Ibid: «Sire! Grandes et infinies sommes de deniers levés en vostre royaul-me… ne soyent entrés en vos coffres…, ainsi par donations immenses et autres moyens évidents sont demeurés entre les mains d’aucuns particuliers, les maisons desquels l’ont voit tellement relevées et l’acroissement en avoir esté si grand, que cent millions d’autres sont venues en ruyne et decadence».
Clamageran J.-J. Histoire de l’impôt en France. T. II. P. 160.
L'Esloik P. de. Oeuvres. P., 1825. T. I. P. 320.
Ibid.
Ibid. P. 321.
Clamageran J.-J. Histoire de l’impôt en France. T. II. P. 153.
L'Estoile P. de. Oeuvres. T. I. P. 231.
Ibid.
Ibid. P. 322: «Au regard des meurs tous les estatz sont corrompeuz». «Les uns subjectz estans mal payez et mal contens, les aultres…pour meurs corrompeuz, ne craignans Dieu, et n’obeissans aux magistrates…»
Clamageran J.-J. Histoire de l’impôt en France. T. II. P. 162;
Etats généraux de Pontoise. Cahier du tiers état. № XV, XX.
Clamageran J.-J. Histoire de l’impôt en France. T. II. P. 171–172.
Ibid. P. 183.
Machiavelli N. Opere minori. Firenze, 1852. P. 193: «Gli prelati di francia traggono duoi quinti delle entrate di quel regno». Микеле Суриано, венецианский посол (1561 г.), оценивает поземельный доход во всей Франции в 37 500 000 ливров, из которых 15 000 000 принадлежат духовенству (Relations des ambassadeurs vénitiens… T. II).
По Дж. Корреро (1569 г.), доход духовенства равняется 17 500 000 ливров (Ibid. T. II). епископы диоцезов юга получали около 30 000 000 франков: Мату-Lafon М. Histoire politique, religieuse et littéraire du Midi de la France. T. I–IV. P., 1882. T. III. P. 400 (n. 1).
«Les vicaires ne leur parlent que de payer les dixmes et offrandes, et rien cles bonnes meurs» (L'Hospital M. de. Oeuvres inédites… T. I. P. 322).
Thierry A. Considérations sur l'histoire de France // Thierry A. Oeuvres complètes. P., 1840. T. VII. Ch. I. P. 18–20: «Ut sic jurisdictio nostra ressuscitata respiret, et ipsi haclenus ex nostra depauperatione ditati… redu-cantur ad statum Ecclesiae primitivae».
Слова, сказанные Квентином, оратором духовенства, на орлеанских Штатах см.: La Place P. de. L’estât de la religion et republique // Choix de chroniques et mémoires sur l’histoire de France / Ed. J.-A.-C. Buchon.
Ibid. Р. 91.
États généraux de Pontoise. Cahier du tiers état. P. XXI, XXIII ff.
Brantôme P. de. Oeuvres complètes… T. VII. P. 284: «Il s’eslisoienl le plus souvent celuy qui estoit le meilleur compagnon, qui aymoit les garces, les chiens et les oyseaux, qui estoit le meilleur biberon, bref, qui estoit le plus débauché; afin que… par après il leur permit faire toutes les pareilles desbauehes, dissolutions et plaisirs: comme de vray l’en faisoient auparavant très-bien obliger par bons serments et falloit qu’ille tint par amour ou par force».
Ibid. P. 287–88: «Les Evesques…, Dieu sait quelles vies ils menoient. Certainement, ils estoient… asidus en leur Dioceses. Mais c’estoit pour mener une vie toute dissolue après chiens, oyseaux, festes, banquets, nopces et putains, dont ils en faisoient des serrails; ainsi que jày ouy parler d’un…, qui faisoit «-'chercher de jeunes, belles, petites filles, de l’asge de dix ans, qui promettaient 'luelque choses de leur beuaté…, et les donnoit à nourrir et élever… parmy leurs paroisses…, comme Gentilhomme de petits chiens, pour s’en servir lorsqu’elles seraient grandes».
Ibid. T. VII. P. 288: «Nos esveques d’aujourd’hui sont plus disertes, au moins plus sages hypocrites, qui cachent mieux leurs vices noirs».
La Place P. de. L’estât de la religion et republique. P. 95. Thibodeau A.-C. Histoire des États généraux et des institutions… T. II. P. 467.
Mémoires de Condé, ou Recueil pour servir à l’histoire de France, contenant ce qui s’est passé de plus mémorable dans le Royaume, sous le Règne de François II & sous une partie de celui de Charles IX / Ed. D. F. Secousse. T. I–VI. L.-P., 1743–1745. T. I. P. 560.
Mémoires de Claude Haton contenant le récit des événements accomplis de 1553 à 1582, principalement dans la Champagne et la Brie / Publ. par F. Bourquelot. T. I–II. P., 1857. T. I. P. 89–92.
Thibadeau A.-C. Histoire des Etats généraux et des institutions… T- I. P. 477 ff.
Cp.: Requeste présentée au Roy par la noblesse de Forestz (Рукопись Императорской Публичной Библиотеки. § 9, 10,11,19, 25).
См.: Marchant С. Remonstrance au peuple français sur la diversité des vices. Цит. в кн.: Dulaure J.-A. Histoire physique, civile et morale de Paris, depuis les premiers temps jusqu’à nos jours. T. I–VI. P., 1854. T. III. P. 160: «L'habit et paroles de nos mignards cordelliers et pescheurs… représentent plustot des comédiens et joueurs déguisés que des personnages graves, simples et modestes comme leur état leur requiert».
«Il n’est pas séant à un homme d’église d’avoir ni de porter des mouchoires lnsés et musqués, ni toutes autres choses délicieuses».
Remonstrances très-humbles de la ville de Paris. Цит. в кн.:
Dulau-re J.-A. Histoire physique, civile et morale de Paris… T. III;
Mémoires de Claude Haton… T. I. P. 91.
О кардинале Гизе, например, Брантом рассказывает; «Quand il arrivoit à la cour quelque fille ou dame nouvelle qui fust belle, il (le cardinal) la venoit aussitost accoster; et, la raisonnant, il luy disoit qu’il la vouloit dresser de sa main. Quel dresseur!.. Aussy pour lors, disoit on qu’il n y avoit gueres des dames ou filles résidentes à la cour, ou fraischement venues, qui ne fussent desbauchées ou attrapées par la largesse du dit monsieur le cardinal et peu ou nulles sont elles sorties de cette cour femmes et filles de bien. Aussy vouloit-on pour leurs coffres et grandes garde-robes plus pleines de robbe et de cottes d’or et d’argent…, que sont aujourd’hui celles de nos reines… J’en ai fait l’expérience pour l’avoir vu en deux ou trois qui avoient gagné tout cela par leur…, car leurs pères et mères et maris ne leur eussent pu donner en si grande quantité» (Brantôme P. de. Oeuvres complètes… T. IV. P. 322).
Так поступил из нежелания скандализоваться подобно своим сослуживцам, епископ Дю Беллуа. Его женитьба «…была событием, по поводу которого не было особых угрызений совести» (« était chose don’t on ne faisait pas grande scrupule »). — Dulaure J.-A. Histoire physique, civile et morale de Paris… T. III. P. 164.
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