Margaret Weis - Dragons d'un crépuscule d'automne

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Dragons d'un crépuscule d'automne: краткое содержание, описание и аннотация

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Les dragons vont-ils rayer Krynn de la carte ? D’urgence, une poignée de braves de réunissent sous le commandement de Tanis le demi-elfe : Caramon le guerrier, Raistlin le sorcier — son frère jumeau —, Sturm le chevalier, Flint Forgefeu le nain, Tass Racle-Pieds le kender : des noms qui resteront dans la mémoire ! Leur mission ? Ramener aux hommes le secret de l’antique Lancedragon, la seule arme capable de terrasser les monstres cracheurs de feu. Pour que s’épanouissent tous les êtres de bonne volonté.

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— Nous ne pouvons pas tout faire ! répliqua froidement Gilthanas. Vous avez des magiciens… !

— Je ne peux rien sans mes accessoires, siffla Raistlin. Baisse-toi, vieillard ! dit-il à Fizban qui avait dressé l’oreille et les regardait d’un air intéressé.

— Je peux peut-être faire quelque chose, dit-il, les yeux brillants. Dites-moi donc…

— Nous attaqués ! cria Sestun en rampant sous le chariot.

Toede arriva au galop.

— Nous sommes attaqués par les elfes ! Ils tentent de libérer les prisonniers ! vociféra-t-il. Nous sommes encerclés ! Je vais faire mon rapport au seigneur Verminaar ! Tout le monde vers le nord ! Vous, les draconiens, occupez-vous des prisonniers !

Il repartit aussi vite.

— Au moins, nous n’aurons pas les gobelins sur le dos ! dit Sturm avec un sourire. Mais il doit rester une trentaine de draconiens, et je ne pense pas que les elfes soient venus par centaines, n’est-ce pas ?

Gilthanas secoua la tête.

— Une vingtaine, tout au plus…

— Il faut filer en vitesse, dit Tanis. Les draconiens ne s’embarrasseront pas de prisonniers, maintenant que les gobelins se sont enfuis. Ils nous massacreront dans ces cages.

Le kender n’y tint plus.

— Sestun ! Prends ta hache et brise la serrure ! cria-t-il.

Le nain des ravins écarquilla les yeux, ne sachant à quel saint se vouer. Ses maîtres gobelins étaient partis sans lui. Une flèche frôla le kender, annonçant l’arrivée des premiers draconiens. Ils commençaient à tirer sur les cages.

— Sestun ! reprit Tass. Si tu nous aides, tu pourras venir avec nous !

Le nain prit son élan et abattit sa vieille hachette d’avant le Cataclysme sur la serrure de la cage.

— Il n’a fait qu’émousser le tranchant ! enragea Sturm. Dans trois jours, nous y serons encore !

Les prisonniers des autres chariots s’étaient libérés et avaient filé dans le bois. Après avoir couvert leur retraite, les elfes restèrent cachés derrière les arbres.

Les draconiens n’avaient nullement l’intention de les poursuivre. Ils reportèrent leurs efforts sur le dernier chariot et le fourgon qui contenait les bagages des compagnons.

Fizban se pencha vers Raistlin pour lui parler.

— Dis-moi, mon garçon, s’enquit le vieillard, une flèche sifflant au-dessus de sa tête, aurais-tu encore un peu de fiente de chauve-souris ? J’en suis à court.

— Non, je n’en ai pas. Baisse-toi !

— Quel dommage ! Bon, je me débrouillerai sans.

Le vieux magicien se campa sur ses jambes et releva ses manches. Les yeux fermés, il se mit à psalmodier des mots étranges, un doigt pointé sur la serrure.

— Écartez-vous ! cria Raistlin en se jetant sous un banc.

Les draconiens, qui arrivaient près de la cage, restèrent bouche bée.

Une énorme boule de feu orangée jaillit des mains du magicien et vint frapper la grille. L’air s’emplit d’une odeur de chair brûlée. Tanis se précipita pour voir ce qu’il restait du vieux fou, s’attendant à le trouver carbonisé. Les draconiens avaient été réduits à un tas de braises fumantes. Le sol de la cage avait pris feu, et les barreaux étaient incandescents. Impossible de les toucher pour ouvrir la porte.

Sestun tituba en abattant sa hache, manqua la serrure, puis recommença. Enfin, l’acier céda et la porte s’ouvrit.

— Tanis, aide-nous ! cria Lunedor.

Avec Rivebise, elle essayait de tirer Théros de son grabat, qui disparaissait dans un nuage de fumée.

Tanis les aida à le sortir de la cage, tandis que Caramon, Raistlin et Tika rattrapaient au vol Fizban, qui s’était jeté dans le vide.

— Caramon et Sturm, allez chercher nos armes ! ordonna Tanis. Flint et Tass, récupérez les bagages. Gilthanas…

— Je n’ai pas d’ordre à recevoir de toi, Tanthalas ! répliqua l’elfe en marchant à grands pas vers le bois, où il disparut.

Sturm et Caramon revinrent en même temps qu’une demi-douzaine de draconiens. Les deux guerriers en mirent rapidement deux hors de combat. Ils avaient tout de suite remarqué que leurs poursuivants étaient différents des autres créatures. Ils comprirent vite pourquoi. Les cadavres des draconiens fondirent, leur chair se mettant à grésiller en dégageant une vapeur jaunâtre. La tête des deux compagnons tourna ; ils se plaquèrent une main devant la bouche, sûrs d’être empoisonnés.

— Tout le monde dans la forêt ! cria Tanis.

Les deux guerriers s’enfuirent sous une pluie de flèches.

Hai ! Ulsain ! cria une voix claire.

Sous la conduite de Gilthanas, dix elfes sortirent du bois et couvrirent leur retraite.

— Suivez-moi ! ordonna Gilthanas aux compagnons.

Quatre elfes soulevèrent Théros et l’emportèrent sous les arbres. Tanis se retourna vers la cage, réduite à un tas de cendres et de barreaux tordus. Les draconiens ne les poursuivirent pas. Ils regardaient la forêt d’un air méfiant.

— Ils ne commettront pas l’erreur de nous suivre, dit Gilthanas avec un sourire entendu.

Bientôt, les derniers bruits de la caravane se perdirent dans le lointain. Heureux de se dégourdir les jambes, les compagnons suivirent Gilthanas jusqu’à une vaste clairière où des prisonniers s’étaient rassemblés. Un homme particulièrement grand et fort leur parlait d’un air grave et d’une voix glaciale.

— Vous êtes libres de partir, bien que personne n’ait le droit de fouler le sol de ce pays. D’après ce que nous savons, les régions au sud de Pax Tharkas n’ont pas été envahies par le seigneur des Dragons. Vous pouvez prendre la direction du sud-est et couvrir le plus de distance possible jusqu’à la tombée de la nuit. Vous aurez des vivres. C’est tout ce que nous pouvons faire pour vous.

Les réfugiés de Solace, étonnés de leur nouvelle liberté, se regardèrent, désemparés. Ils avaient tout perdu. Hantés par les histoires d’elfes et de dragons, ils ne savaient où aller pour y échapper.

Les yeux clairs de Lunedor étincelèrent. Elle comprenait ce qu’ils ressentaient.

— Pourquoi les traites-tu avec tant de cruauté ? dit-elle au grand elfe. Regarde ces gens : ils n’ont jamais quitté Solace et tu leur demandes de traverser un pays où l’ennemi règne en tyran…

— Que voudrais-tu que je fasse ? Que je les conduise ? Nous les avons libérés, et les elfes ont leurs propres problèmes. Ils n’ont pas à s’occuper de ceux des hommes. Prenez garde, le temps presse ! Mettez-vous en route !

Un par un, les réfugiés, l’air hagard, se dirigèrent vers le sentier. Lunedor se campa devant Porthios et le toisa.

— Comment peux-tu rester indifférent au sort de ces…

— Humains ? Ce sont les hommes qui ont attiré le Cataclysme sur nos têtes. Ils ont eu la prétention d’exiger des dieux ce qui avait été accordé à Huma en toute humilité. Par leur faute, les dieux se sont détournés de nous…

— Ce n’est pas vrai ! cria Lunedor. Les dieux sont parmi nous !

Porthios, fou de colère, allait tourner les talons. Mais Gilthanas le rejoignit et lui dit quelques mots dans le langage des elfes.

— Qu’est-ce qu’il raconte ? demanda Rivebise, soupçonneux.

— Gilthanas explique que Lunedor a guéri Théros, répondit Tanis.

Les deux frères se tournèrent vers le demi-elfe et le fixèrent sévèrement. Tanis supporta leurs regards sans broncher.

— Te voilà revenu dans ton pays natal, dit Rivebise, mais on dirait que tu n’es pas le bienvenu.

— C’est vrai, répondit Tanis, qui sentait la précarité de leur situation. Ils veulent nous emmener à Qualinost, continua-t-il comme à regret. Je ne suis pas venu par ici depuis des années. Comme Flint pourra te le confirmer, ils ne m’ont pas rejeté, mais ils n’étaient pas fâchés de me voir partir. Tu m’as dit un jour, Rivebise, que pour les hommes j’étais un demi-elfe. Eh bien pour les elfes, je suis un demi-homme.

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