• Пожаловаться

Vernor Vinge: Les traquenards de Giri

Здесь есть возможность читать онлайн «Vernor Vinge: Les traquenards de Giri» весь текст электронной книги совершенно бесплатно (целиком полную версию). В некоторых случаях присутствует краткое содержание. Город: Paris, год выпуска: 1981, ISBN: 2-7201-0174-5, издательство: Nouvelles éditions OPTA, категория: Фантастика и фэнтези / на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале. Библиотека «Либ Кат» — LibCat.ru создана для любителей полистать хорошую книжку и предлагает широкий выбор жанров:

любовные романы фантастика и фэнтези приключения детективы и триллеры эротика документальные научные юмористические анекдоты о бизнесе проза детские сказки о религиии новинки православные старинные про компьютеры программирование на английском домоводство поэзия

Выбрав категорию по душе Вы сможете найти действительно стоящие книги и насладиться погружением в мир воображения, прочувствовать переживания героев или узнать для себя что-то новое, совершить внутреннее открытие. Подробная информация для ознакомления по текущему запросу представлена ниже:

Vernor Vinge Les traquenards de Giri

Les traquenards de Giri: краткое содержание, описание и аннотация

Предлагаем к чтению аннотацию, описание, краткое содержание или предисловие (зависит от того, что написал сам автор книги «Les traquenards de Giri»). Если вы не нашли необходимую информацию о книге — напишите в комментариях, мы постараемся отыскать её.

Aux yeux des habitants de Giri, les explorateurs venus d’outre-espace n’étaient que des plaisantins.Et sur cette planète qui semblait si primitive, ils n’étaient rien d’autres. En fait, les péripéties de l’évolution avaient doté les autochtones d’un talent bien particulier, un talent qui rendait inutiles la plupart des inventions associées, sur d’autres planètes, au développement de la vie intelligente. Comme les explorateurs d’outre-espace, le lecteur va de surprise en surprise jusqu’à la chute finale. Un roman passionnant qui mêle avec intelligence aventure et réflexion, dû à un auteur de talent injustement méconnu en France.

Vernor Vinge: другие книги автора


Кто написал Les traquenards de Giri? Узнайте фамилию, как зовут автора книги и список всех его произведений по сериям.

Les traquenards de Giri — читать онлайн бесплатно полную книгу (весь текст) целиком

Ниже представлен текст книги, разбитый по страницам. Система сохранения места последней прочитанной страницы, позволяет с удобством читать онлайн бесплатно книгу «Les traquenards de Giri», без необходимости каждый раз заново искать на чём Вы остановились. Поставьте закладку, и сможете в любой момент перейти на страницу, на которой закончили чтение.

Тёмная тема

Шрифт:

Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

Ajao voulut exprimer son désaccord, mais le comte leva la main. « Laissez-moi finir. Je n’ignore pas que vous n’êtes qu’en sursis aux yeux de Shozheru. Si votre plan échoue, il vous fera exécuter tous les trois. Mais n’oubliez pas que vous vous trouvez à présent sur le territoire du comté de Tsarang. Nous formions un État indépendant longtemps avant que n’existe le Royaume de l’Été. Peut-être me traite-t-on de vassal au palais — mais ici il en va autrement. Je suis disposé à vous accorder secrètement asile et à déclarer au Roi de l’Été que vous avez réalisé votre projet. Franchement, Pelio, je crois que c’est ce que votre père avait en vue quand il a approuvé ce plan. Ses conseillers sont peut-être dépourvus de cœur, mais lui est différent… Qu’en dites-vous ? Vous restez ? »

Ajao demeura silencieux. Yoninne et lui n’avaient plus le choix. À moins de parvenir à la station télémétrique et d’être secourus par un vaisseau de Novamérika, ils étaient condamnés à périr à brève échéance. Ne sentait-il pas déjà les premières atteintes d’une crise identique à celle qui l’avait terrassé en arrivant à Grechper ?

Pelio n’était pas dans le même cas. L’offre de Dzeru Dzeda le libérait enfin du piège mortel que lui avaient tendu Ajao, Prou et Yoninne. En fin de compte, leur machination ne se révélerait peut-être pas trop néfaste pour le jeune homme. Du moins l’espérait-il.

Mais le prince, ayant regardé tour à tout Bjault et Dzeda, secoua lentement la tête. « Je veux rester avec… Je veux dire que je désire accompagner Adgao et Ionina. »

Le comte lut également un refus sur le visage d’Ajao. Il fit une moue et parut s’absorber pendant un moment dans la contemplation du sol à ses pieds. Un pâle sourire errait sur ses lèvres quand il releva les yeux vers Ajao. « Bon ; nul ne pourra dire que je n’ai pas fait tout ce qui était en mon pouvoir, mon brave Profane. Vous n’avez pas idée de ma frayeur à la perspective de ce qui risque d’arriver si vous tombez entre des mains ennemies, et du mal que votre peuple pourrait nous causer si vous l’ameniez ici. La race à laquelle j’appartiens s’est toujours reposée sur un Talent naturel dont la vôtre semble privée. Ayant dû pallier ce manque par l’ingéniosité et l’imagination, je soupçonne vaguement que votre peuple a accompli beaucoup plus de chemin que le mien. »

Bjault se sentit glacé jusqu’à la moelle des os : ce noblaillon pouvait à sa guise anéantir leur dernière espérance de salut.

Mais Dzeda se leva d’un bond, sa bonne humeur habituelle ayant repris le dessus : « En même temps, je me sens rempli d’indulgence et de curiosité. Si votre projet insensé réussit, le futur s’annonce intéressant… Fournissez-leur tout ce dont ils ont besoin, Lan, dit-il par-dessus son épaule en se dirigeant vers le bassin de transit. Je vais passer les heures qui viennent sur la Ligne Orientale pour surveiller nos hostiles voisins ».

Par les larges baies du palais comtal, Ajao apercevait les bandes vertes et orange que le soleil couchant projetait à l’ouest sur l’océan, tandis qu’à l’opposé les montagnes paraissaient à peine plus sombres que la région orientale du ciel. Le crépuscule tiède et bleuâtre qui envahissait les jardins entourant le palais était infiniment réconfortant, après la lumière crue et l’obscurité qu’ils avaient connues aux pôles.

Bjault hocha la tête et tenta de concentrer son attention sur le parachute étalé autour de lui. Il éprouvait une irrésistible envie de tout abandonner pour aller dormir, mais cette fatigue, il le savait, n’était pas naturelle. À chaque fois qu’il se souriait dans un miroir, il distinguait la ligne bleue bordant ses gencives. Ses douleurs d’estomac empiraient régulièrement, comme cela s’était produit au cours du trajet vers Grechper. Cette fois cependant, il craignait de ne pas pouvoir surmonter la crise. Si leur saut n’avait pas lieu à bref délai, il risquait d’être trop affaibli pour parvenir à guider la capsule lors de l’atterrissage, une fois atteinte l’île de Draere.

Les hommes de Dzeda avaient déposé la capsule dans le hall du palais. Elle reposait sur le sol de marbre, au centre de la toile kaki du parachute. Au fond de la salle, Pelio et les autres s’appliquaient à nettoyer la voilure de toute trace de saleté.

Mais le pliage du parachute représentait une tâche que lui seul, Ajao Bjault, était capable d’exécuter. L’opération était complexe, car il fallait veiller à la position de chacun des volets mobiles de la coupole, la moindre erreur pouvant être fatale. À mesure que passaient les minutes, la douleur qu’il ressentait dans ses bras fatigués devenait de plus en plus lancinante, et il eut bientôt besoin du concours de Pelio afin de tasser la toile repliée.

Au début de l’après-midi, Ajao avait passagèrement envisagé une solution ne rendant pas nécessaire l’emballage du parachute : s’ils arrivaient à trouver un volontaire tsarangi, ils réussiraient peut-être à faire voler la capsule au-dessus de l’océan, comme ils lui avaient fait franchir les montagnes grâce à Bre’en. Mais, l’île de Draere étant distante d’environ vingt mille kilomètres, Lan Mileru avait fait valoir que même une équipe de deux ou trois hommes se relayant pour les téléporter n’aurait pas la force de maintenir la capsule en l’air durant les quelques centaines d’heures que nécessiterait un tel vol.

Il leur fallait par conséquent s’en tenir au projet initial : Lan les téléportait à travers l’océan en une seule fois. Au moment où ils se matérialiseraient dans l’air à la latitude de l’île, leur vitesse dépasserait un kilomètre à la seconde et serait suffisante pour mettre en pièces la voilure de leur parachute ; ils devaient donc attendre qu’elle tombe nettement en dessous de Mach 1 pour éjecter le parachute afin de se poser « en douceur ».

Interrompant brusquement son travail, Bjault fixa d’un regard sans expression la masse placée devant lui. Venant de penser à autre chose, il ne se souvenait plus de la suite des opérations. Pendant leur séjour au Palais de l’Été, il avait insisté auprès de Yoninne pour qu’elle lui explique les diverses phases du pliage, mais elle avait considéré cela comme une perte de temps. Or le souvenir de ce qu’il lui avait vu faire constituait à présent son seul guide.

Yoninne, ma fille que ne donnerais-je pas en cet instant pour vous entendre me houspiller ! Il prenait soudain conscience de la réelle efficacité de l’équipe qu’ils avaient formée : lui se chargeant de trouver les idées et Yoninne se débrouillant toujours pour les concrétiser.

Les derniers feux du couchant s’éteignaient quand Pelio et les hommes de Dzeda bouclèrent les sangles du parachute. Ainsi comprimée, la toile avait perdu son apparence fragile et diaphane, acquérant en revanche par les soins d’Ajao l’aspect d’une volumineuse masse sombre, d’un poids égal à celui d’un rocher de mêmes dimensions.

Devant Ajao et Lan, qui les regardaient faire, les hommes plus jeunes soulevèrent le paquet et le déposèrent dans la dépression rectangulaire ménagée à cet effet sur le toit de la capsule. Bjault abaissa ensuite le capot sur le parachute et s’introduisit par l’écoutille à l’intérieur de la nacelle. Le corps plié en deux, il ne se mouvait plus qu’avec lenteur et ses douleurs d’estomac l’empêchaient presque de penser. Pris de frissons, il demeura un moment allongé dans l’obscurité — puis Pelio l’appela et quelqu’un brandit une torche devant l’ouverture. La fumée huileuse qui s’en dégageait donna des haut-le-cœur à Ajao, qui dut faire un effort pur se redresser. « Tout va bien », dit-il à l’adresse des hommes restés à l’extérieur. Il se mit alors au travail, raccordant le mécanisme éjecteur du parachute et vérifiant rapidement la solidité des cordes qui maintenaient le lest en place. Terminé. Il se glissa hors de la capsule et eut du mal à conserver son équilibre une fois sur le sol. « Nous sommes prêts, Lan. Vous pourrez nous téléporter dans quatre heures. » Il ferait nuit ici — mais le matin naîtrait sur l’île de Draere.

Читать дальше
Тёмная тема

Шрифт:

Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

Похожие книги на «Les traquenards de Giri»

Представляем Вашему вниманию похожие книги на «Les traquenards de Giri» списком для выбора. Мы отобрали схожую по названию и смыслу литературу в надежде предоставить читателям больше вариантов отыскать новые, интересные, ещё не прочитанные произведения.


Vernor Vinge: Naufragio su Giri
Naufragio su Giri
Vernor Vinge
Murray Leinster: La planète oubliée
La planète oubliée
Murray Leinster
Vernor Vinge: The Witling
The Witling
Vernor Vinge
Vernor Vinge: Au tréfonds du ciel
Au tréfonds du ciel
Vernor Vinge
Francis Carsac: Ceux de nulle part
Ceux de nulle part
Francis Carsac
libcat.ru: книга без обложки
libcat.ru: книга без обложки
Fédor Dostoïevski
Отзывы о книге «Les traquenards de Giri»

Обсуждение, отзывы о книге «Les traquenards de Giri» и просто собственные мнения читателей. Оставьте ваши комментарии, напишите, что Вы думаете о произведении, его смысле или главных героях. Укажите что конкретно понравилось, а что нет, и почему Вы так считаете.