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Eugène Sue: Les Mystères De Paris Tome I

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Eugène Sue Les Mystères De Paris Tome I

Les Mystères De Paris Tome I: краткое содержание, описание и аннотация

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Voici un roman mythique, presque à l'égal du Comte de Monte-Cristo ou des Trois mousquetaires, un grand roman d'aventures, foisonnant, qui nous décrit un Paris mystérieux et inconnu, dévoilé dans ses recoins les plus secrets, un Paris exotique où les apaches de Paris remplacent ceux de l'Amérique. Errant dans les rues sombres et dangereuses de la Cité, déguisé en ouvrier, le prince Rodolphe de Gérolstein sauve une jeune prostituée, Fleur-de-Marie, dite la Goualeuse, des brutalités d'un ouvrier, le Chourineur. Sans rancune contre son vainqueur, le Chourineur entraîne Rodolphe et Fleur-de-Marie dans un tripot, Au Lapin Blanc. Là, le Chourineur et Fleur-de-Marie content leur triste histoire à Rodolphe. Tous deux, livrés dès l'enfance à l'abandon et à la misère la plus atroce, malgré de bons instincts, sont tombés dans la dégradation: le meurtre pour le Chourineur, dans un moment de violence incontrôlée, la prostitution pour Fleur-de-Marie. Rodolphe se fait leur protecteur et entreprend de les régénérer en les arrachant à l'enfer du vice et de la misère où ils sont plongés…

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– Certainement, et sans compter… tant d’autres bonheurs encore!

– Dieu soit loué! monsieur le marquis, car il ne vous manque rien: jeunesse, richesse, bonté, santé… tous les bonheurs réunis, enfin; et parmi eux, dit M. Doublet en souriant agréablement, ou plutôt à leur tête, je mets celui d’être l’époux de M mela marquise et d’avoir une charmante petite fille qui ressemble à un chérubin.

M. d’Harville jeta un regard sinistre sur l’intendant.

Nous renonçons à peindre l’expression de sauvage ironie avec laquelle il dit à M. Doublet, en lui frappant familièrement sur l’épaule:

– Avec cent vingt-six mille francs de rente en terres et une femme comme la mienne… et un enfant qui ressemble à un chérubin… il ne reste plus rien à désirer, n’est-ce pas?

– Eh! eh! monsieur le marquis, répondit naïvement l’intendant, il reste à désirer de vivre le plus longtemps possible, pour marier mademoiselle votre fille et être grand-père. Arriver à être grand-père, c’est ce que je souhaite à monsieur le marquis, comme à M mela marquise d’être grand’mère et arrière-grand’mère.

– Ce bon M. Doublet qui songe à Philémon et Baucis. Il est toujours plein d’à-propos.

– Monsieur le marquis est trop bon. Il n’a rien à m’ordonner?

– Rien. Ah! si, pourtant. Combien avez-vous en caisse?

– Dix-neuf mille trois cents et quelques francs pour le courant, monsieur le marquis, sans compter l’argent déposé à la banque.

– Vous m’apporterez ce matin dix mille francs en or et vous les remettrez à Joseph si je suis sorti.

– Ce matin?

– Ce matin.

– Dans une heure les fonds seront ici. Monsieur le marquis n’a plus rien à me dire?

– Non, monsieur Doublet.

– Cent vingt-six mille francs de rente en sacs, en sacs! répéta l’intendant en s’en allant. C’est un beau jour pour moi que celui-ci; je craignais tant que cette ferme si à notre convenance ne nous échappât!… Votre serviteur, monsieur le marquis.

– Au revoir, monsieur Doublet.

À peine l’intendant fut-il sorti que M. d’Harville tomba sur un fauteuil avec accablement; il appuya ses deux coudes sur son bureau, et cacha sa figure dans ses mains.

Pour la première fois depuis qu’il avait reçu la lettre fatale de Sarah, il put pleurer.

– Oh! disait-il, cruelle dérision de la destinée qui m’a fait riche!… Que mettre dans ce cadre d’or, maintenant? Ma honte! L’infamie de Clémence!… infamie qu’un éclat va faire rejaillir peut-être jusque sur le front de ma fille! Cet éclat… dois-je m’y résoudre, ou dois-je avoir pitié de…

Puis, se levant, l’œil étincelant, les dents convulsivement serrées, il s’écria d’une voix sourde:

– Non, non! du sang, du sang! Le terrible sauve du ridicule! Je comprends maintenant son aversion… la misérable!

Puis, s’arrêtant tout à coup, comme atterré par une réflexion soudaine, il reprit d’une voix sourde:

– Son aversion… oh! je sais bien ce qui la cause: je lui fais horreur, je l’épouvante!

Et après un long silence:

– Mais est-ce ma faute, à moi? Faut-il qu’elle me trompe pour cela? Au lieu de haine, n’est-ce pas la pitié que je mérite? reprit-il en s’animant par degrés. Non, non, du sang!… tous deux, tous deux!… car elle lui a sans doute tout dit à L’AUTRE.

Cette pensée redoubla la fureur du marquis.

Il leva ses deux poings crispés vers le ciel; puis, passant sa main brûlante sur ses yeux, et sentant la nécessité de rester calme devant ses gens, il rentra dans sa chambre à coucher avec une apparente tranquillité: il y trouva Joseph.

– Eh bien! les fusils?

– Les voilà, monsieur le marquis; ils sont en parfait état.

– Je vais m’en assurer. Ma femme a-t-elle sonné?

– Je ne sais pas, monsieur le marquis.

– Va t’en informer.

Le valet de chambre sortit.

M. d’Harville se hâta de prendre dans la boîte à fusils une petite poire à poudre, quelques balles, des capsules; puis il referma le nécessaire et garda la clef. Il alla ensuite à la panoplie, y prit une paire de pistolets de Manton de demi-grandeur, les chargea et les fit facilement entrer dans les poches de sa longue redingote de matin.

À ce moment Joseph rentra.

– Monsieur, on peut entrer chez M mela marquise.

– Est-ce que M med’Harville a demandé sa voiture?

– Non, monsieur le marquis; M lleJuliette a dit devant moi au cocher de M mela marquise qui venait demander les ordres pour la matinée que comme il faisait froid et sec, madame sortait à pied… si elle sortait.

– Très-bien. Ah! j’oubliais: si je vais à la chasse, ce sera demain ou après. Dis à Williams de visiter le petit briska vert ce matin même; tu m’entends?

– Oui, monsieur le marquis. Vous ne voulez pas votre canne?

– Non. N’y a-t-il pas une place de fiacres ici près?

– Tout près, au coin de la rue de Lille.

Après un moment d’hésitation et de silence, le marquis reprit:

– Va demander à M lleJuliette si M med’Harville est visible.

Joseph sortit.

– Allons… c’est un spectacle comme un autre. Oui, je veux aller chez elle et observer le masque doucereux et perfide sous lequel cette infâme rêve sans doute l’adultère de tout à l’heure; j’écouterai sa bouche mentir pendant que je lirai le crime dans son cœur déjà vicié. Oui, cela est curieux… voir comment vous regarde, vous parle et vous répond une femme qui, l’instant d’après, va souiller votre nom d’une de ces taches ridicules et horribles qu’on ne lave qu’avec des flots de sang. Fou que je suis! Elle me regardera, comme toujours, le sourire aux lèvres, la candeur au front! Elle me regardera comme elle regarde sa fille en la baisant au front et en lui faisant prier Dieu. Le regard… le miroir de l’âme (et il haussa les épaules avec mépris)! plus il est doux et pudique, plus il est faux et corrompu! Elle le prouve… et j’y ai été pris comme un sot. Ô rage! Avec quel froid et insolent mépris elle devait me contempler à travers ce miroir imposteur, lorsqu’au moment peut-être où elle allait trouver l’autre… je la comblais de preuves d’estime et de tendresse… je lui parlais comme à une jeune mère chaste et sérieuse, en qui j’avais mis l’espoir de toute ma vie. Non! non! s’écria M. d’Harville en sentant sa fureur s’augmenter, non! je ne la verrai pas, je ne veux pas la voir… ni ma fille non plus… je me trahirais, je compromettrais ma vengeance.

En sortant de chez lui, au lieu d’entrer chez M med’Harville, il dit seulement à la femme de chambre de la marquise:

– Vous direz à M med’Harville que je désirais lui parler ce matin, mais que je suis obligé de sortir pour un moment; si par hasard il lui convenait de déjeuner avec moi, je serai rentré vers midi; sinon qu’elle ne s’occupe pas de moi.

«Pensant que je vais rentrer, elle se croira beaucoup plus libre», se dit M. d’Harville. Et il se rendit à la place de fiacres voisine de sa maison.

– Cocher, à l’heure!

– Oui, bourgeois, il est onze heures et demie. Où allons-nous?

– Rue de Belle-Chasse, au coin de la rue Saint-Dominique, le long du mur d’un jardin qui se trouve là… tu attendras.

– Oui, bourgeois.

M. d’Harville baissa les stores. Le fiacre partit et arriva bientôt presque en face de la maison du marquis. De cet endroit, personne ne pouvait sortir de chez lui sans qu’il le vît.

Le rendez-vous accordé par sa femme était pour une heure; l’œil ardemment fixé sur la porte de sa demeure, il attendit.

Sa pensée était entraînée par un torrent de colères si effrayantes et si vertigineuses que le temps lui semblait passer avec une incroyable rapidité.

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