Louis Boussenard - Aventures périlleuses de trois Français au Pays des Diamants

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Aventures périlleuses de trois Français au Pays des Diamants: краткое содержание, описание и аннотация

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» Il me fait de la peine, quoiqu’il ait agi à notre égard comme un chenapan.

» Monsieur Albert, sans vous commander, si nous le faisions conduire à Cape-Town...

» On pourrait s’arranger de façon à payer sa pension dans une maison de santé.

– Entendu, mon bon Joseph. Je m’associe de grand cœur à ta « vengeance ».

– Merci ! le courrier arrive demain, nous l’emballerons dans sa voiture.

Ce courrier se présenta à l’heure indiquée, avec cette régularité chronométrique dont les Anglais possèdent l’heureux privilège. Il apportait à Albert une lettre volumineuse dont la suscription, d’une écriture inconnue, était rédigée avec un luxe de détails qui le fit sourire.

– Ma parole ! on dirait une lettre de notaire, murmura le jeune homme.

» M’annoncerait-elle un héritage ?

Il ne croyait pas si bien dire. Un parent, à un degré infinitésimal et qu’il connaissait à peine de nom, s’était tout doucement laissé mourir en lui léguant sa fortune. Une fortune monstre dont le chiffre atteignait une quantité respectable de millions, disait la missive émanant effectivement d’un notaire.

Le parent était presque centenaire ; Albert, en fouillant les souvenirs déjà lointains de son enfance, ne pouvait se rappeler de l’avoir entrevu ; toutes conditions suffisantes pour atténuer ses regrets et lui permettre de se réjouir décemment de cette aubaine inespérée.

– Eh bien ! dit-il à Alexandre, part à deux. Je ferai rebâtir Villeroge et tu viendras t’y installer avec ta compagne.

Alexandre allait opposer à cette offre fraternelle un refus affectueux, mais formel, quand l’Ingénieur qui, depuis la veille, parcourait le kopje à la recherche d’une concession, entra dans la case en manifestant les signes de la plus vive émotion.

Il avait entendu les dernières paroles d’Albert.

– Cher monsieur, dit-il à Alexandre, pardonnez-moi d’entrer ainsi comme un ouragan, sans vous avoir même fait prévenir.

» Ma grande affection pour vous est ma seule excuse ; et je suis si heureux d’arriver porteur d’une nouvelle qui va vous remplir de joie !

– Vous savez bien, mon cher bienfaiteur, que vous n’êtes jamais indiscret avec nous.

» Nous ne faisons qu’une seule famille, et vous en êtes.

» Parlez.

– Cherchant hier un claim à ma convenance, je parcourais en tout sens le kopje, regardant de préférence les concessions abandonnées.

» L’aspect de l’une d’elles me frappa singulièrement, et je reconnus au premier coup d’œil, à des signes indéniables pour un vieux routier comme moi, qu’elle devait être colossalement riche.

» J’y fis pratiquer aussitôt des fouilles. Les résultats furent éblouissants.

» Je me rendis sans désemparer au bureau du cadastre pour savoir si ce claim était définitivement abandonné, et me l’approprier le cas échéant.

» Le directeur me répondit que le claim, vendu jadis au sieur Samuel Bernheim par un Français, M. Alexandre Chauny...

– Ma concession !... s’écria Alexandre.

– ... Appartenait, par droit d’héritage et en toute propriété à mademoiselle Esther Bernheim, aujourd’hui madame Chauny.

» Recevez, cher monsieur, les sincères félicitations de celui qui a eu le bonheur de reconnaître l’opulence prodigieuse de ce claim. Vous êtes dorénavant riche comme feu Crésus, et vous pourrez le vendre ce que vous voudrez.

– Je préfère, répondit en souriant le jeune homme, en continuer l’exploitation, avec un directeur intelligent et honnête. Je lui donnerai cinquante pour cent dans les bénéfices, quelle que soit leur importance...

» Il pourra tailler, rogner, agir à sa fantaisie, et je ne serai pas un associé gênant, car mon intention formelle est de retourner en France.

» Il va sans dire que vous acceptez ces fonctions de directeur.

– Moi !... Mais, c’est une fortune énorme...

– Eh bien ! tant mieux. Vous êtes homme à en faire bon usage. La situation prépondérante que vous aurez bientôt acquise vous permettra, en outre, de continuer l’œuvre de pacification et de progrès commencée par les vaillants explorateurs vos compatriotes.

» Vous connaissez les indigènes. Ils nous aiment. Vous pourrez, je l’espère, arracher ceux de la région au hideux servage des Boërs et leur restituer enfin leur part d’indépendance et de liberté.

Примечания

1

Aventures d’un gamin de Paris à travers l’Océanie . Librairie illustrée, 7, rue du Croissant, Paris.

2

Le Baobab ( Adansonia digitata ) est un arbre, ou plutôt une sorte d’agrégat végétal d’une vitalité inouïe. On peut le creuser, attaquer sa substance avec le fer ou le feu, et son développement n’est pas arrêté. Le docteur Livingstone en a trouvé qui grandissaient encore après avoir été coupés, et constata que certaines branches de l’un d’eux, grossirent encore d’un pouce anglais, après l’abattage du tronc principal.

3

Il y a, dit Livingstone, dans le sud de l’Afrique, quantité de plantes et d’arbres épineux, portant des épines de toutes tailles et de toutes formes : droites, longues et minces, courtes et grosses, en crochets, en hameçons, en fers de lance, en alênes, si fortes et si coupantes, qu’elles tranchent le cuir comme un rasoir. Les gousses, les noix, les capsules, en un mot, tous les éluis qui renferment les graines de ces plantes, sont épars au milieu de ces appendices. L’un est plat comme un shelling et porte deux épines au centre, afin de s’attacher au pied du premier animal qui marchera dessus, et de se faire transporter au loin ; une autre, qui appartient à l’ Uncaria procumbens , appelée vulgairement plante à grappins est armée d’une quantité d’épines effroyables qui lui permettent de s’accrocher à tout ce qui passe. Lorsqu’il s’attache au mufle d’un bœuf, le pauvre animal s’arrête et mugit de douleur et d’impuissance.]

4

David. Les noirs de l’Afrique Australe appelaient ainsi le Dr David Livingstone.

5

Nom donné par les indigènes à mistress Livingstone.]

6

Le lion à museau de chien , plus petit que les autres, est spécial à l’Afrique de Sud.

7

Antilope ibex.

8

Cephalopus mergens.

9

Oryx eapensis.

10

Oryx eapensis.

11

Strep iceros capensis.

12

Gazella euchore.

13

Hysirix cristata.

14

Catoblepas gnu .

15

Antilope melampus.

16

Les chambocks sont les fouets servant à frapper les bœufs qui sont sous la main du conducteur au timon du chariot. Ce sont d’énormes lanières de peau d’hippopotame ou de rhinocéros, ayant deux mètres de long, environ quatre centimètres de diamètre à la poignée et se terminant en pointe effilée. Le chambock, bien séché et battu avec un maillet de bois, acquiert une solidité et une flexibilité incroyables. Un coup frappé avec une moyenne intensité sur les reins d’un bœuf, suffit pour faire voler le poil et tracer sur la peau un sillon persistant pendant une journée.

17

Les larves que l’on trouve sur les feuilles du Bauhinia et que mangent les Africains, dit M. O. Westwood, appartiennent à un psylle homoptère de petite taille, mais d’une grande captivité, analogue à celui qui se rencontre en Australie sur les fouilles de l’Eucalyptus.

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