Margaret Weis - Dragons d'une nuit d'hiver

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Dragons d'une nuit d'hiver: краткое содержание, описание и аннотация

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Ce soir, ces sont les rêves de l’humanité que l’ombre menace d’engloutir à jamais. Les dragons avancent en terre de Krynn, semant la désolation et la mort. Usés par les périls, cernés par le mal qui rôde, les compagnons de Tanis ont perdu leur superbe. Il va falloir se séparer. Les coeurs sont lourds, le désarroi s’installe. D'autant que Tanis, leur Étoile du Berger, a rencontré un ennemi, le plus redoutable de tous : l’amour. Pour reprendre le flambeau, devra-t-il renoncer à sa flamme ?

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— Regarde ! s’exclama l’une. Ce sont eux. Il n’en manque pas un.

— Tous ne correspondent pas au signalement que nous avons reçu, répondit l’autre.

— Mais il y a le demi-elfe, le nain et le chevalier. Je te dis que ce sont eux ! Je sais où sont les autres j’ai interrogé un garde.

— Tu as peut-être raison. Nous devrions aller avertir tout de suite le maître.

— Il faudrait suivre les prisonniers ! Ils vont certainement tenter de s’échapper.

— Bien sûr, qu’ils vont essayer ! Et nous savons où ils iront : ils rejoindront leurs amis, à l’auberge. De toute façon, dans quelques heures, tout cela n’aura plus d’importance…

La neige commençait à tomber quand les compagnons, sous la conduite des gardes, s’engagèrent dans une ruelle obscure. Tanis et Sturm s’étaient consultés du regard. Gilthanas et Flint, eux, étaient prêts à passer à l’attaque. Le demi-elfe jeta un coup d’œil alentour. Quelque chose avait bougé dans l’ombre. Soudain, trois silhouettes encapuchonnées, épée au poing, bondirent devant les gardes. L’officier se saisit de son sifflet, mais une des silhouettes lui abattit le plat de son épée sur la tête tandis que les deux autres assaillaient les gardes. Voyant leur chef par terre, inconscient, ils détalèrent.

— Qui êtes-vous ? demanda Tanis aux inconnus.

Les silhouettes masquées lui rappelaient les draconiens qu’il avait combattus à Solace.

— Aurions-nous échappé à la prison pour tomber sur pire ? grommela le demi-elfe devant leur mutisme. Démasquez-vous !

L’une des silhouettes se tourna vers Sturm, le bras tendu vers le ciel.

Oth tsarthon e paran.

Sturm eut un sursaut.

Est tsarthai en paranaith, répondit-il. Ce sont des Chevaliers de Solamnie, déclara-t-il à Tanis.

— Des chevaliers ? Mais…

— Ne perdons pas de temps en explications, Sturm de Lumlane, coupa un des hommes en langue commune. Les gardes ne vont pas tarder. Suivez-nous.

— Pas si vite ! grogna Flint en brisant en deux une hallebarde pour l’adapter à sa taille. Il faudra prendre le temps de nous expliquer, si vous voulez qu’on vous suive ! Comment sais-tu le nom du chevalier, et pourquoi nous avoir guettés…

— Ne vous embarrassez pas de lui ! cria une voix aiguë. Laissez-le là, il servira de pâture aux corbeaux. D’ailleurs, ils n’y toucheront pas ; personne au monde n’arrive à digérer un nain…

— Satisfait de la réponse ? demanda Tanis à Flint, qui écumait de rage.

— Ce kender, je le tuerai !

Des sifflets retentirent dans les rues voisines. Sans plus hésiter, les compagnons suivirent les chevaliers à travers les ruelles. Tass déclara qu’il avait à faire et disparut avant que Tanis puisse l’attraper.

Les chevaliers semblèrent trouver cela tout naturel. Sans mot dire, ils marchèrent au pas de charge jusqu’à ce qu’ils arrivent dans un quartier en ruine.

Ils se trouvaient dans la vieille ville, à présent désertée. Plus personne ne venait dans ces rues. Ce chaos rappelait Xak Tsaroth, songea Tanis. Tandis que Sturm parlait en solamnique avec les chevaliers, le demi-elfe songea à ce qu’avait dû être la cité au temps de sa splendeur, avant le Cataclysme. Il ne restait plus que des pierres envahies par les herbes folles.

Il rejoignit Gilthanas qui conversait avec Alhana et s’assit près d’eux sur un banc.

— Alhana Astrevent, dit le seigneur elfe, je te présente Tanis Demi-Elfe. Il a passé de nombreuses années au Qualinesti. Il est le fils de l’épouse de mon oncle.

Alhana retira son voile et toisa Tanis avec froideur. « Le fils de l’épouse de mon oncle » évitait à Gilthanas de dire que Tanis n’était pas vraiment son cousin. Le demi-elfe rougit, se demandant s’il se débarrasserait un jour de ce douloureux problème.

— Ma mère fut enlevée par des guerriers humains pendant les sombres années qui suivirent le Cataclysme. Après sa mort, l’Orateur a eu la bonté de me recueillir et de m’élever comme son fils.

Les yeux d’Alhana s’obscurcirent.

— Quel besoin as-tu de t’excuser de tes origines ? demanda-t-elle d’une voix glaciale.

— Non… non, ce n’est pas ! bredouilla-t-il, écarlate.

— Alors ne le fais pas, répliqua-t-elle en se tournant vers le seigneur elfe. Gilthanas, tu voulais savoir pourquoi je suis à Tarsis. C’est pour chercher de l’aide, et je dois retourner au Silvanesti afin de retrouver mon père.

— Au Silvanesti ? s’étonna Gilthanas. Je ne savais pas que les elfes du Silvanesti avaient quitté leur ancien pays. Il n’est pas étonnant que nous ayons perdu le contact…

— C’est vrai, dit tristement Alhana, le malheur qui vous a contraints à quitter le Qualinesti nous a frappés également. Longtemps, nous nous sommes battus. À la fin, nous avons dû fuir pour sauver notre existence. Mon père a envoyé son peuple sous ma conduite dans le sud de l’Ergoth. Il a voulu rester au Silvanesti pour défendre coûte que coûte notre patrie. Je m’y suis opposée, mais il a prétendu pouvoir empêcher la destruction de notre pays. Le cœur lourd, j’ai conduit mon peuple en lieu sûr, et je suis revenue chercher mon père. Le temps a passé, et je n’ai pas eu de nouvelles de lui.

— Ma dame, tu n’as pas pris d’escorte pour t’accompagner dans un voyage aussi dangereux ? demanda Tanis.

Alhana le regarda d’un air offensé, comme s’il avait fait intrusion dans la conversation. D’abord, elle ne répondit pas. Puis, après l’avoir attentivement observé, elle changea d’avis.

— Bon nombre de braves ont proposé de m’escorter, dit-elle avec hauteur. Mais il n’y a plus un seul endroit sûr en ce monde. J’ai donc laissé les guerriers auprès de mon peuple pour assurer sa défense. Je suis venue à Tarsis dans l’espoir de trouver des mercenaires qui m’accompagneraient au Silvanesti. Je me suis présentée devant le Conseil, comme l’exige la loi.

Tanis hocha la tête en fronçant les sourcils.

— C’est idiot, dit-il brutalement. Tu connaissais leurs façons d’agir avec les elfes, même avant la guerre avec les draconiens ! Tu as eu de la chance qu’ils se bornent à te chasser de la ville.

Alhana pâlit. Ses yeux sombres étincelèrent.

— Je me suis conformée à la loi, répliqua-t-elle en contenant sa colère. Je me serais conduite comme une barbare en agissant autrement. Quand le bourgmestre a refusé ma requête, je lui ai fait part de mon intention de recruter des guerriers. Mon honneur m’interdisait une autre conduite.

Flint, qui n’avait saisi que quelques bribes de la conversation, poussa Tanis du coude.

— La dame et le chevalier devraient parfaitement s’entendre. Si leur sens de l’honneur ne les tue pas avant…

L’arrivée de Sturm empêcha Tanis de répondre.

— Tanis, s’exclama le chevalier, mes sauveurs ont découvert l’ancienne bibliothèque ! C’est la raison de leur présence ici. Selon des documents exhumés à Palanthas, tout ce qui concerne les dragons est dans la bibliothèque de Tarsis. L’Ordre leur a confié la mission de retrouver la bibliothèque et de récupérer les documents.

Sturm fit signe aux chevaliers de les rejoindre, et les présenta à ses compagnons.

— Voici Brian Tonnerre, chevalier de l’Épée ; Aran Grandarc, chevalier de la Couronne, et Dirk Gardecouronne, chevalier de la Rose.

Les trois hommes s’inclinèrent.

— Et voici Tanis Demi-Elfe, notre chef, continua Sturm.

Alhana ouvrit de grands yeux. Elle regarda Sturm, se demandant si elle avait bien entendu. Le chevalier présenta Gilthanas et Flint. Puis vint le tour d’Alhana.

— Dame Alhana, commença le chevalier, gêné de ne pas savoir le nom de la jeune femme.

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