Clamageran Histoire de l’impôt en France. T. I–III. P., 1867–1870. T. II. P. 139.
При Франциске I талья была установлена в 2 400 000 ливров, при Генрихе II — 5 840 000 в 1599 г. — вся сумма ежегодного дохода ( revenues ordinaries ) увеличилась на 84 процента, а экстраординарные доходы возросли на 100 процентов. См.: Ibid. Р. 146–47.
Etats généraux de Pontoise. Cahier du tiers état / Publ. par. H. Tartiere. Mont-de-Marsan, 1869. № XVI. P. 9 ff.
Cp.: Clamageran J.-J. Histoire de l’impôt en France. T. II. P. 102 ff.
Etats généraux de Pontoise. № XVI. P. 11: «Remettant et réduisant en mémoire ce que les histories anciennes… nous ont délaissé de l'antiquité…, ne se trouve qu’il y ayt eu oncques monarque, roy ou souverain qui si fort demeure redevable de si grandes et excessives sommes que les feus roys Henri d François se sont trouvés».
Castelnau M. de. Mémoires // Collection Michaud. T. IX. P. 443: Toutes ces grandes debtes furent faites en moins de douze ans, pendant lesquels on leva plus d’argent sur les sujets, que Ton n'avait fait de quatre-vingts ans auparavant, outre le domaine qui estoit Presque tout vendu».
Ibid. Cp.: Nervo J.-B. R. C. de. Les finances de la France sous le règne de Napoléon III. P., 1861. T. I. P. 171;
Clamageran J.-J. Histoire de l’impôt en France. T. II. P. 161.
Ibid.
Приезд во Францию и встреча императора Карла V стоили казне два миллиона франков. Sismondi J.-Ch.-L. Histoire des Français. T. I–XXXI. P., 1821–1844. T. X. P. 248.
Пребывание его в Орлеане вынудило многих горожан истратить много денег на костюмы: « Il n’y avoit celui qui n’eût sur soi plus de deux mille francs en bagues », — говорит современник.
Относительно других расходов см:
«Extraits des comptes de dépenses de François: Archives curieuses». T. III;
Capefigue J.-B.-H.-R. Francois I et la Renaissance (1515–1547). T. II. P. 23 ff.;
Clamageran J.-J. Histoire de l’impôt en France. T. II. P. 103. (300 тысяч экю — на дам и девиц).
Bonnemère Е. Histoire des paysans… T. I. P. 464;
Mémoires de Martin du Bellay // Ancienne collection. T. XVII. P. 87: «Plusieurs y portèrent sur les épaules leur moulins, leurs forêts et leurs prés».
Extraits des comptes de dépenses de François I // Archives curieuses. T. III. P. 81, 84, 89, 94–96. «A. N. de Troyes, argentier du Roy…pour son payement des draps, tailles d’or et d’argent et de soye, devant de codes, manchons faits à broderie d’or et d’argent, qu’il a…fournyes et livrées en la dite argenterie, pour les robes, cottes, doubleures et bordeures d’icelles, à Mesdames les Dauphines…, et autres dames et demoiselles de leur maison, ausquelles le Roy en don à ce qu’elles fussent hounorablement vestues, à cause de l’entrevue (entre l’empereur et Pape)…11, 610 livres 17 sols» (Ibid. P. 94–95).
«Aux filles de joyes suivant la court, en don… 90 livres» (Ibid. P. 98).
Другой документ представляет еще больший интерес: «François, par la grâce de Dieu, à notre ame et féal conseillier et trésorier de nos espargnes M. Jehan Duval, salut et dilection. Nous voulons et vous mandons que des deniers de nos espargnes vous bailliez comptant à Cecile de Viefville, dame des filles de joye suivant notre cour, la somme de 45 liv. Tournois, que nous lui avons fait et faison don, tant pour elle que pour les autres femmes et filles de sa maison, à despartir entre elles etc.» (Ms. Bibliothèque du Roi). Цит. в кн.: Capefigue J.-B.-H.-R. Francois l'et la Renaissance (1515–1547). T. II. P. 4–5 (примеч.).
«Я видел их, — говорит о них Брантом, — почти всех замужними, и я бы назвал этих девушек не иначе, как девками… и я бы назвал имена всех дворянах, за которых они вышли замуж; я также думаю, что, спроси их, какая пора в их жизни была самой лучшей, [они бы ответили] что когда они были девушками, поскольку тогда у них было право свободного выбора принести монашеский обет как Венере, так и Богоматери» (« Je les ai veues, quasi toutes mariées et ne les nommeray que filles ces demoiselles…, et nommerais bien tous les gentils hommes avec qui elles ont esté mariées; aussi croisje que le meilleur temps qu’elles ont jamais eu, et qu’on Leur demande, c’est quand elles estoient filles; car elles avoient leur liberal arbitre pour estre religieuses, aussi bien de Venus que de Dame »). — Brantôme P. de. Oeuvres complètes… T. II. P. 93.
Ibid. T. III (Les dames galantes).
Brantôme P. de. Oeuvres complètes… T. III. Его трактаты «О рогоносцах» ( Des cocus ), «О касании и созерцании в любви» ( De l’attouchement et de la veue en Amour ), «О красоте ноги» ( De la beauté de la jambe ) и др. представляют собою свод рассуждений и анекдотов в высшей степени сальных, но ярко характеризующих нравы.
«Эта дама, — говорит Клод де Обеспиньи, — приобрела такое влияние и власть над этим принцем (Генрихом II), что в какой мере она превосходила его в летах, в такой же она всегда управляла им по своему желанию» (« C’este femme s’acquit tant d’auctorité et de puissance sur ce prince (Henri II) que, combine qu’elle le devançast de beacoup d’aage, elle l'a tousjours entièrement possédé à sa volonté »). — Histoire particulière de la court de Henry II // Archives curieuses. T. III. P. 280.
Brantôme P. de. Oeuvres complètes… T. III (Les dames galantes): «J’etois née pour avoir des enfants légitimes de vous; j’ai été votre maitresse parce que je vous aimois, je ne souffrirai pas qu’un arret me déclare votre concubine».
Mémoires de Vielleville // Collection Michaud. T. IX. P. 60.
См. донесение венецианского посла Соранцо в кн.: Relazioni degli ambasciatori veneti al Senato; raccolte, annotate / Eld. E. Alberi… Vol. I–XV. Fiienze, 1839–1863. Vol. II. P. 437.
Mémoires de Vielleville // Collection Michaud. T. IX. P. 59–60.
Ibid. T. X. Lib. 8, 9 etc.
Etats généraux de Pontoise. Cahier du tiers état. P. 11–12.
Читать дальше