Terry Pratchett - Les zinzins d'Olive-Oued

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Les zinzins d'Olive-Oued: краткое содержание, описание и аннотация

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La manivelle tourne…
Et les diablotins se décarcassent dans la boîte à images.
Car un alchimiste d’Ankh-Morpork a découvert la magie des images animées. Une activité fébrile s’empare d’une colline déserte au bord de l’océan : Olive-Oued.
Du friçon ! De l’aventure !
Avec les étoiles
**Victor Marasquino**
et **Delorès de Vyce**
Et avecque mille éléfants !
Une daibauche de passionne et de grands aiscaliers sur fond d’hystoire tumulte-tueuse :
QUAND S’EMPORTE LE VENT D’AUTAN
Après le pestacle, l’Antre à Côtes de Harga vous attend. Sa cuisine gaz trop gnomique.
Mais les rêves d’Olive-Oued cachent un noir mystère qui menace le Disque-monde.
Il était une fois à Olive-Oued…

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La Chose déploya un pseudopode qu’elle enroula autour de la taille du bibliothécaire…

… et prit conscience d’une autre silhouette, ridiculement petite, qui surgissait de l’escalier.

Les zinzins dOliveOued - изображение 134

Victor se décrocha la pique du dos. Et après, on fait quoi ? Face à des humains, on a le choix. On peut ordonner : « Hé, pose ce primate et sors de là les tentacules en l’air. » On peut…

Un tentacule griffu épais comme son bras s’abattit sur les pierres et les fendilla.

Victor bondit en arrière et porta un grand coup de pique de revers qui creusa une entaille profonde et jaune dans la peau de la Chose. La créature hurla et pivota en se traînant à une vitesse déplaisante pour lancer davantage de tentacules dans la direction de l’intrus.

La forme, songea Victor. Ces créatures n’ont pas de forme réelle dans ce monde. Celle-là passe trop de temps à se maintenir sous sa forme actuelle. Plus elle se concentre sur moi, moins elle pense à ne pas tomber en morceaux.

Un assortiment d’yeux dépareillés se tendirent depuis un peu partout sur la Chose.

Alors qu’ils se braquaient sur Victor ils se parcheminèrent de veinules furieuses injectées de sang.

D’accord, songea-t-il. J’ai accaparé son attention. Et maintenant ?

Il décocha un coup de pique à une griffe qui cherchait à le saisir et sauta en l’air, les genoux remontés sous le menton, lorsqu’un pseudopode heureusement non identifiable voulut lui faucher les jambes.

Un autre tentacule serpenta vers lui.

Une flèche le transperça avec le même effet qu’un plomb tiré à travers une chaussette remplie de crème pâtissière. La Chose poussa des cris stridents.

Le balai passa en trombe au-dessus de la tour tandis que l’archichancelier rechargeait fiévreusement.

Victor entendit au loin : « Si ça saigne, on peut le tuer ! » Suivi de : « Comment ça : on ? »

Victor accentua son attaque, abattit son arme sur tout ce qui lui semblait vulnérable. La créature changeait de forme, essayait de s’épaissir la peau ou de se développer une carapace là où tombait la pique, mais elle n’était pas assez rapide. Ils ont raison. On peut la tuer, songea Victor. Ça peut prendre la journée, mais elle n’est pas invincible…

Puis Ginger apparut devant lui, la mine stupéfaite et douloureuse.

Il hésita.

Une flèche se ficha avec un bruit mat dans ce qui servait de corps à la Chose.

« Taïaut ! On refait un passage, économe ! »

L’image se dissipa. La Chose stridula, rejeta le bibliothécaire comme une poupée et tituba en direction de Victor, ses tentacules tendus de toute leur longueur. L’un d’eux culbuta le jeune homme, trois autres lui arrachèrent la pique des mains, à la suite de quoi la Chose se cabra comme une sangsue et leva la pique de fer pour en frapper ses tourmenteurs aériens.

Victor se redressa sur les coudes et se concentra.

Réel le temps nécessaire.

L’éclair dessina le contour de la Chose d’une lumière bleu et blanc. Après le coup de tonnerre, la créature vacilla, comme prise de boisson, tandis que de petites vrilles luisantes d’électricité lui couraient sur le corps dans un bruit de friture. Quelques membres fumaient.

Elle résistait pour ne pas se désunir contre les forces qui grondaient en elle. Elle se déplaça follement en crabe sur la pierre en poussant de drôles de petits miaulements, puis elle regarda méchamment Victor d’un unique œil valide et bascula dans le vide.

Victor se releva à quatre pattes et se traîna jusqu’au bord.

Même durant sa descente, la Chose refusait de renoncer. Elle essayait frénétiquement de développer des plumes, du cuir et des membranes dans un effort pour trouver une parade capable de survivre à la chute…

Le temps se ralentit. L’atmosphère s’embua de violet. La Mort fit tournoyer sa faux.

« TOI APPARTENIR MORT », dit-il.

… Suivit un bruit de linge mouillé claqué sur un mur, et il s’avéra que la seule parade capable de survivre à la chute, c’était un cadavre.

Les zinzins dOliveOued - изображение 135

La foule se rapprocha sous la pluie battante.

Maintenant qu’elle ne maîtrisait plus son apparence, la Chose se dissolvait, se réduisait à ses molécules constituantes, lesquelles s’écoulaient dans les caniveaux et se déversaient dans le fleuve avant de se noyer dans les froides profondeurs de la mer.

« Elle tombe en déliquescence, fit l’assistant des runes modernes.

— Ah bon ? s’étonna le président. Je croyais que la déliquescence, c’était surtout juvénile. »

Il tâta la Chose du pied.

« Attention, prévint le doyen. N’est pas mort ce qui à jamais dort. »

Le président l’examina. « À moi, elle m’a l’air vachement morte, dit-il. Attendez… il y a quelque chose qui bouge… »

L’un des tentacules restés en l’air s’effondra de côté.

« C’est tombé sur quelqu’un ? » demanda le doyen.

Oui, c’était tombé sur quelqu’un. Ils dégagèrent le corps convulsif de Cogite Stibon, ils le tâtèrent et le tapotèrent obligeamment jusqu’à ce qu’il ouvre les yeux.

« Qu’est-ce qui s’est passé ? demanda-t-il.

— Un monstre de quinze mètres vous est tombé dessus, répondit simplement le doyen. Vous allez… euh… bien ?

— Je voulais juste aller prendre un verre, marmonna Cogite. Je serais revenu tout de suite, parole.

— De quoi vous parlez, mon gars ? »

Cogite l’ignora. Il se leva, vacilla un peu, s’en fut en titubant vers la grande salle et n’en ressortit plus.

« Drôle de gars », commenta le président. Ils rabaissèrent les yeux sur la Chose presque entièrement dissoute.

« C’est la belle qui a tué la bête, fit le doyen qui affectionnait ce genre de saillies.

— Non, rétorqua le président. C’est de s’écrabouillasser par terre comme une crêpe. »

Les zinzins dOliveOued - изображение 136

Le bibliothécaire se mit sur son séant et se frotta la tête. On lui fourra un livre sous les yeux. « Lisez-le ! ordonna Victor.

— Oook.

— S’il vous plaît ! »

L’anthropoïde ouvrit l’ouvrage à une page de pictogrammes. Il battit un moment des paupières. Puis son doigt descendit dans le coin inférieur droit de la page et se mit à suivre les signes de droite à gauche. De droite à gauche.

Voilà comment on devait les lire, songea Victor. Autant dire qu’il se fourvoyait depuis le début.

Les zinzins dOliveOued - изображение 137

Électro l’opérateur panoramiqua sur la rangée de mages puis redescendit sur le monstre qui se décomposait rapidement. La manivelle s’arrêta de tourner. Il leva la tête et fit un sourire éclatant à tout le monde. « Si vous pouviez vous resserrer un peu, messieurs ? » dit-il.

Les mages se rapprochèrent docilement les uns des autres en traînant la savate. « La lumière n’est pas très bonne. »

Sol nota : Majes qui regardent le cadavere, troisième, sur un carton.

« Dommage, vous n’avez pas pris la chute, dit-il, des accents aigus d’hystérie dans la voix. On pourra peut-être bidouiller quelque chose ? »

Ginger, assise dans l’ombre près de la tour, les bras autour des genoux, essayait de s’arrêter de trembler. Parmi les formes que la Chose avait cherché à prendre juste avant la fin, elle avait reconnu la sienne.

Elle se remit debout, s’appuya à la maçonnerie rugueuse pour garder l’équilibre et s’éloigna d’un pas incertain. Elle ne savait pas vraiment ce que réservait l’avenir, mais il y aurait du café si jamais elle avait voix au chapitre.

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