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George Martin: L'Épée de feu

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George Martin L'Épée de feu
  • Название:
    L'Épée de feu
  • Автор:
  • Издательство:
    Pygmalion
  • Жанр:
  • Год:
    2002
  • Город:
    Paris
  • Язык:
    Французский
  • ISBN:
    2-85704-750-9
  • Рейтинг книги:
    5 / 5
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L'Épée de feu: краткое содержание, описание и аннотация

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George R.R. Martin continue à nous entraîner dans un monde fabuleux où les familles de ses héros se ramifient au cœur de régions plus mystérieuses les unes que les autres : grottes, collines creuses, hameau de feuilles, forteresses imprenables. Odieuses mutilations, drames sanglants, mariages imposés, traîtrises sans vergogne, vengeances cruelles et longuement mûries, équipées punitives se succèdent dans ses pages où défile un ensemble jamais vu de créatures fantastiques et inoubliables : dragons, eunuques, vipères, sorcières et sauvageons. Leurs apparences sont souvent trompeuses et toujours bonnes à désarçonner leurs adversaires.      Rien n’arrête l’imagination foisonnante de George R.R. Martin qui poursuit là l’un des cycles romanesques et visionnaires les plus originaux de notre temps.

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— Donnez-moi l’épée, Régicide.

— Oh, volontiers.» Debout d’un bond, il se rua sur elle, et l’épée vivait dans ses mains. Brienne fit un saut en arrière tout en contrant, mais il poursuivit en pressant l’assaut. A peine détournait-elle une estocade que la suivante lui fondait dessus. Les épées ne s’étreignaient que pour dénouer leur étreinte et s’étreindre à nouveau. A tue-tête chantait le sang de Jaime. C’est pour cela qu’il était fait ; jamais il ne se sentait exister aussi vivement que lorsqu’il se battait, en équilibre à chaque coup sur le fil de mort. Et, grâce aux entraves de mes poignets, la gueuse est peut-être à même de me tenir tête un moment. Si ses chaînes l’obligeaient à ferrailler à deux mains, la portée comme le poids d’un véritable estramaçon eussent été bien sûr tout autres, mais qu’importait ? L’épée du cousin serait toujours assez longuette, allez, pour sceller le sort de cette Brienne de Torth.

D’en haut, d’en bas, de biais, il faisait grêler l’acier sur elle. Par la gauche, la droite, à revers, en un tourbillon si violent que la rencontre des épées faisait jaillir des étincelles, vers le haut, le flanc, la tête, il attaquait sans trêve, s’insinuait dans les défenses, pas et taille, estoc et pas, pas et estoc, moulinet, taille, et plus vite, toujours plus vite, de plus en plus vite…

… avant de prendre, hors d’haleine, un peu de recul et, pointe de l’épée reposant à terre, de concéder à l’adversaire un instant de répit. « Pas si mal, reconnut-il. Pour une fillette. »

Tout en s’emplissant les poumons, posément, elle le scruta d’un œil circonspect. « Je ne voudrais pas vous blesser, Régicide.

— Comme si vous le pouviez. » Il fit à nouveau virevolter l’épée par-dessus sa tête et, cliquetant de toutes ses chaînes, se précipita de nouveau sur Brienne.

Pendant combien de temps il la harcela, voilà ce qu’il n’eût su dire. Cela pouvait avoir duré des minutes ou duré des heures ; dès que s’éveillaient les épées s’endormait le temps. Il l’écarta du cadavre du cousin Cleos, lui fit franchir la route et la refoula sous les arbres. En la voyant trébucher par mégarde contre une racine, il crut une seconde toucher au but, mais elle ne mit qu’un genou en terre au lieu de s’aplatir, et sans, loin de là, perdre la cadence, car après avoir bondi pour bloquer la volée qui devait la fendre de l’épaule à l’aine, son épée l’agressa, lui , tailla, tailla, tailla, cependant que chacun des coups lui permettait de se relever progressivement.

Et leur ballet de se prolonger. Jaime l’accula contre un chêne et poussa un juron lorsqu’elle réussit à se dérober, la poursuivit au travers d’un ruisseau creux presque engorgé de feuilles mortes. Sonnait l’acier, sonnait l’acier, l’acier piaulait, raclait, jetait des étincelles, et chaque nouvel assaut avait beau désormais lui arracher des couinements de truie, toujours la gueuse se débrouillait pour demeurer hors d’atteinte. On l’aurait dite enclose dans une cage de fer qui la préservait inexorablement.

« Pas mal du tout, lâcha-t-il, s’interrompant un instant pour reprendre haleine tout en la contournant par la droite.

— Pour une fillette ?

— Pour un écuyer, disons. Du genre bleu. » Il éclata d’un rire entrecoupé, haletant. « Viens çà, ma chérie, viens çà, la musique n’est pas terminée. Daigneriez-vous m’accorder cette contredanse, madame ? »

Avec un grognement, elle avança sur lui, lame tournoyante, et, subitement, ce fut à lui de défendre sa peau. N’en résulta pas moins une estafilade au front qui lui ensanglanta l’œil droit. Les Autres l’emportent, elle et Vivesaigues ! Sa dextérité s’était gâtée, aillée dans leurs maudites oubliettes, et ses chaînes n’amélioraient rien. Eborgné par l’hémorragie, il sentait l’ankylose des contrecoups gagner ses épaules, et la pesanteur des fers, des menottes et de l’épée lui endolorir les poignets. Chacune des passes alourdissait sa rapière, et il avait conscience de la manier avec moins de prestesse qu’auparavant, de ne plus la brandir aussi vigoureusement.

Elle est plus forte que moi.

Ce constat le glaça. Que Robert l’eût surclassé ne faisait aucun doute. Ainsi que le Taureau Blanc, Gerold Hightower, en son bel âge, et ser Arthur Dayne. Parmi les vivants, Lard-Jon Omble, puis le Sanglier de Crakehall très probablement, les deux Clegane, à évidence, enfin. Les ressources physiques de la Montagne étaient quasiment inhumaines. Mais quelle importance ? Il était néanmoins capable de les battre tous, à force d’adresse et de rapidité. Et il butait là devant quoi ? devant une bonne femme ! Une grosse vache, oh ça, oui, de bonne femme, et cependant… mais c’est elle qui, normalement, aurait dû s’épuiser…

Au lieu de quoi voilà qu’elle le ramenait de vive force dans le ruisseau, gueulant : « Rendez-vous ! Mettez bas l’épée ! »

Un galet glissant se déroba sous le pied de Jaime qui, se sentant tomber, dévoya la mésaventure en botte plongeante. Sa pointe érafla le contre et mordit Brienne en haut de la cuisse. En un éclair, il savoura la fleur pourpre qui s’y épanouissait, et puis la douleur l’aveugla, son genou venait de heurter de plein fouet la rocaille. Brienne lui fonça dedans et, d’un coup de pied, le délesta de son épée. « RENDEZ-VOUS ! »

Il lui inséra une épaule entre les jambes et la fit s’écrouler sur lui. Ils roulèrent emmêlés, tout ruades et coups de poing, mais elle finit par le chevaucher à califourchon. Il réussit vaille que vaille à lui arracher sa dague du fourreau, mais il n’eut pas le loisir de la lui plonger dans les tripes que, le saisissant au poignet, elle lui martelait si violemment les mains contre le rocher qu’il eut l’impression qu’elle lui avait déboîté un bras. Elle lui plaqua ses cinq doigts libres sur la figure. « Rendez-vous ! » Elle lui enfonça la tête sous l’eau, l’y maintint, l’en retira. « Rendez-vous ! » Il lui cracha en pleine face une gorgée d’eau. Une poussée, plouf ! il se retrouva immergé, ruant sans fruit, se débattant pour respirer. Nouvelle émersion. « Vous vous rendez, ou je vous noie !

— En vous parjurant ? riposta-t-il, hargneux. Comme moi ? »

Elle le lâcha et, plouf ! il retomba dans une gerbe d’éclaboussures.

Et les bois retentirent de rires gras.

Brienne se releva d’un bond, débraillée, rubiconde et crottée jusqu’à la taille de boue sanguinolente. Comme si l’on nous avait surpris en train non de nous battre mais de baiser. A quatre pattes et tout en épongeant de ses mains enchaînées le sang qui l’éborgnait, Jaime gagna tant bien que mal les rochers du bord. Des hommes en armes occupaient les deux rives. Pas étonnant, nous faisions un boucan à réveiller même un dragon. « Salut, les amis ! leur lança-t-il d’un ton jovial. Vous m’excuserez pour le dérangement. J’étais juste en train de châtier ma femme, vous voyez.

— M’a semblé, moi, que l’ châtiment, c’est plutôt elle qui l’administrait. » Massif et puissant, le type qui venait de parler portait un demi-heaume à nasal de fer masquant imparfaitement que le nez manquait.

Ce n’étaient pas là, comprit brusquement Jaime, les bandits qui avaient tué ser Cleos, mais l’écume de la terre : Dorniens basanés, Lysiens blonds, Dothrakis à tresse tintinnabulante, Ibbénins velus, Nègres charbonneux des îles d’Eté en manteaux de plumes. Il les connaissait. Les Braves Compaings.

Brienne recouvra la voix. « J’ai une centaine de cerfs… »

Un faciès de cadavre en manteau de cuir loqueteux la coupa : « On s’prendra ça pour commencer, m’dame.

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