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George Martin: La Loi du régicide

Здесь есть возможность читать онлайн «George Martin: La Loi du régicide» весь текст электронной книги совершенно бесплатно (целиком полную версию). В некоторых случаях присутствует краткое содержание. Город: Paris, год выпуска: 2003, ISBN: 2-85704-798-3, издательство: Pygmalion, категория: Фэнтези / на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале. Библиотека «Либ Кат» — LibCat.ru создана для любителей полистать хорошую книжку и предлагает широкий выбор жанров:

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George Martin La Loi du régicide
  • Название:
    La Loi du régicide
  • Автор:
  • Издательство:
    Pygmalion
  • Жанр:
  • Год:
    2003
  • Город:
    Paris
  • Язык:
    Французский
  • ISBN:
    2-85704-798-3
  • Рейтинг книги:
    5 / 5
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La Loi du régicide: краткое содержание, описание и аннотация

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Avec la disparition de Robb Stark, le royaume du Nord, déjà amputé par l’occupation des Fer-nés, miné par les trahisons sournoises de Roose Bolton, quasiment réduit au Conflans que contrôlent de plus en plus les Frey félons, en jouant sur les vieilles querelles locales, et au détriment de Vivesaigues, assiégé et promis à l’un des leurs, n’est plus guère qu’un héroïque souvenir. Ainsi les Lannister semblent-ils assurés de triompher. Les jours de l’unique prétendant légitime au Trône de Fer, Stannis Baratheon, réfugié sur sa malheureuse île de Peyredragon, sont comptés. Mais c’est oublier les haines séculaires, internes et externes, qui l’entourent et peuvent tout remettre en question. Avec ce neuvième volume du , George R.R. Martin achève le premier cycle d’une œuvre qui, désormais célèbre dans le monde entier, l’impose comme l’un des tout premiers écrivains d’Heroïc Fantasy.

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Ser Balon Swann trouva la demi-seconde que dura l’hésitation du garçon suffisamment longue pour intervenir. « Faites-en comme vous l’ordonne le lord Commandant, Loras. » Certains manteaux d’or s’étant alors mêlés de mettre l’acier au clair, des types de Fort-Terreur les imitèrent instantanément. Splendide, songea Jaime, à peine démonté-je, et voilà que la cour s’apprête à barboter dans le sang.

Ser Loras Tyrell remit violemment l’épée au fourreau.

« Ce n’était pas tellement difficile, si ?

— J’exige son arrestation. » Ser Loras brandit l’index. « Lady Brienne, je vous accuse du meurtre de lord Renly Baratheon.

— De l’honneur, dit Jaime, la fillette en a, quelque valeur qu’il ait. En tout cas plus que je ne vous en ai vu jusqu’ici. Et il se peut même qu’elle dise la vérité. Elle a beau ne pas précisément briller, je vous l’accorde, par ce qui s’appelle l’intelligence, même mon cheval saurait nous fourguer un meilleur mensonge, si tant est qu’elle ait prétendu mentir. Mais puisque vous insistez…, soit. Ser Balon, veuillez mener lady Brienne dans une cellule de tour où elle se trouvera sous bonne garde. Et procurez des quartiers convenables à Jarret-d’acier et à ses hommes jusqu’à ce que mon père ait un moment de loisir à leur consacrer.

— Bien, messire. »

Un air affreusement blessé se lisait dans les grands yeux bleus de Brienne lorsque l’emmenèrent Balon Swann et une douzaine de manteaux d’or. Mais pourquoi diable fallait-il toujours que l’on se méprenne sur chacun des putains de gestes qu’il faisait ? Aerys. C’est d’Aerys que tout procède. Tournant carrément le dos à la gueuse, Jaime s’éloigna à grandes enjambées.

Un autre chevalier en armure blanche gardait les portes du septuaire royal – un grand pendard à barbe noire, larges épaules et nez crochu. La vue de Jaime lui fit grimacer un rictus et dire : « Et où c’est-y que tu comptes aller, comme ça, toi ?

— Dans le septuaire. » Il brandit son moignon pour montrer. « Celui qui est juste là derrière. Je veux voir la reine.

— Sa Grâce est dans le deuil. Puis pour quoi faire qu’elle aurait envie de voir un de tes pareils ? »

Parce que je suis son amant, et en plus le père de son fils assassiné, fut-il tenté de répondre. « Qui êtes-vous donc, par les sept enfers ?

— Un chevalier de la garde Royale, et tu ferais bien d’apprendre un peu le respect, l’estropié ! ou c’est l’autre main, moi, que je t’aurai, que t’aies plus qu’à la laper, ta bouillie d’avoine du matin…

— Je suis le frère de la reine, ser. »

Le chevalier blanc trouva celle-là bien bonne. « Evadé, que t’es ? Et grandi d’un coup, m’sire, aussi ?

— Son autre frère, abruti. Et le lord Commandant de la Garde. Et, maintenant, tu te gares, ou il t’en cuira. »

L’abruti se fit du coup plus attentif. « C’est-y que vous… ? Ser Jaime. » Il rectifia la position. « Mille pardons, messire. Je ne vous avais pas reconnu. J’ai l’honneur d’être ser Osmund Potaunoir. »

L’honneur en quoi ? « J’entends avoir un moment d’entretien seul à seul avec ma sœur. Veillez à ce que personne d’autre ne pénètre dans le septuaire, ser. Laissez-nous déranger, et j’aurai votre foutue tête.

— Ouais, ser. A vos ordres, ser. » Ser Osmund lui ouvrit la porte.

Cersei se tenait agenouillée devant l’autel de la Mère. On avait déposé la bière de Joffrey aux pieds de l’Etranger, censé conduire en l’autre monde les nouveau-morts. Le parfum de l’encens saturait l’atmosphère, et cent cierges ardents proféraient cent prières. Risque aussi de n’être pas de trop pour Joff…

Sa sœur jeta un coup d’œil par-dessus l’épaule. « Qui ? » dit-elle, puis « Jaime ? ». Elle se leva, les yeux pleins de larmes. « Est-ce vraiment toi ? » Sans aller vers lui, toutefois. Elle n’est jamais venue à moi, songea-t-il. Elle a toujours attendu que j’aille vers elle, moi. Prête à donner, mais à condition que je la sollicite. « Tu aurais dû arriver plus tôt, murmura-t-elle lorsqu’il la prit dans ses bras. Pourquoi ne t’a-t-il pas été possible d’arriver plus tôt pour le préserver ? Mon fils… »

Notre fils. « J’ai fait le plus vite que j’ai pu. » Il se dégagea de l’étreinte, recula d’un pas. « C’est la guerre, là dehors, ma sœur.

— Ce que tu peux avoir l’air maigre. Et tes cheveux, tes cheveux d’or…

— Les cheveux repousseront. » Il leva son moignon. Il faut qu’elle voie. « Ça, non. »

Elle fit les grands yeux. « Les Stark…

— Non. L’ouvrage de Varshé Hèvre. »

Le nom ne lui disait manifestement rien. « Qui ça ?

— La Chèvre d’Harrenhal. Peu de temps. »

Cersei se détourna pour contempler la bière de Joffrey. On avait revêtu la dépouille d’une armure dorée singulièrement analogue à celle de Jaime. La visière du heaume était abaissée, mais les flammes des cierges se reflétaient si doucement dans la dorure que le petit mort se trouvait comme auréolé de bravoure. Elles faisaient également étinceler, chatoyer les rubis qui constellaient le corsage de la robe de deuil. Les cheveux de Cersei flottaient sur ses épaules, hirsutes et sans soin. « Il l’a tué, Jaime. Exactement comme il m’en avait prévenue. Disant qu’il se débrouillerait, un jour où je me croirais heureuse et en sûreté, pour que je sente brusquement ma joie prendre un goût de cendre.

— Tyrion a dit ça ? » Jaime répugnait plus que jamais à croire une chose pareille. Le crime de parricide était encore pire que celui de régicide, au regard des dieux et des hommes. Il savait que c’était mon fils. Et il savait que je l’aimais, lui. Que j’ai toujours été bon pour lui. Enfin, sauf la fois où…, mais ça, justement, le Lutin ne le savait pas. Ou il l’aurait su ? « Pourquoi aurait-il voulu tuer Joff ?

— A cause d’une putain. » Elle lui prit sa main valide et la serra de toutes ses forces. « Il m’avait dit qu’il le ferait. Joffrey le savait. Même qu’au cours de son agonie il a pointé l’index sur son meurtrier. Sur notre petit monstre contrefait de frère. » Elle embrassa les doigts de Jaime. « Tu vas le tuer pour moi, n’est-ce pas ? Tu vas venger notre fils, hein ? »

Il se libéra. « Il demeure néanmoins mon frère. » Il lui brandit son moignon sous le nez, au cas où elle ne l’aurait toujours pas vu. « Et je ne suis pas en état de trucider quiconque.

— Tu as une autre main, non ? Et ce n’est quand même pas le Limier que je te demande de terrasser…, c’est un nain, claquemuré dans un cachot ! Les gardes iraient voir ailleurs si tu n’y es pas… »

L’idée lui souleva l’estomac. « Il me faut m’informer plus avant sur toute cette histoire. Sur la façon dont les choses se sont réellement passées.

— Tu le sauras, promit-elle. Il doit y avoir un procès. Une fois au courant de tout ce qu’il a fait, tu souhaiteras sa mort aussi fort que moi. » Elle lui toucha la figure. « J’étais perdue, Jaime, sans toi. J’avais peur que les Stark ne m’envoient ta tête. Je n’aurais pas pu supporter cela. » Elle l’embrassa. D’un baiser léger, furtif, par lequel ses lèvres n’avaient fait qu’effleurer les siennes, mais il la sentit toute tremblante quand il l’enlaça. « Sans toi, je n’étais pas entière. »

Il n’y avait aucune tendresse dans le baiser qu’il lui retourna, il n’y avait rien d’autre que de la faim. Elle s’ouvrit pour accueillir sa langue. « Non, protesta-t-elle d’une voix mourante en sentant sa bouche glisser le long de son cou, pas ici. Les septons…

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