter de ce dont elle dispose. Celui qui veut forcer un fiévreux à manger lui rend un mauvais service. Pourtant, c’est souvent l’occasion de tenter le malade avec toutes sortes de gâteries : steak de bœuf, œuf au plat avec du fromage ou autres combinaisons - et ceci avec les meilleures intentions du monde, pour lui prouver qu’on veut le dorloter ! Mis à part du lait chaud avec un peu de miel, l’état fébrile exige un régime léger ne comportant ni protéines ni quoi que ce soit d’indigeste. On aura recours aux jus de fruits et si l’on n’en a pas, aux tisanes ou à l’eau, éventuellement sucrée au sucre de canne. Un simple verre d’eau additionné d’un remède naturel (concentré de petit-lait ou extrait de plantes) aura déjà de bons effets. Les jus de fruits, très appréciés des malades, sont d’ailleurs les plus efficaces. Des oranges ou des raisins frais pressés amèneront au corps des sels minéraux et des vitamines tout en le rafraîchissant. Un jus frais est un régal et un bienfait pour le malade, à condition qu’il le boive lentement, par petites gorgées, en insalivant bien. Il est rare qu’un malade ne le supporte pas. Si l’on n’a pas de fruits frais à la maison, on peut aussi prendre un bon vin sans alcool. Le concentré de petit-lait dilué dans de l’eau est également très profitable.

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