Charles Dickens - Oliver Twist (version non abrégée)

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Oliver Twist (version non abrégée): краткое содержание, описание и аннотация

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L'histoire concerne un orphelin, Oliver Twist, soumis à des privations et des vexations dans l'hospice paroissial où il fut laissé suite à la mort de sa mère. Choisi par tirage au sort par ses camarades affamés, il ose demander une portion supplémentaire de gruau et il est alors placé chez un croque-mort, d'où il s'échappe pour prendre la route de Londres ; dès son arrivée, il rencontre l'un des personnages les plus célèbres de Dickens, The Artful Dodger (rusé matois) , chef d'une bande de jeunes pickpockets. Naïvement confiant en son nouveau compagnon, il se laisse entraîner dans l'antre de son maître, le criminel Fagin.
Oliver Twist est l'un des romans les plus universellement connus de Charles Dickens.

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Cette réponse fit rire M. Charlot Bates à se tenir les côtes, au grand étonnement d’Oliver, qui ne voyait là rien de risible.

« Et toi, mon ami, qu’est-ce que tu rapportes ? dit Fagin à Charlot Bates.

– Des mouchoirs, répondit maître Bates, et il en tira quatre de sa poche.

– Bien, dit le juif, en les examinant minutieusement, ils sont bons, très bons ; mais tu ne les as pas bien marqués, Charlot. Il faudra ôter les marques avec une aiguille ; nous montrerons à Oliver comment il faut s’y prendre ; n’est-ce pas, Oliver ? Ha ! ha !

– Comme vous voudrez, monsieur, dit Oliver.

– Tu aimerais à faire le mouchoir aussi bien que Charlot Bates, n’est-ce pas, mon ami ? demanda le juif.

– De tout mon cœur, monsieur, si vous voulez m’instruire, » répondit Oliver.

Maître Bates trouva cette réponse si plaisante qu’il poussa un nouvel éclat de rire ; mais comme il était en train d’avaler son café, il faillit suffoquer.

« Il est si innocent ! » dit-il, dès qu’il put parler, comme pour s’excuser auprès de la compagnie de son impolitesse.

Le Matois ne dit rien ; mais il passa la main dans les cheveux d’Oliver, et les lui fit tomber sur les yeux, en ajoutant qu’il serait bientôt au fait. Le vieux monsieur, qui vit le rouge monter au visage de l’enfant, changea la conversation et demanda si l’exécution qui avait eu lieu le matin avait attiré une grande foule. L’étonnement d’Oliver redoubla : car il était évident, d’après la réponse des jeunes garçons, qu’ils y avaient tous deux assisté, et il était étrange qu’ils eussent trouvé le temps de si bien travailler.

Après le déjeuner, le plaisant vieillard et les deux jeunes gens se livrèrent à un jeu curieux et bizarre ; voici en quoi il consistait : le juif mit une tabatière dans une des poches de son pantalon, un carnet dans l’autre, dans son gousset une montre attachée à une chaîne de sûreté qu’il passa à son cou ; il piqua une épingle de faux diamant dans sa chemise, boutonna son habit jusqu’en haut, et mettant dans ses poches son mouchoir et son étui à lunettes, il se promena de long en large dans la chambre, une canne à la main, tout comme nos vieux messieurs se promènent dans la rue ; tantôt il s’arrêtait devant le feu, et tantôt à la porte, comme s’il contemplait attentivement l’étalage des boutiques. Parfois il jetait autour de lui des regards vigilants comme s’il craignait les voleurs, et tâtait toutes ses poches l’une après l’autre, pour voir s’il n’avait rien perdu, et tout cela d’un air si comique et si naturel qu’Oliver en riait jusqu’aux larmes. Les deux jeunes garçons le suivaient de près ; et, chaque fois qu’il se retournait, ils se dérobaient à sa vue avec tant d’agilité, qu’il était impossible de suivre leurs mouvements. À la fin, le Matois lui marcha sur les pieds, tandis que Charlot le heurtait par derrière, et en un clin d’œil, tabatière, portefeuille, montre, chaîne de sûreté, épingle, mouchoir de poche, tout, jusqu’à l’étui à lunettes, disparut avec une rapidité extraordinaire. Si le vieux monsieur avait senti une main dans une de ses poches, il disait dans laquelle, et alors c’était à recommencer.

Quand on eut joué bien des fois à ce jeu, deux jeunes dames vinrent voir les jeunes messieurs ; l’une se nommait Betty et l’autre Nancy ; elles avaient une chevelure épaisse, mais peu soignée, et des chaussures en mauvais état ; elles n’étaient peut-être pas précisément belles ; mais elles étaient hautes en couleur, et avaient le regard résolu et effronté. Comme leurs manières étaient agréables et d’une grande liberté, Oliver pensa qu’elles étaient fort aimables, et sans doute il ne se trompait pas.

La visite dura longtemps : une des jeunes dames se plaignant d’avoir l’estomac glacé, on apporta des liqueurs, et la conversation s’anima de plus en plus. À la fin, Charlot Bates déclara qu’il était temps de jouer du jarret, et Oliver crut que cela voulait dire sortir, en français ; car le Matois, Charlot et les deux jeunes femmes partirent à l’instant, et le vieux juif eut la générosité de les munir d’argent de poche pour s’amuser dehors.

« C’est un genre de vie qui n’est pas désagréable, n’est-ce pas, mon ami ? dit Fagin. Les voilà sortis pour toute la journée.

– Ont-ils achevé leur travail, monsieur ? demanda Oliver.

– Oui, dit le juif ; à moins qu’ils ne trouvent par hasard quelque chose à faire en route ; alors ils n’y manquent pas, crois-le bien. Prends-les pour modèles, mon ami, prends-les pour modèles, ajouta le juif, en donnant un coup de la pelle au feu sur le foyer pour que ses paroles eussent plus de force ; fais tout ce qu’ils te diront, obéis-leur en tout, et surtout au Matois : ce sera un grand homme, et il te formera si tu prends modèle sur lui. Est-ce que mon mouchoir ne sort pas de ma poche, mon ami ? dit-il en s’arrêtant court.

– Si, monsieur, dit Oliver.

– Tâche de le prendre sans que je m’en aperçoive, comme ils faisaient quand nous jouions ce matin. »

Oliver souleva d’une main le fond de la poche, comme il avait vu faire au matois, et de l’autre tira légèrement le mouchoir.

« Est-ce fait ? demanda le juif.

– Le voici, monsieur, dit Oliver en le lui montrant.

– Tu es un charmant garçon, mon ami, dit le plaisant vieillard en passant sa main sur la tête d’Oliver en signe d’approbation. Je n’ai jamais vu un garçon plus habile ; tiens, voici un shilling pour la peine ; si tu continues de la sorte, tu deviendras le plus grand homme de l’époque. Maintenant, viens que je t’apprenne à démarquer les mouchoirs. »

Oliver se demandait avec étonnement quel rapport il y avait entre escamoter, par plaisanterie, le mouchoir du vieillard, et la chance de devenir un grand homme : mais il pensa que le juif, vu son âge, devait le savoir mieux que lui ; il s’approcha de la table, et se livra avec ardeur à sa nouvelle étude.

CHAPITRE X.

Oliver fait plus ample connaissance avec ses nouveaux compagnons, et acquiert de l’expérience à ses dépens. La brièveté de ce chapitre n’empêche pas que ce ne soit un chapitre important de l’histoire de notre héros.

Oliver resta plusieurs jours dans la chambre du juif, occupé à démarquer les mouchoirs qui arrivaient en quantité au logis, et à prendre part quelquefois au jeu que nous avons décrit, et qui se renouvelait régulièrement chaque matin entre le juif et les deux jeunes garçons. Au bout de quelque temps, il commença à soupirer après le grand air, et demanda plusieurs fois avec instance au vieux monsieur de lui permettre d’aller travailler dehors avec ses deux compagnons.

Oliver était d’autant plus désireux de travailler activement, qu’il avait pu juger de l’inflexible sévérité du vieux juif. Chaque fois que le Matois ou Charlot Bates rentraient le soir les mains vides, il leur adressait une longue et énergique mercuriale, sur les inconvénients de la paresse et de l’oisiveté, et, pour mieux graver dans leur mémoire la nécessité d’être actifs et laborieux, il les envoyait coucher sans souper. Il alla même une fois jusqu’à les précipiter du haut de l’escalier ; mais il était rare qu’il poussât jusqu’à cette extrémité la ferveur de ses recommandations vertueuses.

Enfin, un beau matin, Oliver obtint la permission qu’il avait si vivement sollicitée ; depuis deux ou trois jours il n’y avait pas eu de mouchoirs à démarquer, et les dîners avaient été chétifs : ces motifs influèrent peut-être sur la décision du vieux juif ; quoi qu’il en soit, il dit à Oliver qu’il pouvait sortir, et il le plaça sous la garde de Charlot Bates et de son ami le Matois.

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