Louisa May Alcott - Louisa May Alcott - Les quatre filles du docteur March

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Louisa May Alcott : Les quatre filles du docteur March: краткое содержание, описание и аннотация

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Les quatre filles du docteur March est tiré de l'expérience personnelle de Louisa May Alcott qui avait trois sœurs. Ce roman est la magnifique histoire de quatre jeunes filles aux caractères bien trempés et de leur mère dans la tourmente de la guerre de sécession. Alcott nous montre que la vie et le bonheur se composent de choses simples.
Louisa May Alcott (1832 – 1888) est une romancière américaine, connue surtout pour son roman Les quatre filles du docteur March (Little Women).

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— Un jour, notre chat s’est sauvé, c’est lui qui nous l’a ramené, et nous avons causé ensemble par-dessus la haie ; nous nous amusions beaucoup à parler de jeux et de toutes sortes de choses, lorsque Meg est arrivée, et il est parti. Je veux arriver à le connaître, car il a besoin de gaieté, j’en suis sûre ! dit Jo d’un ton décidé.

— Il a de très bonnes manières et semble, en effet, être un vrai gentleman, répondit MmeMarsch ; je n’ai aucune objection à ce que vous fassiez connaissance avec lui si vous en trouvez l’occasion. Il a apporté lui-même les fleurs, et je lui aurais demandé de rester si j’avais été sûre de la manière dont vous vous tiriez d’affaire là-haut ; il avait l’air si triste en s’en allant d’entendre votre tapage sans y participer, qu’il était évident qu’il n’avait en réserve aucun amusement pour lui.

— C’est bien heureux que vous ne l’ayez pas invité, mère, dit Jo en regardant ses bottes ; mais, une autre fois, nous jouerons quelque chose qu’il puisse voir, et peut-être voudra-t-il se charger d’un rôle. Nous aurions ainsi un vrai homme, et ce serait très amusant. »

MmeMarsch ne put se retenir de rire. Jo avait, du reste, la spécialité de dérider tout le monde.

« Voilà la première fois que j’ai un bouquet à moi sans l’avoir cueilli, dit Meg en examinant ses fleurs roses avec grand intérêt ; il faut convenir qu’il est très joli.

— Il est charmant, mais les roses de Beth me font encore plus de plaisir », dit Mme Marsch en regardant la rose posée à sa ceinture. »

Beth se rapprocha alors de sa mère et murmura :

« Je voudrais pouvoir envoyer le mien à papa ; je crains bien qu’il n’ait pas eu un aussi joyeux Noël que nous. »

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Chapitre 3 - Le petit Laurentz

« Jo ! Jo ! où êtes-vous ? criait Meg au bas de l’escalier qui montait au grenier.

— Ici », répondit une voix, tout en haut.

Et Meg, grimpant l’escalier, trouva sa sœur occupée à croquer une pomme, tout en pleurant sur un livre qu’elle lisait. Elle était enveloppée dans sa pèlerine et étendue au soleil, près de la fenêtre, sur un vieux sofa veuf d’un de ses pieds. C’était là le refuge favori de Jo, là qu’elle aimait à se retirer avec ses livres favoris, pour jouir pleinement de sa lecture, et de quelques biscuits qu’elle partageait avec un ami fort singulier, qu’elle était parvenue à apprivoiser et qui vivait volontiers dans sa compagnie. Il n’avait aucunement peur d’elle, et tournait, tant qu’elle était là, autour du canapé avec une familiarité sans exemple dans un rat, car, oui vraiment, c’était bien un rat. À la vue du singulier ami de sa sœur, Meg s’arrêta tout interdite ; mais, à la vue de Meg, Raton, c’était le nom du petit animal, Raton s’enfuit dans son trou, et Meg reprit courage. Jo essuya ses larmes et mit son livre de côté.

« Quel plaisir, Jo ! lui dit Meg, voyez ! Une invitation en règle de Mme Gardiner pour demain soir. » Et lui montrant le précieux papier, elle le lui lut avec un plaisir que les jeunes filles qui ont de rares occasions de plaisir comprendront sans effort :

« Madame Gardiner prie miss Marsh et miss Joséphine d’assister à la soirée dansante qu’elle donnera la veille du jour de l’an. »

« Maman veut bien que nous y allions, Jo ! Mais quelle robe allons-nous mettre ?

— À quoi bon le demander ? Vous savez bien que nous mettrons nos robes de popeline, puisque nous n’en avons pas d’autre, répondit Jo, achevant à elle toute seule la provision de biscuit, à laquelle, par son brusque départ, Raton avait perdu tous ses droits.

— Si j’avais seulement une robe de soie ! Maman a dit que j’en aurais peut-être une quand j’aurai dix-huit ans, mais trois ans d’attente c’est une éternité !

— Nos robes ont tout à fait l’air d’être de soie, et elles sont bien assez jolies pour nous. La vôtre est aussi belle que si elle était neuve, mais la mienne est brûlée et déchirée. Qu’est-ce que je vais faire ? La brûlure se voit horriblement, et je ne peux pas l’enlever.

— Vous resterez aussi immobile que possible ; comme le devant est bien, tout ira, si vous ne vous montrez pas de dos. Moi, j’aurai un ruban neuf dans les cheveux, maman me prêtera sa petite broche qui a une perle fine ; mes nouveaux souliers de bal sont charmants, et mes gants peuvent aller, quoiqu’ils ne soient pas aussi frais que je le voudrais.

— Les miens ont des taches de limonade, et je ne peux pas en avoir de neufs. J’irai sans gants ! dit Jo, qui ne se tourmentait jamais beaucoup pour des questions de toilette.

— Il faut que vous ayez des gants, ou bien je n’irai pas ! s’écria Meg d’un ton décidé. Les gants sont plus importants que tout le reste ; vous ne pouvez pas danser sans gants, et si vous ne dansiez pas, je serais si fâchée !

— Mais, Meg, si je ne dois pas montrer mon dos, je ne puis pas bouger, et par conséquent je ne puis ni valser ni même danser ; mais ne vous en inquiétez pas, je n’y tiens pas du tout. Ce n’est déjà pas si amusant de tourner en mesure dans une chambre ; j’aime mieux courir et sauter.

— Vous ne pouvez pas demander des gants neufs à maman, c’est trop cher, et vous êtes si peu soigneuse !… Notre mère a été obligée de vous dire, quand vous avez sali les autres, qu’elle ne vous en donnerait pas de nouveaux de tout l’hiver ; mais ne pourriez-vous trouver un moyen de rendre les vôtres possibles ?

— Je peux fermer les mains de manière à ce que personne ne voie qu’ils sont tachés en dedans ; c’est tout ce que je peux faire ! Cependant il y a peut-être un moyen ; je vais vous dire comment nous pouvons nous arranger : mettons chacune un gant propre et un gant sale.

— Vos mains sont plus grandes que les miennes, Jo, cela est sûr ; vous déchireriez mon gant sans utilité, repartit Meg, qui avait un faible pour les jolis gants.

— Alors, c’est décidé, j’irai sans gants ; je m’inquiète fort peu de ce que l’on dira, répondit Jo en reprenant son livre.

— Vous l’aurez, mon gant, vous l’aurez ! s’écria Meg ; seulement, je vous en prie, ne le tachez pas et conduisez-vous convenablement. Ne mettez pas vos mains derrière votre dos comme un général, ne regardez pas fixement les gens.

— Ne m’ennuyez pas avec tant de recommandations ; je serai aussi raide qu’une barre de fer et je ne ferai pas de bêtises, si je peux ! Maintenant allez répondre à votre billet, et laissez-moi finir cette splendide histoire. »

Meg descendit « accepter avec beaucoup de remerciements », examiner sa robe et chanter comme un oiseau en arrangeant son unique col de dentelle, tandis que Jo finissait son histoire et ses pommes et jouait à cache-cache avec M. Raton qui avait reparu.

La veille du jour de l’an, la chambre qui était le parloir de la maison était déserte. Beth et Amy s’amusaient à tout ranger, et leurs sœurs étaient absorbées par l’importante affaire de s’apprêter pour la soirée. Quoique leurs toilettes fussent très simples, il y eut beaucoup d’allées et venues, de rires et de paroles, et à un certain moment une forte odeur de brûlé emplit la maison ; Meg ayant désiré avoir quelques frisures, Jo s’était chargée de passer ses papillotes au feu.

« Est-ce que cela doit fumer comme cela ? demanda Beth.

— C’est l’humidité qui sèche, répondit Jo.

— Quelle drôle d’odeur ! On dirait des plumes brûlées, ajouta Amy en roulant ses jolies boucles blondes autour de son doigt, d’un air de supériorité.

— Là ! maintenant je vais ôter les papiers et vous verrez un nuage de petites frisures », dit Jo, mettant les pinces de côté. Elle enleva le papier, mais aucun nuage n’apparut ; les cheveux venaient avec le papier, et la coiffeuse posa avec stupéfaction sur le bureau, à côté de sa victime, plusieurs petits paquets à moitié brûlés.

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