Charles Dickens - Oliver Twist (version non abrégée)

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Oliver Twist (version non abrégée): краткое содержание, описание и аннотация

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L'histoire concerne un orphelin, Oliver Twist, soumis à des privations et des vexations dans l'hospice paroissial où il fut laissé suite à la mort de sa mère. Choisi par tirage au sort par ses camarades affamés, il ose demander une portion supplémentaire de gruau et il est alors placé chez un croque-mort, d'où il s'échappe pour prendre la route de Londres ; dès son arrivée, il rencontre l'un des personnages les plus célèbres de Dickens, The Artful Dodger (rusé matois) , chef d'une bande de jeunes pickpockets. Naïvement confiant en son nouveau compagnon, il se laisse entraîner dans l'antre de son maître, le criminel Fagin.
Oliver Twist est l'un des romans les plus universellement connus de Charles Dickens.

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* * * * *

Quand le Matois et son digne camarade maître Bates, après s’être approprié d’une manière illégale le mouchoir de M. Brownlow, s’étaient joints à la foule qui poursuivait Oliver, comme nous l’avons raconté précédemment, ils avaient obéi à un sentiment louable et méritoire, celui de se sauver eux-mêmes. Comme le respect de la liberté individuelle est un des privilèges dont tout bon Anglais s’enorgueillit le plus, je n’ai pas besoin de faire observer que cette fuite de nos jeunes filous doit les relever dans l’esprit des patriotes sincères. Ce qui montre bien qu’ils agissaient en vrais philosophes, c’est que, dès que l’attention générale fut fixée sur Oliver, ils cessèrent de poursuivre celui-ci, et regagnèrent leur demeure par le plus court chemin ; après avoir parcouru de toute la vitesse de leurs jambes un dédale de passages et de rues étroites, ils s’arrêtèrent d’un commun accord sous une voûte basse et sombre, et, dès qu’il eut repris haleine, maître Bates poussa un cri de joie et, dans les transports de sa gaieté, se tordit à force de rire et finit par se rouler à terre.

« Qu’as-tu à rire de la sorte ? demanda le Matois.

– Ha ! ha ! ha ! hurlait Charlot Bates.

– Pas tant de bruit, observa le Matois en jetant autour de lui un regard inquiet. Veux-tu te faire coffrer, animal ?

– C’est plus fort que moi, dit Charlot, je n’en peux plus. Tu as vu comme il courait, enfilant une rue après l’autre, se heurtant aux poteaux, et comme s’il était de fer aussi bien qu’eux, reprenant sa course de plus belle ! et moi, avec le mouchoir dans la poche, à crier après lui : Au voleur ! c’est trop fort. »

La vive imagination de maître Bates lui représenta de nouveau cette scène sous un jour si comique qu’il ne put continuer, et retomba à terre, en se tenant les côtes à force de rire.

« Que va dire Fagin ? demanda le Matois, profitant d’un moment où Bates reprenait haleine.

– Quoi ? dit Charlot.

– Oui, quoi ? fit le Matois.

– Eh bien ! qu’est-ce qu’il peut dire ? demanda Charlot en coupant court à son accès de gaieté ; car le ton du Matois était sérieux. Qu’est-ce qu’il peut dire ? »

M. Dawkins, pour toute réponse, se mit à siffler, ôta son chapeau et secoua la tête en se grattant l’oreille.

« Qu’est-ce que tu veux dire par là ? demanda Charlot.

– Tra déri déra ; bah ! va-t’en voir s’ils viennent, » dit le Matois en ricanant.

C’était une explication, mais peu satisfaisante ; aussi maître Bates renouvela t’il sa question :

« Qu’est-ce que ça signifie ? »

Le Matois ne répondit pas, mais remit son chapeau, releva sous ses bras les longues basques de son habit, se gonfla la joue avec la langue, se pinça le bout du nez à plusieurs reprises, puis tournant les talons, s’élança dans la cour. Maître Bates le suivit d’un air pensif. Quelques instants après cette conversation, le facétieux vieillard prêtait l’oreille en entendant le bruit de leurs pas dans le vieil escalier. Il était assis près du feu en face d’un pot d’étain, tenant d’une main un cervelas et un petit pain, de l’autre un couteau. Un affreux sourire passa sur son visage blême, quand il se retourna pour écouter, penchant l’oreille vers la porte, et roulant ses yeux farouches sous ses sourcils roux.

« Qu’est-ce que c’est ? dit-il en changeant de visage. Ils ne sont que deux ! leur serait-il arrivé quelque chose ? Attention ! »

Les pas se rapprochèrent et se firent bientôt entendre sur le palier. La porte s’ouvrit lentement ; le Matois et Charlot Bates entrèrent et la fermèrent derrière eux.

CHAPITRE XIII.

Présentation faite au lecteur intelligent de quelques nouvelles connaissances qui ne sont pas étrangères à certaines particularités intéressantes de cette histoire.

« Où est Oliver ? dit le juif avec fureur, en se levant d’un air menaçant ; qu’est-il devenu ? »

Les jeunes filous regardèrent leur maître avec un sentiment de crainte, puis se regardèrent l’un l’autre avec embarras, et ne répondirent pas.

« Qu’est devenu Oliver ? dit le juif en prenant le Matois au collet et en le menaçant avec d’affreuses imprécations. Parle, ou je t’étrangle. »

Fagin disait cela d’un ton si sérieux, que Charlot Bates, qui en tout cas jugeait prudent de se mettre à l’abri, et qui ne voyait rien d’impossible à ce que le juif l’étranglât ensuite à son tour, tomba à genoux, et poussa un cri perçant et prolongé qui tenait du mugissement d’un taureau furieux et des accents d’une trompette marine.

« Parleras-tu ? dit le juif d’une voix de tonnerre, en secouant le Matois d’une telle force, que c’était merveille que l’habit ne lui restât pas dans les mains.

– Il est tombé dans la souricière et voilà tout, dit le Matois d’un air maussade. Ah ça ! allez-vous me laisser tranquille ? »

Et d’un seul élan se dégageant de son habit, il saisit la fourchette à rôtir et visa, au gilet du facétieux vieillard, un coup qui, s’il eût porté, lui eût fait perdre sa gaieté pour un mois ou deux, et peut-être davantage.

Dans cette occurrence, le juif recula avec plus d’agilité qu’on n’eût pu en soupçonner chez un homme si décrépit en apparence, et saisissant le pot d’étain, il se préparait à le jeter à la tête de son adversaire ; mais Charlot Bates attira en ce moment son attention par un hurlement affreux, et ce fut sur lui que le juif jeta le pot plein de bière.

« Eh bien ! qu’est-ce que tout ce tremblement ? murmura tout à coup une grosse voix, qui est-ce qui m’a jeté cela à la figure ? C’est bien heureux que je n’ai reçu que la bière, et non pas le pot, sans quoi j’aurais fait à quelqu’un son affaire. Je n’aurais jamais cru qu’un vieux coquin de juif pût jeter autre chose que de l’eau, et encore pour le plaisir de frauder la compagnie des eaux filtrées. Que se passe-t-il donc, Fagin ? Morbleu, ma cravate est pleine de bière… Vas-tu entrer, animal ? Qu’est-ce que tu fais là dehors ? As-tu honte de ton maître ? Ici ! »

L’homme qui parlait ainsi, d’un ton bourru, était un solide gaillard d’environ trente-cinq ans, portant une redingote noire de velours grossier, une vieille culotte grise, des brodequins lacés et des bas de coton bleu, qui cachaient de grosses jambes massives, de ces jambes auxquelles il sembla toujours manquer quelque chose, quand elles ne portent pas une bonne chaîne. Il avait un chapeau brun, et autour du cou un vieux foulard, avec les bouts éraillés duquel il s’essuyait le visage ; tout en parlant, et, quand il eut fini, il laissa voir une grosse figure commune, avec une barbe qui n’avait pas été rasée depuis trois jours, et des yeux sinistres, dont l’un portait la trace d’un coup récent.

« Ici ! entendez-vous ? » s’écria ce bandit à mine rébarbative.

Un barbet, la tête déchirée en vingt endroits, entra en rampant dans la chambre.

« Vous y mettez le temps, dit l’homme. Vous êtes trop fier pour me reconnaître devant le monde, n’est-ce pas ? Couchez là ! »

Cette injonction fut accompagnée d’un coup de pied qui envoya l’animal à l’autre bout de la chambre. Il semblait, du reste, habitué à ce traitement ; car il se blottit tranquillement dans un coin, sans pousser un cri, fermant et ouvrant ses vilains yeux vingt fois par minute, et paraissant occupé à faire l’inspection de l’appartement.

« Après qui en avez-vous donc ? dit l’homme en s’asseyant d’un air résolu. Vous maltraitez les enfants, vieil avare, vieux ladre, vieux fesse-mathieu. Ça m’étonne qu’ils ne vous assassinent pas ; à leur place, je me payerais ça ; si j’avais été votre apprenti, il y a longtemps que la farce serait jouée, et… Mais non ; je ne pourrais pas seulement vendre votre peau ; vous seriez tout au plus bon à mettre en bouteille pour être montré comme un prodige de laideur, mais je crois qu’on n’en souffle pas d’assez grandes.

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