Margaret Weis - Dragons d'un crépuscule d'automne

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Dragons d'un crépuscule d'automne: краткое содержание, описание и аннотация

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Les dragons vont-ils rayer Krynn de la carte ? D’urgence, une poignée de braves de réunissent sous le commandement de Tanis le demi-elfe : Caramon le guerrier, Raistlin le sorcier — son frère jumeau —, Sturm le chevalier, Flint Forgefeu le nain, Tass Racle-Pieds le kender : des noms qui resteront dans la mémoire ! Leur mission ? Ramener aux hommes le secret de l’antique Lancedragon, la seule arme capable de terrasser les monstres cracheurs de feu. Pour que s’épanouissent tous les êtres de bonne volonté.

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— Toi, tu resteras auprès de Rivebise et de Tanis, répondit Sturm. Caramon et moi, nous nous débrouillerons.

— Moi aussi, murmura Raistlin. Je maîtrise à nouveau mes pouvoirs, je me servirai de mes sorts.

Ils aperçurent enfin la marmite du monte-charge. Il fallait s’y attendre, il y avait des draconiens tout autour. Heureusement, comme l’avait espéré Sturm, ils se bagarraient entre eux pour monter dans le chaudron. Leur panique fut décuplée par l’irruption des geysers qui jaillirent sous leurs pieds. La cité de Xak Tsaroth reposerait bientôt dans le fond du Nouvel Océan.

Lorsque la marmite atteignit le sol, les nains en sortirent et s’enfuirent en courant. Les draconiens s’y entassèrent en se poussant à qui mieux mieux.

Sturm décida que le moment était venu d’attaquer les gardes.

— On y va ! cria-t-il.

— Ôtes-toi de mon chemin ! siffla le mage.

Il prit une poignée de sable dans sa poche et l’égrena en murmurant « Ask taserak sinularan koinaw ». Ses mains décrivirent un arc de cercle en direction des draconiens. Les uns après les autres, ils titubèrent et s’effondrèrent sur le sol, écrasés de sommeil.

— À l’assaut de ce damné chaudron ! cria Sturm. Nous reviendrons chercher Tanis après le combat.

Le cri de guerre du chevalier fit se retourner comme un seul homme les draconiens qui restaient.

Alors Rivebise se réveilla. Les bruits du combat l’avait tiré de la torpeur du désespoir. Son expression dénuée de vie fit place à une férocité de fauve aux abois. Boupou, terrifiée, alla se cacher dans un coin en hurlant. Rivebise chargea à main nue. Il se rua sur les draconiens comme une panthère assoiffée de sang, animé du seul désir de tuer. Il cassa, cogna, tordit, lacéra les draconiens, sans pouvoirs devant un homme devenu fou que rien n’arrêterait. Ils voyaient leur mort dans ses yeux, et leurs armes ne pouvaient rien contre lui.

Quand Sturm se retourna, les draconiens avaient disparu dans le brouillard. Rivebise, couvert de sang, s’affaissa sur le sol.

— Le monte-charge ! cria le mage en montrant du doigt la marmite, qui s’élevait à peine au-dessus du sol.

Celle qui descendait était remplie de nains des ravins.

— Retenez-la ! cria Sturm.

Tass bondit de sa cachette et s’accrocha au bord de l’ustensile pour interrompre son ascension.

— Caramon ! Pends-toi à cette maudite marmite ! Je vais chercher Tanis.

— Je peux la retenir, mais pas très longtemps, grommela le géant, tandis que le kender sautait dedans pour la lester.

Sturm et Flint ramenèrent le demi-elfe, encore inconscient, et le déposèrent dans le chaudron. Puis ils retournèrent chercher Rivebise. Ils durent puiser dans leurs ultimes ressources pour hisser à bord le corps ensanglanté du barbare.

— Dépêchez-vous ! tonna Caramon, hors d’haleine.

En dépit de ses efforts, le chaudron commençait à se soulever.

— Monte ! ordonna Sturm à Raistlin.

Le mage lui lança un regard dédaigneux et disparut dans l’ombre. Il réapparut aussitôt, portant Boupou dans ses bras. Le chevalier empoigna la naine terrorisée et la jeta au fond de la marmite, où elle resta terrée contre son sac en gémissant. Raistlin monta à son tour, mais malgré leur poids, le chaudron continua de s’élever, écartelant Caramon.

— À toi, maintenant ! ordonna Sturm.

Dès que Caramon fut monté à bord, la marmite s’éleva rapidement dans la brume.

Le chevalier s’agenouilla près de Tanis. Son visage refléta un profond soulagement quand il entendit le demi-elfe pousser un gémissement.

— Tu ne peux pas savoir comme je suis heureux que tu sois revenu à toi ! dit-il d’une voix enrouée.

— Rivebise…, murmura Tanis d’une voix éteinte.

— Il est là. Il t’a sauvé la vie. Il nous a sauvé la vie à tous. (Il annonça de façon saccadée :) Nous sommes dans le monte-charge. Nous montons mais la ville est détruite. Où as-tu mal ?

— Des côtes cassées, on dirait. (Grimaçant de douleur, il chercha des yeux Rivebise, encore conscient malgré ses blessures.) J’ai regardé mourir Lunedor sans rien pouvoir faire, Sturm.

— Nous avons les Anneaux, répondit Sturm d’un ton ferme. C’est ce qu’elle désirait, ce pour quoi elle s’est battue. Ils sont dans mon sac. Tu es sûr de pouvoir tenir debout ?

— Oui. Nous avons les Anneaux, les dieux seuls savent pour quel usage…

Des cris aigus les interrompirent. Les nains des ravins entassés dans le chaudron qui descendait leurs montrèrent le poing en les couvrant d’injures. Boupou éclata de rire.

Soudain il y eut une violente secousse. La marmite redescendit légèrement, puis s’arrêta, tremblant sur place. Elle repartit sans que les compagnons sachent pourquoi. Ils se regardèrent d’un air angoissé.

— Le mécanisme…

— … Est en train de lâcher, ou bien les draconiens nous ont repérés et le sabotent, acheva Tanis.

— Là, on ne peut vraiment rien y faire, bougonna Sturm, rongé d’inquiétude. À part prier les dieux…

Le chaudron fit une embardée, et s’arrêta de nouveau. Chacun priait intérieurement pour que la chaîne résistât. Pendant un temps qui leur parut une éternité, la marmite balança de gauche à droite. Puis elle repartit dans les hauteurs.

Quelques instants plus tard, elle arriva à la surface.

22

Le cadeau de Boupou. Une perspective lourde de menaces.

Ils s’apprêtaient à descendre Rivebise du monte-charge, quand une violente secousse ébranla la Salle des Ancêtres. Les compagnons réintégrèrent le chaudron à toute vitesse. Le sol s’effondra, entraînant avec lui dans le vide la grande roue du treuil et les ustensiles géants.

— La place entière va disparaître ! cria Caramon, qui prit son frère dans ses bras.

— Vite ! Courons au temple de Mishakal, dit Tanis, que la douleur laissait à peine respirer.

— Compterais-tu à nouveau sur les dieux ? lança Flint.

Sturm voulut aider Rivebise, mais celui-ci secoua la tête et le repoussa fermement.

— Je ne suis pas gravement blessé. Je peux me débrouiller. Laisse-moi seul.

Perplexe, Tanis consulta Sturm du regard. Le chevalier haussa les épaules. Les Chevaliers Solamniques tenaient le suicide pour un acte noble. Les elfes le voyaient comme un blasphème.

Le demi-elfe se pencha sur le barbare. Il le saisit par sa longue crinière noire et lui releva la tête. Ils s’affrontèrent, les yeux dans les yeux.

— Vas-y ! Couche-toi par terre et meurs ! dit Tanis, les dents serrées. Quelle honte pour Lunedor ! Elle, au moins, a eu le courage de se battre !

L’œil de Rivebise s’embrasa. Il attrapa Tanis par le bras et le jeta contre le mur. Puis il tourna les talons et disparut dans un corridor.

Sturm aida le demi-elfe à se relever ; ils allèrent retrouver les autres. Tanis, taraudé de douleur, crut s’évanouir. Au pied de l’escalier que le mage appelait Chemin de la Mort, le kender les attendait.

— Les autres sont partis pour le temple, annonça Tass. Caramon m’a demandé de vous attendre. Flint dit que le bâtiment est solide, parce qu’il a été construit par des nains. Raistlin a repris ses esprits. Il prétend que dans le temple on est en sécurité, « comme dans la main de la déesse », a-t-il marmonné, ou quelque chose comme ça. Rivebise est là-bas. Il m’a regardé d’un sale œil. J’ai cru qu’il allait me tuer ! Mais il a réussi à monter l’escalier…

— Assez ! C’est bon, Tass, dit Tanis pour couper court au babil du kender. Sturm, dépose-moi, s’il te plaît. Il faut que je m’arrête une minute ou je vais crever. Emmène Tass, je vous retrouverai en haut de l’escalier. Allez-y, grands dieux !

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