Jim Butcher - Dans l'oeil du cyclone
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- Название:Dans l'oeil du cyclone
- Автор:
- Издательство:Brangelonne
- Жанр:
- Год:2007
- Город:Paris
- ISBN:978-2-35294-037-1
- Рейтинг книги:3 / 5. Голосов: 1
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Je lançai au loin le tiroir et le scorpion qui y était toujours accroché. Ils s’écrasèrent à quelques mètres de moi.
Karrin délirait, totalement inconsciente de la situation. Sûrement l’effet du poison.
— Ce n’est pas la peine, Dresden. Je te tiens maintenant. Inutile de te débattre. Mets-toi à table !
— On ta déjà dit que tu compliquais un peu les choses de temps en temps, Murphy ?
Je me rapprochai pour passer ma main enchaînée sous son dos en rabattant son autre bras. J’allais essayer de la transporter, mon bras droit sous son bras gauche, unis par la paire de menottes.
— Mon ex-mari, gémit-elle.
Je clopinai en direction de la porte. Une douleur lancinante montait de ma jambe blessée et du sang coulait.
— Que se passe-t-il ? (La peur et la confusion déformaient la voix de Murphy.) Harry, je ne vois plus rien.
Et merde ! Le poison la tuait. En général le venin du scorpion brun d’Amérique du Nord est aussi dangereux que celui d’une abeille, mais les abeilles lambda ne font pas la taille d’un chien. En plus, Murphy n’était pas très épaisse. Si le dard lui avait inoculé beaucoup de toxine, elle avait peu de chances de s’en tirer. Elle avait besoin de soins. Maintenant.
Avec les mains libres, j’aurais récupéré mes bâtons et livré bataille. Attaché à Karrin, je préférai ne pas tenter le coup. Même si j’arrivais à me protéger, la bestiole pouvait piquer Murphy de nouveau et la tuer net. Je n’étais pas dans la meilleure position pour trouver ses clés, et je n’avais pas le temps de les essayer une par une. De même, les seuls sorts assez puissants pour briser les menottes rapidement avaient toutes les chances de me tuer avec les éclats, et je n’avais pas le temps de lancer un sort d’évasion plus délicat.
Bon sang, papa, si seulement tu avais vécu assez longtemps pour m’apprendre à me sortir d’une paire de menottes !
— Harry, répéta Karrin, je n’y vois rien…
Sans répondre, je la poussai vers la porte. Un concert de craquements résonna dans mon dos. En me retournant, je m’aperçus que le scorpion, le dard toujours coincé dans le bois du tiroir, commençait à le mettre en pièces avec ses pinces et ses pattes. Je repris ma progression vers le couloir et parvins à fermer ma porte d’un coup de pied. Les jambes de Murphy ne la soutenaient pas beaucoup, et notre différence de taille n’arrangeait rien. Je devais lutter pour la tenir debout et la faire avancer.
Nous étions arrivés au bout du couloir. À ma gauche l’ascenseur, à ma droite, l’escalier.
Je m’arrêtai un instant pour souffler un peu. J’essayai d’oublier le bruit de bois brisé provenant de mon bureau, Karrin s’était effondrée contre moi et je ne savais même pas si elle respirait encore. Je n’aurais jamais la force de la porter dans les escaliers. Aucun de nous deux n’était plus capable d’un tel effort. L’ambulance n’allait pas tarder et, si je n’étais pas en bas pour lui confier Murphy, je pouvais aussi bien la laisser agoniser ici.
Je déteste l’ascenseur. Pourtant, je l’appelai. L’affichage commença son décompte, en route pour le cinquième étage.
Les craquements cessèrent derrière moi et quelque chose ébranla la porte de mon bureau.
— Par l’enfer ! lâchai-je sans quitter des yeux l’affichage.
Deuxième étage. Un délai d’environ dix siècles. Troisième étage.
— Mais dépêche-toi ! grognai-je en martelant le bouton une centaine de fois.
Soudain, je pensai à mon bracelet protecteur. Je tentai de l’animer, mais c’était infaisable dans cette position. Je couchai Murphy avec autant de délicatesse et de rapidité que possible, puis levai ma main gauche pour me concentrer sur les boucliers.
Le bas de ma porte explosa et le scorpion déboula dans le couloir en percutant le mur. Il était encore plus gros ! Cette saloperie n’arrêtait pas de grandir.
En pleine frénésie, il rebondit contre la paroi et avança dans ma direction. Puis, avec un horrible bruissement chitineux, il remonta le couloir aussi vite qu’un sprinter. Il sauta, pinces tendues, l’aiguillon prêt à frapper. Je me concentrai sur mon champ de force en essayant de le lever avant que le monstre ne me frappe.
C’était moins une. Le bouclier invisible arrêta la créature à quelques centimètres de mon corps, avant de la catapulter en arrière. Elle atterrit sur le dos, où elle se contorsionna pendant quelques furieuses secondes.
L’ascenseur sonna et les portes s’ouvrirent tranquillement.
Sans ménagement, je tirai Murphy dans la cabine. À quelques mètres de là, le scorpion se replia sur sa queue et se remit d’aplomb. Doué d’une intelligence maléfique, il nous repéra et fonça dans notre direction. Je n’avais pas le temps de relever mon bouclier.
Je hurlai.
Les portes se fermèrent. Il y eut un impact sourd, la cabine frémit quand le monstre la percuta.
L’ascenseur descendait. Je tentai de retrouver mon souffle. Qu’était donc cette saloperie ?
Trop maligne et trop rapide pour un simple scorpion, cette horreur m’avait tendu une embuscade et elle avait attendu que je pose mes armes pour m’attaquer. Ce devait être une espèce de golem miniature, une version à huit pattes du monstre de Frankenstein conçue pour aspirer de l’énergie ectoplasmique et grossir. Ce n’était pas vivant – une sorte de robot programmé pour une mission. Ce fumier de Victor avait dû apprendre où son talisman avait fini et lui lancer un sort pour l’animer et lui faire attaquer tout ce qui bouge. Murphy s’était fait avoir en beauté.
Le scorpion grandissait toujours, devenant plus fort, plus rapide et plus vicieux. Mettre Karrin hors de danger ne serait pas suffisant, il fallait arrêter cette créature. Non que j’en crève d’envie, mais j’étais le seul du quartier à en être capable. Et si sa croissance ne s’arrêtait pas, il fallait que je la tue avant qu’elle n’échappe à tout contrôle.
Le panneau de la cabine affichait les étages, quatre, trois, deux. Soudain, l’ascenseur s’immobilisa. Les lumières vacillèrent, puis s’éteignirent.
— Et merde ! criai-je. Pas maintenant ! Pas maintenant !
Les machines me détestent !
Je tambourinai sur les boutons mais rien ne se passa. Quelques secondes plus tard, il y eut un petit éclair dans le panneau – une volute de fumée – puis la console s’éteignit à son tour. L’éclairage de secours s’alluma un instant. Puis il y eut un léger claquement et il lâcha aussi. Dans les ténèbres, j’attirai Murphy contre moi.
Loin au-dessus de nos têtes, un crissement métallique résonna dans le puits d’ascenseur. Je levai les yeux vers le plafond, invisible dans cette obscurité.
— J’espère que c’est une blague, murmurai-je.
Il y eut un claquement et une créature de la taille d’un gorille atterrit sur le toit. Après une seconde de silence, un bruit de déchirure retentit au-dessus de nous.
— Mais c’est pas vrai ! hurlai-je.
Pourtant, le scorpion, bien réel, était en train d’arracher le plafond, faisant sauter les rivets et les fixations. Une averse de poussière me tomba dans les yeux. Nous étions comme des sardines en boîte attendant d’être mangées. À mon avis, me piquer maintenant serait inutile, puisque je me viderais de mon sang avant que le venin ne fasse son effet.
— Réfléchis, Harry ! meuglai-je. Concentre-toi !
J’étais coincé dans un ascenseur, menotté à une amie agonisante, et un scorpion magique de la taille d’une voiture cherchait absolument à traverser le plafond de la cabine pour me déchiqueter. Je n’avais ni ma crosse, ni mon bâton de combat, et les autres joujoux que j’avais emportés à La Cafétéria étaient épuisés. Mon bracelet de protection retarderait simplement l’inévitable.
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