Guillaume Apollinaire - Les Onze Mille Verges ou les amours d’un hospodar

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Les Onze Mille Verges ou les amours d’un hospodar: краткое содержание, описание и аннотация

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«Si je vous tenais dans un lit, vingt fois de suite je vous prouverais ma passion. Que les onze mille vierges ou même les onze mille verges me châtient si je mens!» Tel est le serment que le prince Mony Vibescu, hospodar héréditaire de Roumanie, a fait à Culculine d'Ancône.De Paris à Port Arthur, en passant par Bucarest, en sleeping-car, sur les champs de bataille ou dans les bordels, à la poursuite de la belle Culculine, le fougueux prince Mony va tenter de tenir parole. Mais le chemin de la passion est pavé d'étonnantes perversités, et le prince, sans cesse détourné de son but par diverses tentations, devra subir le châtiment.Il fallait bien l'humour raffiné d'un Apollinaire pour raconter cette histoire démesurément obscène tout au long de laquelle se succèdent les scènes les plus énormes de pédérastie, de saphisme, de vampirisme ou de scatomanie…

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Et je veux t’avouer, en dépit d’Avinain,

Que me fait ton amour pourvu que tu jouisses!

Ma bouche à tes seins blancs comme des petits suisses

Fera l’honneur abject des suçons sans venin.

De ma mentule mâle en ton con féminin

Le sperme tombera comme l’or dans les sluices.

Ô ma tendre putain! tes fesses ont vaincu

De tous les fruits pulpeux le savoureux mystère,

L’humble rotondité sans sexe de la terre,

La lune, chaque mois, si vaine de son cul

Et de tes yeux jaillit même quand tu les voiles

Cette obscure clarté qui tombe des étoiles…

Et comme le vit était arrivé à la limite de l’excitation, Estelle baissa ses pieds en disant:

«Mon prince, ne le faisons pas cracher dans le wagon-restaurant; que penserait-on de nous?… Laissez-moi vous remercier pour l’hommage rendu à Corneille dans la pointe de votre sonnet. Bien que sur le point de quitter la Comédie Française , tout ce qui intéresse la maison fait l’objet de mes constantes préoccupations.

– Mais, dit Mony, après avoir joué devant François-Joseph, que comptez vous faire?

– Mon rêve, dit Estelle, serait de devenir étoile de café-concert.

– Prenez garde, repartit Mony, L’obscur Monsieur Claretie qui tombe les étoiles vous fera des procès sans fin.

– T’occupe pas de ça, Mony, fais-moi encore des vers avant d’aller au dodo.

– Bien,» dit Mony, et il improvisa ces délicats sonnets mythologiques.

HERCULE ET OMPHALE

Le cul

D’Omphale

Vaincu

S’affale.

«Sens tu

Mon phalle

Aigu?

«Quel mâle!…

Le chien

Me crève!…

Quel rêve?…

… Tiens bien?»

Hercule

L’encule.

PYRAME ET THISBÉ

Madame

Thisbé

Se pâme:

«Bébé»

Pyrame

Courbé

L’entame:

«Hébé!»

La belle

Dit oui

Puis elle

Jouit

Tout comme

Son homme.

« C’est exquis! délicieux! admirable! Mony, tu es un poète archi-divin, viens me baiser dans le sleeping-car, j’ai l’âme foutative.»

Mony régla les additions. Mariette et Cornaboeux se regardaient langoureusement. Dans le couloir, Mony glissa cinquante francs à l’employé de la Compagnie des Wagons-Lits qui laissa les deux couples s’introduire dans la même cabine:

«Vous vous arrangerez avec la douane, dit le prince à l’homme en casquette, nous n’avons rien à déclarer. Par exemple, deux minutes avant le passage de la frontière, vous frapperez à notre porte.»

Dans la cabine, ils se mirent tous les quatre à poil. Mariette fut la première nue. Mony ne l’avait jamais vue ainsi, mais il reconnut les grosses cuisses rondes et la forêt de poils qui ombrageait son con rebondi. Ses tétons bandaient autant que les vits de Mony et de Cornaboeux.

«Cornaboeux, dit Mony, encule-moi pendant que je fourbirai cette jolie fille.»

Le déshabillage d’Estelle était plus long et quand elle fut à poil, Mony s’était introduit en levrette dans le con de Mariette qui commençait à jouir, agitait son gros postérieur et le faisait claquer contre le ventre de Mony. Cornaboeux avait passé son nœud court et gros dans l’anus dilaté de Mony qui gueulait:

«Cochon de chemin de fer! Nous n’allons pas pouvoir garder l’équilibre.»

Mariette gloussait comme une poule et titubait comme une grive dans les vignes. Mony avait passé les bras autour d’elle et lui écrasait les tétons. Il admira la beauté d’Estelle dont la dure chevelure décelait la main d’un coiffeur habile. C’était une femme moderne dans toute l’acception du mot: cheveux ondulés tenus par des peignes d’écaille dont la couleur allait avec la savante décoloration de la chevelure. Son corps était d’une joliesse charmante. Son cul était nerveux et relevé d’une façon provocante. Son visage fardé avec art lui donnait l’air piquant d’une putain de haut luxe. Ses seins tombaient un petit peu, mais cela lui allait très bien, ils étaient petits, menus et en forme de poire. Quand on les maniait, ils étaient doux et soyeux, on aurait cru toucher les pis d’une chèvre laitière et, quand elle se tournait, ils sautillaient comme un mouchoir de batiste roulé en boule que l’on ferait danser sur la main.

Sur la motte, elle n’avait qu’une petite touffe de poils soyeux. Elle se mit sur la couchette en faisant une cabriole, jeta ses longues cuisses nerveuses autour du cou de Mariette qui, ayant ainsi le chat de sa maîtresse devant la bouche, commença à le glottiner gloutonnement, enfonçant le nez entre les fesses, dans le trou du cul. Estelle avait déjà fourré sa langue dans le con de sa soubrette et suçait à la fois l’intérieur d’un con enflammé et la grosse bite de Mony qui s’y remuait avec ardeur. Cornaboeux jouissait avec béatitude de ce spectacle. Son gros vit entré jusqu’à la garde dans le cul poilu du prince, allait et venait lentement. Il lâcha deux ou trois bons pets qui empuantirent l’atmosphère en augmentant la jouissance du prince et des deux femmes. Tout à coup, Estelle se mit à gigoter effroyablement, son cul se mit à danser devant le nez de Mariette dont les gloussements et les tours de cul devinrent aussi plus forts. Estelle lançait à droite et à gauche ses jambes gainées de soie noire et chaussées de souliers à talons Louis XV. En remuant ainsi, elle donna un coup de pied terrible dans le nez de Cornaboeux qui en fut étourdi et se mit à saigner abondamment. «Putain» hurla Cornaboeux, et pour se venger il pinça violemment le cul de Mony. Celui-ci, pris de rage, mordit terriblement l’épaule de Mariette qui déchargeait en beuglant. Sous l’effet de la douleur, elle planta ses dents dans le con de sa maîtresse qui, hystériquement, serra ses cuisses autour de son cou.

«J’étouffe,» articula difficilement Mariette, mais on ne l’écouta pas.

L’étreinte des cuisses devint plus forte. La face de Mariette devint violette, sa bouche écumante restait fixée sur le con de l’actrice.

Mony déchargeait, en hurlant, dans un con inerte. Cornaboeux, les yeux hors de la tête, lâchait son foutre dans le cul de Mony en déclarant d’une voix lâche:

«Si tu ne deviens pas enceinte, t’es pas un homme!»

Les quatre personnages s’étaient affalés. Étendue sur la couchette, Estelle grinçait des dents et donnait des coups de poing de tous les côtés en agitant les jambes. Cornaboeux pissait par la portière. Mony essayait de retirer son vit du con de Mariette. Mais il n’y avait pas moyen. Le corps de la soubrette ne remuait plus.

«Laisse-moi sortir,» lui disait Mony, et il la caressait, puis il lui pinça les fesses, la mordit, mais rien n’y fit.

«Viens lui écarter les cuisses, elle est évanouie!» dit Mony à Cornaboeux.

C’est avec une grande peine que Mony put arriver à sortir son vit du con qui s’était effroyablement serré. Ils essayèrent ensuite de faire revenir Mariette, mais rien n’y fit:

«Merde! Elle a crampsé,» déclara Cornaboeux. Et c’était vrai, Mariette était morte étranglée par les jambes de sa maîtresse, elle était morte, irrémédiablement morte.

«Nous sommes frais, dit Mony.

– C’est cette salope qui est la cause de tout,» déclara Cornaboeux en désignant Estelle qui commençait à se calmer. En prenant une brosse à tête dans le nécessaire de voyage d’Estelle, il se mit à lui taper dessus violemment. Les soies de la brosse la piquaient à chaque coup. Cette correction semblait l’exciter énormément. À ce moment, on frappa à la porte.

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