Charles Dickens - Oliver Twist (version non abrégée)

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Oliver Twist (version non abrégée): краткое содержание, описание и аннотация

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L'histoire concerne un orphelin, Oliver Twist, soumis à des privations et des vexations dans l'hospice paroissial où il fut laissé suite à la mort de sa mère. Choisi par tirage au sort par ses camarades affamés, il ose demander une portion supplémentaire de gruau et il est alors placé chez un croque-mort, d'où il s'échappe pour prendre la route de Londres ; dès son arrivée, il rencontre l'un des personnages les plus célèbres de Dickens, The Artful Dodger (rusé matois) , chef d'une bande de jeunes pickpockets. Naïvement confiant en son nouveau compagnon, il se laisse entraîner dans l'antre de son maître, le criminel Fagin.
Oliver Twist est l'un des romans les plus universellement connus de Charles Dickens.

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« Allons, debout, lui dit-il rudement.

– Ce n’est pas moi, monsieur ; non, bien vrai, bien vrai, ce sont deux autres garçons, disait Oliver en se tordant les mains avec désespoir ; ils sont quelque part par ici.

– Oh non, ils sont bien loin, dit l’agent qui, en croyant se moquer, disait la vérité ; car le Matois et Charlot Bates avaient enfilé la première cour qu’ils avaient rencontrée. Allons, debout !

– Ne lui faites pas de mal, dit le vieux monsieur avec compassion.

– Oh non, on ne lui en fait pas, répondit l’agent ; et comme preuve il déchira jusqu’au milieu du dos le vêtement d’Oliver. Arrive, je te connais ; ce n’est pas à moi qu’on en fait accroire ; veux-tu bien te mettre sur tes jambes, petit scélérat ! »

Oliver, qui pouvait à peine se soutenir, fit un effort pour se relever, et l’agent, d’un pas rapide, l’entraîna par le collet le long des rues : le monsieur les accompagnait et marchait à côté de l’officier de police ; bien des gens dans la foule tâchaient de les dépasser et se retournaient pour regarder Oliver ; les gamins poussaient des cris de joie, et suivaient le cortège.

CHAPITRE XI.

Où il est question de M. Fang, commissaire de police, et où l’on trouvera un petit échantillon de sa manière de rendre la justice.

Le délit avait été commis dans la circonscription et même dans le voisinage immédiat d’un bureau central de police bien connu. La foule n’eut donc pas le plaisir d’escorter longtemps Oliver. À Mutton-Hill, on le fit passer sous une voûte basse, et de là dans une cour malpropre située derrière le sanctuaire de la justice sommaire ; là ils rencontrèrent un homme de haute taille avec une grosse paire de favoris sur la figure et un trousseau de clefs à la main.

« Quoi de nouveau ? demanda celui-ci avec insouciance.

– C’est un jeune filou, répondit l’agent de police qui conduisait Oliver.

– C’est vous qu’on a volé, monsieur ? demanda l’homme aux clefs.

– Oui, répondit le vieux monsieur, mais je ne suis pas sûr que ce soit l’enfant que voici qui m’ait pris mon mouchoir. Je… j’aimerais mieux que l’affaire en restât là.

– Il faut aller devant le magistrat, à cette heure, monsieur, répondit l’homme ; Son Honneur va être libre dans un instant. Par ici, petit gibier de potence. »

Il invitait par là Oliver à entrer dans une petite cellule dont tout en parlant il ouvrait la porte. Oliver fut fouillé, et, après qu’on n’eut rien trouvé sur lui ; on le mit sous les verrous.

Cette cellule ressemblait assez à une cave ; elle était fort obscure et d’une saleté repoussante : car c’était un lundi matin et elle avait été occupée par six ivrognes qui y étaient restés sous clef depuis le samedi soir ; mais ce n’est là qu’un détail. Dans nos postes de police, hommes et femmes sont entassés chaque soir, sous les prétextes les plus frivoles, dans des cachots auprès desquels la prison de Newgate, séjour des plus grands criminels, condamnés comme tels et jugés dignes de mort, est un véritable palais. Si l’on en doute, on n’a qu’à s’y faire mettre pour vérifier la justesse de la comparaison.

Le vieux monsieur parut presque aussi consterné qu’Oliver quand la clef du geôlier tourna dans la serrure, et il jeta les yeux en soupirant sur le livre, cause innocente de tout ce bruit.

« Il y a dans la figure de cet enfant quelque chose qui me touche et m’intéresse, se disait le vieux monsieur en faisant quelques pas à l’écart et en se caressant le menton d’un air pensif avec la couverture du livre. Serait-il innocent ? Il ressemble… voyons donc, dit-il en s’arrêtant brusquement et en regardant en l’air ; mon Dieu ! où ai-je vu une figure comme celle-là ? »

Après quelques minutes de réflexion, le vieux monsieur, toujours pensif, entra dans une petite antichambre qui donnait sur la cour ; il s’assit dans un coin et passa en revue une foule de figures auxquelles il n’avait pas songé depuis bien des années. « Non, se dit-il en hochant la tête ; il faut que ce soit un rêve de mon imagination. »

Il se plongea de nouveau dans ses souvenirs. Toutes ces figures qu’il avait évoquées ; il n’était pas facile de les congédier si vite ; il revoyait des visages amis et ennemis, d’autres qui lui étaient presque inconnus, des visages de fraîches jeunes filles, maintenant vieilles et fanées ; d’autres qui étaient devenus la proie de la mort, mais que le souvenir, qui triomphe de la mort, lui retraçait dans tout l’éclat de leur beauté d’autrefois ; il les revoyait avec ces yeux si brillants, ces sourires charmants qui font pour ainsi dire rayonner l’âme hors de son enveloppe d’argile ; souvenirs qui nous font rêver à cette beauté qui survit à la mort, plus éclatante que la beauté terrestre ; visages charmants qui nous sont ravis pour aller éclairer d’une douce lumière la route qui mène au ciel.

Mais le vieux monsieur ne put retrouver sur aucune de ces figures les traits d’Oliver. Les souvenirs qu’il avait évoqués lui firent pousser un profond soupir ; mais comme, heureusement pour lui, il était fort distrait, il reprit sa lecture et oublia tout le reste.

Il fut tiré de sa rêverie par le geôlier, qui lui donna un petit coup sur l’épaule et le pria de le suivre. Il ferma aussitôt son livre, et fut introduit dans la salle où siégeait l’imposant et célèbre M. Fang.

Cette salle d’audience donnait sur la rue ; au fond était assis M. Fang derrière une petite balustrade, et près de la porte, sur une petite sellette de bois, se trouvait déjà le pauvre Oliver, tout effrayé de la gravité de cette scène.

M. Fang était de taille moyenne et presque chauve ; le peu de cheveux qui lui restaient lui couvraient le derrière et les côtés de la tête ; l’expression de ses traits était dure, et son teint très coloré. Si en réalité il ne sortait jamais des bornes de la sobriété, il eût pu intenter à sa figure un procès en diffamation et obtenir des dommages-intérêts considérables.

Le vieux monsieur lui fit un salut respectueux, et, s’avançant vers le bureau du magistrat, dit en lui remettant sa carte : « Voici mon nom et mon adresse, monsieur ; » puis il fit deux ou trois pas en arrière en saluant de nouveau, et attendit qu’on lui adressât la parole.

Or il advint que M. Fang se trouvait justement occupé en ce moment à lire un journal du matin, où l’on rendait compte d’un jugement qu’il avait récemment prononcé et où on le recommandait pour la centième fois à l’attention et à la surveillance particulière du secrétaire d’État de l’intérieur. Cette lecture le mit hors de lui et il leva les yeux avec humeur.

« Qui êtes-vous ? » demanda-t-il.

Le vieux monsieur, surpris de cette question, montra du doigt sa carte.

« Officier de police ! quel est cet individu ? dit M. Fang en jetant dédaigneusement de côté la carte et le journal.

– Mon nom, dit le vieux monsieur en s’exprimant avec convenance, mon nom, monsieur, est Brownlow ; permettez-moi à mon tour de demander le nom du magistrat, qui, protégé par la loi, insulte gratuitement et sans aucune provocation un homme respectable. »

En même temps M. Brownlow semblait chercher des yeux dans la salle quelqu’un qui répondit à sa question.

« Officier de police ! dit M. Fang ; de quoi cet individu est-il accusé ?

– Il n’est pas accusé du tout, monsieur le magistrat, répondit l’officier ; il comparait comme plaignant contre ce garçon, monsieur le magistrat. »

Celui-ci le savait parfaitement ; mais c’était un bon moyen de tracasser les gens impunément.

« Il comparaît contre ce garçon, n’est-ce pas ? dit Fang en toisant dédaigneusement M. Brownlow de la tête aux pieds. Faites-lui prêter serment.

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