Lois Bujold - La danse du miroir

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Mark est revenu.
Mark, le clone-jumeau de Miles. Mark le fou errant. Et, pour fêter son retour, il a volé aux Dendariis un navire de guerre ainsi qu’un commando entier, en se faisant passer pour Miles. Armé jusqu’aux dents, il fonce à présent vers l’Ensemble de Jackson.
Miles Naismith se lance à la poursuite de son double. En aveugle, sans savoir ce qui l’attend… En fait, un raid démentiel. Trafic de clones, transplantations de cerveaux… Avec, au bout du voyage, la mort.
La mort pour Miles et la folie pour Mark. Est-ce la fin de l’histoire ?
Non, car la mort, pour un Vorkosigan, n’est pas irréversible : on peut le ramener à la vie. A condition de retrouver son corps…

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— Ives est sorti, il est en permission de convalescence là en bas et Boyd est revenu à bord du Triumph pour poursuivre sa thérapie. Le Centre de Vie Beauchêne nous signale que Durham, Vifian et Aziz peuvent être emmenés mais ils veulent d’abord parler à un responsable.

— D’accord.

— Ils veulent aussi parler de Kee et Zelaski.

Les lèvres de Quinn se durcirent.

— Oui, acquiesça-t-elle platement. Dis-leur qu’on descend les voir.

Le ventre de Miles se noua : cette conversation ne serait sûrement pas agréable.

— Oui, cap’taine. (Hereld consulta d’autres fichiers sur son vid.) Quelle navette veux-tu ?

— La plus petite du Triumph suffira amplement, à moins qu’il n’y ait une cargaison à prendre chez Beauchêne.

— Non, rien. Je peux envoyer la navette Deux au quai J-26 dans trente minutes. Tu pourras partir immédiatement pour la planète, nous avons l’accord des contrôleurs d’Escobar.

— Merci. Quelle heure est-il à Beauchêne ?

Hereld regarda vers sa gauche.

— 0906. La journée fait 2607 heures.

— Le matin. Très bien. Et le temps ?

— Superbe. Ils se baladent en manches courtes.

— Alors, je n’ai pas besoin de me changer. On se recontactera quand on quittera Port Beauchêne. Quinn, terminé.

Miles, assis sur le barda, contemplait ses sandales. Cette mission de contrebande avait été une des plus déplaisantes effectuées par les Mercenaires Dendariis. Ils avaient déchargé du matériel et des conseillers militaires sur Marilac afin de soutenir la résistance locale contre l’invasion cetagandane. La navette de combat A-4 avait essuyé le feu de l’ennemi lors de son dernier voyage de retour à bord du Triumph. À son bord, se trouvaient l’escadron rouge et plusieurs notables marilacans. Le pilote, le lieutenant Durham, bien que mortellement blessé, était parvenu à ramener sa navette trouée et en flammes suffisamment près et à une vitesse suffisamment faible pour que les équipes de secours du Triumph puissent l’arrimer au vaisseau. Ils avaient fixé un tube flexible sur la navette, avaient percé sa paroi et extirpé tout le monde. Puis ils avaient expulsé la navette juste avant qu’elle n’explose, ce qui avait bien sûr attiré l’attention des Cetagandans. Le Triumph avait quitté l’orbite juste à temps pour éviter des représailles. Ainsi une mission qui avait débuté de façon simple s’était terminée en chaos héroïque. Miles détestait ça. Le chaos, pas l’héroïsme.

Résultat de cette équipée : douze blessés graves ; sept dont l’état dépassait les ressources de remise en vie du Triumph et qu’on avait cryogénisés dans l’espoir de les aider plus tard ; trois morts irrémédiables. À présent, Miles n’allait pas tarder à apprendre combien de victimes de la deuxième catégorie étaient passées dans la troisième. Les visages, les noms, des centaines de souvenirs ou d’informations à leur sujet cascadaient dans son esprit. Il aurait dû être à bord de cette navette mais avait dû partir plus tôt pour s’occuper d’un autre problème ailleurs…

— Ils s’en sont peut-être tirés, dit Quinn en lisant dans ses pensées.

— J’ai trop passé de temps dans les hôpitaux, je ne peux pas m’empêcher de m’identifier à eux, répondit-il, absent.

Une mission parfaite. Que ne donnerait-il pas pour une seule mission parfaite, une mission au cours de laquelle rien n’irait de travers ? Peut-être que la prochaine allait enfin être celle-ci.

L’odeur frappa Miles dès que Quinn et lui franchirent les portes du Centre de Vie Beauchêne, la clinique spécialisée dans la cryothérapie où se faisaient soigner les Dendariis sur Escobar. Ce n’était ni une puanteur, ni même une mauvaise odeur, juste une nuance bizarre dans le système d’air conditionné. Mais c’était une odeur si profondément associée à la douleur dans son esprit que son cœur se mit à battre plus vite. Il prit une longue inspiration et regarda autour de lui. Le hall était typique des techno-palaces en vogue sur Escobar, propre mais chichement meublé. L’argent était en fait entièrement investi dans les étages supérieurs, dans les cryoéquipements, les labos de régénération… là où on en avait vraiment besoin.

L’un des patrons de la clinique, le Dr. Aragones, descendit les accueillir pour les escorter jusqu’à son bureau à l’étage. Miles aimait ce bureau bourré de disques, de dossiers et même de feuilles imprimées sur papier pelure qui indiquaient un technocrate passionné par ce qu’il faisait. Il aimait aussi Aragones lui-même, un grand type bourru avec une peau de bronze, un nez noble et des cheveux gris.

Le Dr. Aragones n’était pas heureux des résultats qu’il allait annoncer : ils heurtaient sa fierté.

— Vous nous apportez des catastrophes en espérant des miracles, se plaignit-il gentiment en s’installant dans sa chaise tandis que Miles et Quinn s’asseyaient en face de lui. Si vous voulez des miracles, il faut vous en occuper plus tôt, dès les premiers soins donnés à mes pauvres patients.

Aragones ne les appelait jamais les morts-vivants, ne leur donnait jamais un de ces surnoms nerveux que leur attribuaient les soldats. Pour lui, ils étaient toujours "ses patients". C’était encore quelque chose que Miles appréciait chez le médecin escobaran.

— En général, et malheureusement, nous devons parer au plus pressé, répondit Miles comme pour s’excuser à son tour. Dans ce cas, vingt-huit personnes sont arrivées en même temps à l’infirmerie, toutes souffrant de multiples blessures : traumatismes extrêmes, brûlures, contamination chimique… Toutes en même temps. Le triage a été brutal, en tout cas au début, jusqu’à ce qu’on sache à quoi s’en tenir. Mes hommes ont fait de leur mieux. (Il hésita.) Pensez-vous qu’il faudrait donner quelques cours de recyclage à nos méd-techs ? Et dans ce cas, seriez-vous d’accord pour diriger un séminaire ?

Aragones écarta les mains d’un air pensif.

— On peut essayer… Discutez-en avec Margara, notre administrateur, avant votre départ.

Miles hocha le menton et Quinn prit une note sur son agenda électronique.

Aragones consulta sa comconsole.

— D’abord, les mauvaises nouvelles. Nous n’avons rien pu faire pour votre M. Kee et votre M me Zelaski.

— Je… j’ai vu la blessure à la tête de Kee. Ça ne m’étonne pas. ( Ecrasée comme un melon.) Mais nous avions une cryo-chambre disponible, alors nous avons tenté le coup.

Aragones acquiesça.

— M me Zelaski avait un problème similaire mais moins visible extérieurement. Son système d’irrigation cervicale a été complètement détruit lors du traumatisme. On n’a pas pu drainer tout son sang du cerveau et injecter proprement les cryo-fluides. Entre la cristallisation par le froid et les hématomes, la destruction des neurones a été complète. Je suis désolé. Leurs corps sont à votre disposition dans notre morgue.

— Kee souhaitait que son corps soit rapatrié à sa famille pour ses funérailles. Pouvez-vous le faire expédier par le canal habituel ? Nous vous donnerons l’adresse. (Un nouveau signe vers Quinn. Une nouvelle note.) Zelaski n’a pas signalé de familles ou de proches. Certains Dendariis n’en ont pas ou ne veulent pas en parler et nous n’insistons pas. Mais, une fois, elle a dit à ses compagnons de combat qu’elle aimerait qu’on dispose de ses cendres. Pouvez-vous passer ses restes au crématoire et les envoyer à notre département médical ?

— Très bien.

Aragones effaça ces données du plateau et elles disparurent comme par enchantement, aussitôt remplacées par d’autres.

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