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George Martin: L'Épée de feu

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George Martin L'Épée de feu
  • Название:
    L'Épée de feu
  • Автор:
  • Издательство:
    Pygmalion
  • Жанр:
  • Год:
    2002
  • Город:
    Paris
  • Язык:
    Французский
  • ISBN:
    2-85704-750-9
  • Рейтинг книги:
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L'Épée de feu: краткое содержание, описание и аннотация

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George R.R. Martin continue à nous entraîner dans un monde fabuleux où les familles de ses héros se ramifient au cœur de régions plus mystérieuses les unes que les autres : grottes, collines creuses, hameau de feuilles, forteresses imprenables. Odieuses mutilations, drames sanglants, mariages imposés, traîtrises sans vergogne, vengeances cruelles et longuement mûries, équipées punitives se succèdent dans ses pages où défile un ensemble jamais vu de créatures fantastiques et inoubliables : dragons, eunuques, vipères, sorcières et sauvageons. Leurs apparences sont souvent trompeuses et toujours bonnes à désarçonner leurs adversaires.      Rien n’arrête l’imagination foisonnante de George R.R. Martin qui poursuit là l’un des cycles romanesques et visionnaires les plus originaux de notre temps.

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— Vous n’auriez pas vu lord Béric ? demanda Tom Sept-cordes.

— Il est mort. » Elle semblait navrée. « La Montagne l’a attrapé et lui a planté son poignard dans l’œil. Nous le tenons d’un frère mendiant. Il l’avait appris de la bouche même d’un témoin direct.

— C’est du rassis, puis des sornettes, affirma Lim. Le seigneur la Foudre est pas si facile à tuer. Ser Gregor a bien pu y arracher un œil, mais ça suffit pas pour mourir. Jack en sait quelque chose.

— Pour ça, oui, abonda le borgne. Mon paternel s’est fait faire aux pattes et pendre par le bailli de lord Piper, mon frangin Wat expédier au Mur, et les Lannister m’ont tué les autres. Un œil, c’est rien.

— Il est vivant, tu me le jures ? » La femme étreignit le bras de Lim. « Bénis sois-tu, Lim, voilà la meilleure nouvelle que j’aie entendue des six derniers mois. Puisse le Guerrier le défendre, lui et le prêtre rouge. »

Le lendemain soir, ils trouvèrent refuge sous les décombres calcinés d’un septuaire, dans un village appelé Forlane. De ses vitraux plombés ne subsistaient que des tessons, et le septon chenu qui les accueillit conta que les pillards avaient tout raflé, depuis la couronne d’argent du Père et la lanterne dorée de l’Aïeule jusqu’aux précieuses robes de la Mère. « Ils ont aussi taillé en pièces les seins de la Jouvencelle, et pourtant ce n’était que du bois, commenta-t-il. Et les yeux, les yeux qui étaient en nacre, en lapis, en jais, ils les ont arrachés avec leurs couteaux. Puisse la Mère les avoir en miséricorde, tous tant qu’ils sont.

— C’est qui qu’a fait ça ? demanda Lim Limonbure. Des Pitres ?

— Non, dit le vieillard. Des gens du Nord, c’était. Des sauvages adorateurs d’arbres. Ils cherchaient le Régicide, ils ont dit. »

En entendant cela, Arya se mâchouilla la lèvre. Elle sentait posé sur elle le regard de Gendry. Elle en éprouva de la honte et de la colère.

De la quinzaine d’individus qui hantaient les caves du septuaire, parmi les toiles d’araignée, les racines et des barriques de vin brisées, pas un seul n’avait eu vent non plus de Béric Dondarrion. Sans excepter leur chef lui-même, dont le manteau zébré d’un violent éclair et l’armure noircie de suie fascinaient tellement Arya que Barbeverte s’en aperçut et s’esclaffa : « Le seigneur la Foudre est partout et nulle part, écureuil étique !

— Je ne suis pas un écureuil, râla-t-elle. Je serai bientôt presque femme. Je vais avoir onze ans.

— Alors, gaffe bien que je te marie pas ! » Il prétendit lui faire des guili-guili sous le menton, mais sa stupide main écopa au vol d’une rebuffade.

Pendant que Lim et Gendry jouaient aux cartes avec leurs hôtes et que Tom Sept-cordes chantait une rengaine idiote sur Ben Gros-bide et l’oie du Grand Septon, ce soir-là, Anguy permit à Arya de s’essayer à l’arc mais, si fort qu’elle se mâchouillât la lèvre, jamais elle ne parvint à le bander. « Il vous faut plus léger, madame, conclut-il du fond de ses taches de son. Si nous trouvons du bois bien sec à Vivesaigues, je vous en fabriquerai peut-être un. »

Ce qu’entendant, Tom s’arrêta court. « Tu n’es qu’un béjaune, Archer. Si nous allons à Vivesaigues, ce ne sera qu’afin de toucher sa rançon dare-dare et pas de t’y prélasser à bricoler des arcs. Bien joli si tu n’y laisses pas la peau. Lord Hoster pendait déjà les hors-la-loi quand tu n’avais que faire de rasoir. Quant à son bonhomme de fils…, un type qui hait la musique, moi je dis toujours, tu peux te méfier.

— C’est pas la musique qu’il aime pas, fit Lim, c’est toi, gros bête.

— Eh bien, sans motif. La garce ne demandait qu’à le dépuceler, c’est ma faute à moi s’il avait trop bu pour en profiter ? »

Lim ricana dans son nez cassé. « Et qui c’est qu’en a tiré une chanson, toi ou un autre faux cul amoureux de sa propre voix ?

— Je ne l’ai chantée qu’une fois…, se défendit plaintivement Tom. Puis qui pouvait dire qu’elle était sur lui ? elle parlait simplement d’un poisson…

— D’un poisson flasque ! » s’esbaudit Anguy.

De quoi traitaient les stupides chansons de Tom, Arya s’en fichait éperdument. Elle se tourna vers Harwin. « Que signifie cette histoire de rançon ?

— Nous manquons cruellement de chevaux, madame. Et d’armures aussi. D’épées, de boucliers, de piques. De tout ce qui s’achète en bonnes espèces sonnantes. Ouais, et de semences également. L’hiver vient, vous vous souvenez ? » Il lui taquina le menton. « Nous rançonnons les prisonniers bien nés. Vous n’êtes pas la première. Ni la dernière, je veux espérer. »

Voilà qui du moins sonnait vrai, perçut-elle. On passait son temps à rançonner des chevaliers captifs, et parfois même des femmes. Mais que se passera-t-il si Robb refuse de payer leur prix ? Elle n’était pas un chevalier célèbre, et les rois étaient censés préférer l’intérêt du royaume au sort de leurs sœurs. Et Mère, dame sa mère, qu’en dirait-elle ? Souhaiterait-elle encore la ravoir, après tous les crimes qu’elle avait commis ? Arya se mâchouilla la lèvre, au comble de la perplexité.

Le jour suivant les mena en un lieu nommé Noblecœur, sur une colline tellement altière que, de son faîte, Arya crut découvrir la moitié du monde. D’énormes souches pâles, uniques vestiges d’antiques barrals, en cerclaient le pourtour. Elle les parcourut avec Gendry pour les dénombrer. Il y en avait trente et une, et certaines d’une telle ampleur qu’il lui aurait été possible de s’y établir pour dormir.

Selon Tom Sept-cordes, les enfants de la forêt avaient jadis consacré Noblecœur, et certains de leurs sortilèges y demeuraient encore actifs. « Quiconque repose ici s’y trouve hors de toute atteinte», affirma-t-il, et elle eut tendance à le croire ; l’éminence dominait de si haut des terres si plates qu’aucun ennemi ne pouvait s’en approcher à l’improviste.

La population des parages, ajouta Tom, évitait le site, réputé hanté par les spectres des enfants de la forêt qu’y avait massacrés le roi andal Erreg, dit le Fratricide, afin de raser leur sanctuaire. Les enfants de la forêt, les Andals, Arya en avait beaucoup entendu parler. Quant aux spectres, ils ne l’effrayaient pas. N’avait-elle pas tout enfant joué dans les cryptes de Winterfell à cache-cache, monstres-et-pucelles et viens-dans-mon-château parmi les rois de pierre sur leurs trônes ?

Cela n’empêcha pas les petits cheveux de sa nuque de se hérisser, cette nuit-là. Elle dormait comme une masse quand la tempête la réveilla. Dépouillée de sa couverture par le vent, elle courait la rattraper dans les fourrés quand elle entendit des voix.

Pelotonnés autour des braises du feu de camp, Tom, Lim et Barbeverte causaient avec un minuscule bout de femme qui, beaucoup plus petite qu’elle-même et beaucoup plus vieille que Vieille Nan, s’appuyait, toute tordue, crochue, ridée, parcheminée, sur une canne noueuse et noire. D’une longueur démesurée, ses cheveux blancs balayaient quasiment le sol et, à chaque rafale, lui environnaient la tête d’extravagantes nuées. Encore plus blanche était, d’une blancheur de lait, sa chair, et elle semblait avoir, pour autant qu’on en pût juger du fond des taillis, des prunelles rouges. « Les anciens dieux s’agitent et m’interdisent tout sommeil, entendit Arya. J’ai vu en songe une ombre où un cœur ardent massacrait un cerf d’or, ouais. J’ai rêvé d’un homme sans visage, attendant sur un pont qui roulait et tanguait. Sur son épaule était perché un corbeau noyé, les ailes tout engluées d’algues. J’ai rêvé d’une rivière rugissante et d’une femme qui était un poisson. Morte, elle dérivait, des larmes rouges au long des joues, mais, lorsque ses yeux s’ouvrirent, ah…, je me réveillai, terrifiée. Tout ça, je l’ai rêvé, et mille autres choses. Avez-vous des présents pour payer mes rêves ?

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