Terry Pratchett - Le faucheur

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Mort ? Déprimé ?
Envie de repartir à zéro ?
Alors pourquoi ne pas venir au
CLUB DU NOUVEAU DÉPART ?
Tous les mardis, minuit,668, rue de l’Orme.
OUVERT À TOUSTENUE DE SUAIRE NON EXIGÉE
Du pain sur ses quatre planches pour le défunt Raymond Soulier, activiste résolu : fantômes, vampires, zombis, banshees, croque-mitaines… les morts-vivants se multiplient.
Car une catastrophe frappe le Disque-monde : la Mort est porté disparu (oui, la Mort est mâle, un mâle nécessaire). Il s’ensuit un chaos général tel qu’en provoque toujours la déficience d’un service public essentiel.
Tandis que, dans les champs d’une ferme lointaine, un étrange et squelettique ouvrier agricole manie la faux avec une rare dextérité. La moisson n’attend pas…

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Vindelle claqua des mains et se les frotta d’un air songeur.

« Ah, fit-il, c’est là qu’on dispose d’un avantage. »

Il s’avança dans la lueur.

Il n’avait jamais vu de lumière aussi éclatante. On aurait dit qu’elle sortait de partout, qu’elle traquait la moindre trace d’ombre et l’éradiquait sans pitié. Elle était beaucoup plus brillante que la lumière du jour sans avoir aucun rapport avec elle, et luisait d’un reflet bleu qui sectionnait la vision comme une lame de couteau.

« Ça va, comte ? demanda-t-il.

— Ça va, ça va », répondit Arthur.

Lupin grogna.

Ludmilla tira sur des bouts de métal emmêlés.

« Il y a quelque chose là-dessous, vous savez. On dirait… du marbre. Du marbre orange. » Elle passa la main dessus. « Mais chaud. Le marbre, ça ne devrait pas être chaud, dites ?

— Ça peut pas être du marbre. Dans le monde entier, y a pas autant de marbre que ça… gue ça, fit Dorine. On a voulu en trouver pour le caveau… (elle goûta la sonorité du mot et jugea que ça ne valait pas le coup de le rectifier) le caveau, oui. Ces nains, faudrait les zigouiller, ils sont hors de prix. Une honte.

— Je ne crois pas que les nains ont construit ça », dit Vindelle. Il s’agenouilla maladroitement afin d’examiner le sol.

« Ça m’étonnerait de ces petits cons de feignants. Ils nous demandaient pas loin de soixante-dix piastres pour notre caveau. Pas vrai, Arthur ?

— Pas loin de soixante-dix piastres, confirma Arthur.

— Je ne crois pas que quelqu’un a construit ça », dit Vindelle. Des fissures. Il devrait y avoir des fissures, songea-t-il. Des bords, des choses comme ça, là où les dalles se joignent. Ça ne devrait pas être d’un seul tenant. Ni un peu gluant.

« Alors Arthur l’a fait lui-même.

— Je l’ai fait moi-même. »

Ah. Un bord. Enfin, pas exactement un bord. Le marbre s’éclaircissait, comme une fenêtre, et donnait sur un autre espace très éclairé. Vindelle vit des choses à l’intérieur, indistinctes et l’air informes, mais aucun moyen d’y accéder.

Le bavardage des Clindieux lui passa au-dessus de la tête tandis qu’il s’avançait à quatre pattes.

« … plutôt une cavette, en vérité. Mais il a fait un local souterrain, même s’il faut sortir dans le couloir pour bien fermer la porte… »

La noblesse recouvre des tas d’interprétations, songea Vindelle. Pour certains, c’est ne pas être vampire. Pour d’autres, exposer au mur une série de chauves-souris en plâtre.

Il fit courir ses doigts sur la substance claire. Le monde d’ici était tout en rectangles. Il y avait des encoignures, et le couloir était bordé de chaque côté de panneaux transparents. Quant à la non-musique, elle ne s’arrêtait pas.

Ça ne pouvait pas être vivant, tout de même ? La vie, c’était… plus arrondi.

« Qu’est-ce que vous en dites, Lupin ? » demanda-t-il.

Lupin aboya.

« Hmm. Ça ne m’aide pas beaucoup. »

Ludmilla s’agenouilla aussi et posa la main sur l’épaule de Vindelle.

« Comment ça, personne ne l’a construit ? » fit-elle.

Vindelle se gratta la tête.

« Je ne suis pas sûr… mais je crois, peut-être, que ç’a été sécrété…

— Sécrété ? À partir de quoi ? Par quoi ? »

Ils levèrent la tête. Un chariot jaillit en vrombissant d’un couloir transversal et fila en dérapant dans un autre en face.

« Par eux ? fit Ludmilla.

— Je ne crois pas. À mon avis, ce sont plutôt des serviteurs. Comme des fourmis. Des abeilles dans une ruche, peut-être.

— Et c’est quoi, le miel ?

— Pas très sûr. Mais il n’est pas encore prêt. Je n’ai pas l’impression que ce soit terminé. Qu’on ne touche à rien ! »

Ils reprirent leur progression. Le couloir déboucha dans un large espace lumineux sous un dôme. Des escaliers montaient et descendaient vers d’autres niveaux. On y voyait une fontaine et un bouquet de plantes en pots manifestement en trop bonne santé pour être vraies.

« Comme c’est beau ! fit Dorine.

— Vous continuez de penser qu’il devrait y avoir des gens, dit Ludmilla. Des tas de gens.

— Il devrait au moins y avoir des mages, marmonna Vindelle. Une demi-douzaine de mages, ça ne disparaît pas comme ça. »

Les cinq compagnons se rapprochèrent les uns des autres. Les couloirs comme celui qu’ils venaient d’emprunter auraient permis le passage de deux éléphants marchant de front.

« Vous croyez pas que ce serait une bonne idée de retourner dehors ? fit Dorine.

— Ça nous avancerait à quoi ? répliqua Vindelle.

— Ben, ça nous sortirait d’ici. »

Vindelle tourna sur lui-même en comptant. Cinq couloirs rayonnaient à égale distance les uns des autres à partir de l’espace sous le dôme.

« Et c’est sans doute la même chose au-dessus et en dessous, dit-il tout haut.

— C’est très propre, ici, constata nerveusement Dorine. Pas vrai que c’est propre, Arthur ?

— C’est très propre.

— C’est quoi, ce bruit ? demanda Ludmilla.

— Quel bruit ?

— Ce bruit, là. Comme quelqu’un qui suce quelque chose. »

Arthur regarda autour de lui avec un certain intérêt.

« C’est pas moi.

— C’est l’escalier, dit Vindelle.

— Racontez pas de bêtises, monsieur Pounze. Les escaliers, ça suce pas. »

Vindelle baissa la tête.

« Celui-là, si. »

Il était noir et donnait l’impression d’une rivière en pente. À mesure que la matière sombre sortait du niveau inférieur, elle se repliait pour former ce qui ressemblait à des marches, lesquelles remontaient la pente pour disparaître à nouveau quelque part sous le niveau supérieur. Au moment où elles émergeaient, les marches produisaient un bruit lent et rythmé, slurp, slurp, comme on explorerait une cavité dentaire particulièrement agaçante.

« Vous savez quoi ? fit Ludmilla. Je n’ai sans doute jamais rien vu de plus déplaisant.

— Moi, j’ai vu pire, dit Vindelle. Mais ça, c’est déjà pas mal. On monte ou on descend ?

— Vous voulez grimper là-dessus ?

— Non. Mais les mages ne sont pas à ce niveau, et c’est ça ou se laisser glisser sur la rampe. Vous l’avez regardée de près, la rampe ? »

Ils regardèrent la rampe.

« Je crois, fit nerveusement Dorine, que c’est mieux pour nous de descendre. »

Ils descendirent en silence. Arthur se cassa la figure là où les marches mobiles étaient à nouveau aspirées dans le sol.

« J’ai eu l’impression horrible que ça allait m’entraîner par en dessous, s’excusa-t-il avant de jeter un regard à la ronde.

« C’est grand, conclut-il. Spacieux. Je pourrais faire des prodiges ici avec de la tapisserie imitation muraille. »

Ludmilla s’avança nonchalamment jusqu’au mur le plus proche. « Vous savez, dit-elle, je n’ai jamais vu autant de verre, mais ces zones transparentes ressemblent un peu à des boutiques. Vous trouvez ça logique ? Un grand magasin plein de magasins ?

— Et pas encore en fonction, fit Vindelle.

— Pardon ?

— Je réfléchissais tout haut. La marchandise, vous voyez ce que c’est ? »

Ludmilla se mit une main en visière au-dessus des yeux.

« Que de la couleur et du brillant, on dirait.

— Prévenez-moi si vous voyez un mage. »

Quelqu’un hurla.

« Ou si vous en entendez un, par exemple », ajouta Vindelle. Lupin bondit dans un couloir. Vindelle tituba aussitôt à ses trousses.

Une silhouette sur le dos tentait désespérément de repousser deux chariots. Des chariots plus grands que les modèles habituels, et qui brillaient d’un éclat doré.

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