Jim Butcher - Dans l'oeil du cyclone

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Dans l'oeil du cyclone: краткое содержание, описание и аннотация

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Enquêtes paranormales
Consultations & Conseils. Prix attractifs.
Pas de philtres d’amour ou autres pièges à gogos !
Harry Dresden est le meilleur

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— Dangereux, grogna-t-elle en renversant mes stylos et en fouillant dans les tiroirs du haut. Je vais t’en donner du dangereux ! Se foutre de ma gueule, ça, c’est dangereux ! Je ne joue pas, moi ! Je ne te fais plus confiance !

Le talisman était dans le tiroir du milieu.

— Murphy ! Donne-moi une dernière chance ! Quitte cette pièce !

Il y eut un silence. Je l’entendis inspirer profondément. Puis elle reprit d’un ton des plus professionnels :

— Pourquoi, Dresden ? Qu’est-ce que tu caches ?

Je l’entendis ouvrir le deuxième tiroir.

Il y eut un claquement et Karrin lâcha un juron. Le combiné tomba sur le sol. J’entendis des coups de feu, des ricochets et un cri.

— Bordel ! m’égosillai-je. Murphy !

Je raccrochai brutalement avant de courir vers le taxi.

— Hé, mec, y a pas le feu ! lança le chauffeur.

Je claquai la porte, lui donnai l’adresse du bureau, et lui envoyai tout le fric qui me restait avant de lâcher :

— Il faut que j’y sois depuis cinq minutes !

L’homme cligna plusieurs fois des yeux.

— Que des tarés ! Les tacos récoltent que des tarés !

Sur ces mots, il démarra dans un crissement de pneus.

Chapitre 22

L’immeuble était fermé le dimanche. Je cassai presque la clé en ouvrant la porte. Sans perdre de temps avec l’ascenseur, je montai les marches quatre à quatre.

Cinq étages ! Je mis moins d’une minute, mais je détesterai chacune de ses secondes jusqu’à la fin de mes jours. Arrivé à mon étage, j’avais les poumons en feu et la bouche sèche. Je courus vers mon bureau. Le couloir était calme et silencieux. Seuls le panneau de l’issue de secours et la lumière du soleil éclairaient l’endroit. Les ombres s’allongeaient un peu partout.

Ma porte était entrouverte. Mon souffle pourtant rauque ne parvenait pas à couvrir le grincement du ventilateur. La grande lumière n’était pas allumée, mais la lampe de bureau, si. Un filet doré fusait jusque dans le couloir. Je m’arrêtai sur le palier, tremblant tellement que j’avais du mal à tenir mes bâtons.

— Murphy ? Murphy, tu es là ?

Ma voix était cassée, sans aucune puissance.

Je fermai les yeux, tendis l’oreille et crus entendre deux bruits.

Le premier était une respiration laborieuse accompagnée d’un gémissement. Murphy. Le second était un crissement de chitine. L’air empestait la poudre. La colère m’envahit. La créature de Sells avait blessé mon amie. Il était hors de question de rester là à ne rien faire !

J’ouvris la porte de la pointe de ma crosse et entrai silencieusement, bâton de combat tendu, des mots de pouvoirs sur mes lèvres.

Juste en face de ma porte, j’ai disposé une table qui propose des prospectus comme « Les sorcières ne flottent pas si bien que ça » ou « La magie en l’an 2000 ». J’en avais écrit certains et je les réservais aux curieux qui voulaient en savoir plus sur la magie. Je glissai mon bâton dessous. Rien. Je me relevai pour observer les alentours.

À ma droite, des armoires de rangement s’alignaient le long du mur, près de quelques chaises. Les armoires étaient fermées, mais quelque chose pouvait très bien se cacher sous les sièges. Je déviai sur la gauche, vérifiai derrière la porte, puis me collai au mur en inspectant la pièce.

Mon bureau est dans le coin du fond, à droite en entrant, dans la diagonale de la porte. Un meuble d’angle… Il y a des fenêtres de chaque côté, et mes rideaux étaient baissés, comme d’habitude. Le vieux ventilateur fatigué grinçait au milieu du plafond.

Je regardai partout, les sens en alerte. Ravalant ma colère, je me forçai à rester sur mes gardes. Je n’aiderais pas Murphy s’il m’arrivait la même chose qu’à elle.

J’avançai lentement, brandissant mon bâton de combat.

J’aperçus les baskets de Karrin et, à en juger par l’angle de ses pieds, j’imaginai quelle était couchée sur le côté. Pas moyen de voir le reste de son corps. Je progressai encore et peu à peu le bureau apparut.

Je gardai mon bâton braqué comme un pistolet.

Murphy gisait sur le sol, la tête reposant sur sa chevelure dorée, les yeux grands ouverts, le regard vide. Elle portait un jean, une veste simple et un blouson de sport. Une tache de sang auréolait son épaule gauche. Son pistolet était à quelques centimètres de sa main. Elle respira un peu avant de gémir sous l’effort.

— Murphy, soufflai-je, les larmes aux yeux, avant de répéter plus fort : Murphy !

Elle bougea. Au moins, elle réagissait à ma voix.

— Du calme, du calme, dis-je. Arrête. N’essaie pas de bouger. Je vais essayer de t’aider.

Je m’agenouillai à ses côtés sans quitter la pièce des yeux. Rien de visible. Je posai mon bâton pour prendre le pouls de Murphy. Il était rapide, irrégulier. Elle ne saignait pas assez pour que ce soit grave, mais j’examinai son épaule. Malgré l’épaisseur du blouson, je sentis l’œdème.

— Harry, murmura-t-elle. C’est toi ?

— Oui, Murph, répondis-je en saisissant le téléphone. Tiens le coup, je vais appeler une ambulance.

Le tiroir du milieu était vide.

— Je n’arrive pas à y croire. Espèce de fumier, souffla péniblement Murphy. Tu m’as tendu un piège.

— Chut, fis-je en composant le numéro des urgences. Tu as été empoisonnée. Tu as besoin de soins.

L’opératrice prit mes coordonnées et je lui précisai qu’il fallait s’équiper de sérums antivenimeux. Elle me demanda d’attendre. Comme si j’avais le temps ! La saloperie qui avait attaqué Murphy rôdait encore dans les parages. Il fallait que je sorte Karrin d’ici et que je récupère le talisman pour pouvoir lutter contre Victor Sells dans son repaire du lac.

Murphy s’agita encore et je sentis quelque chose de froid se refermer sur mon poignet. Je n’en croyais pas mes yeux. À moitié dans le coaltar, elle réussit à boucler l’autre extrémité des menottes autour du sien.

— Tu es en état d’arrestation, souffla-t-elle. Empaffé ! En attendant de passer aux aveux, tu n’iras nulle part.

— Murph ? Mon Dieu, tu ne te rends pas compte de ce que tu fais !

— Oh que si ! répondit mon amie en esquissant son rictus de circonstance. Tu aurais dû venir me voir ce matin… Je te tiens maintenant, Dresden. Pauvre crétin !

J’eus l’impression que le plancher se dérobait sous mes pieds.

— Espèce de connasse têtue des enfers ! Il faut que je te sorte d’ici avant qu’il revienne !

À ce moment, le scorpion surgit de l’ombre, sous mon bureau. Aucune chance de l’écraser sous ma chaussure, car il avait la taille d’un gros terrier, à présent. La carapace ocre luisante, il était d’une rapidité effroyable.

Je me jetai sur le côté en voyant sa queue se détendre. Le dard s’enfonça à quelques centimètres de mes yeux. Un liquide frais éclaboussa ma joue et la peau brûla aussitôt. Du venin !

Mon réflexe de survie avait fait rouler mes bâtons, et je tentai de me tortiller pour les attraper. Les menottes de Murphy m’en empêchant, nous grimaçâmes tous deux à cause de la morsure des bracelets. Je sentis le poli de ma crosse sous le bout de mes doigts, mais il y eut un nouveau bruit de course. La créature allait m’attaquer dans le dos. Le bâton glissa hors de portée.

Je n’avais pas le temps de lancer un sort. J’arrachai un tiroir de mon bureau et parvins de justesse à me retourner pour le placer entre l’aiguillon et moi. Il y eut un souffle d’air suivi d’un bruit mat. Larme s’était fichée dans le bouclier improvisé. Une pince s’attaqua à mon pantalon, arrachant un morceau de viande par la même occasion, je hurlai.

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