Larry Niven - L'Anneau-Monde

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L'Anneau-Monde: краткое содержание, описание и аннотация

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A deux cents ans, Louis Wu a conservé un corps de jeune homme et une âme d'explorateur. Aussi, quand le Marionnettiste lui propose de l'accompagner au-delà de l'Espace connu, il se laisse tenter. Feront également partie de l'expédition : Teela Brown, une jeune humaine, et un Kzin. Fine équipe !Le Marionnettiste, poltron mais intelligent, avec ses deux têtes et ses trois pattes ; le Kzin, féroce et effrayant, avec sa fourrure, ses dents et ses griffes acérées...Et Teela, une jeune fille follette mais douée d'une chance insolente.     Destination ? L'Anneau-Monde, une planète située aux confins de l'hyperespace. Une planète entourée d'un mur d'un million six cent mille kilomètres de large, de quinze cent kilomètres de haut... Quelles créatures peuplent l'Anneau-Monde ? Quel accueil vont-elles réserver à nos explorateurs ?

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L’Improbable n’était pas un vaisseau spatial. Sa puissance ascensionnelle était électromagnétique, poussant contre le matériau de charpente de l’Anneau. Et la charpente de l’Anneau suivait la pente de la montagne, car Poing-de-Dieu était creux. Naturellement, l’Improbable aurait tendance à basculer, à redescendre la pente contre la poussée du cycloplane.

Parleur avait trouvé une première solution au problème.

Ils vivaient déjà dans leurs tenues spatiales avant que le voyage n’eût réellement commencé. Louis suçait de la bouillie par un tube en pensant avec nostalgie à du steak grillé par une lampe laser. Parleur suçait du sang reconstitué en ruminant ses propres pensées.

Ils n’avaient certainement pas besoin de la cuisine. Ils se débarrassèrent de cette partie du bâtiment à l’aide du second désintégrateur Négrier récupéré à bord du Menteur , améliorant de surcroît l’inclinaison de la tour.

Ils détachèrent les appareils de police et d’air conditionné.

Ils ne découpèrent les générateurs des champs capteurs et les neutralisateurs qui avaient détruit leurs cycloplanes qu’après s’être assurés qu’ils étaient séparés des moteurs ascensionnels. Les murs disparurent. Ils en gardèrent quelques-uns pour avoir de l’ombre ; car, dans la lumière directe du soleil, la chaleur devenait un problème.

Jour après jour, ils approchaient du cratère de Poing-de-Dieu, un cratère qui aurait englouti la plupart des astéroïdes. Les lèvres de l’orifice étaient telles que Louis n’en avait jamais vues de semblables sur un cratère d’impact. Des tessons pareils à des fers de lance d’obsidienne formaient une couronne déchiquetée. Des fers de lance grands comme des montagnes. Entre deux de ces pics, ils y avait une brèche… ils pourraient entrer là…

« Si je comprends bien », avança Parleur, « vous voulez pénétrer dans le cratère. »

— « Exactement. »

— « Heureusement que vous avez repéré la passe. La pente, au-dessus, est trop abrupte pour notre propulseur. Nous devrions l’atteindre bientôt. »

Parleur dirigeait l’Improbable en modifiant la poussée du cycloplane. Cela était nécessaire depuis que, dans une dernière tentative pour alléger le bâtiment, ils en avaient détaché le système de stabilisation. Louis s’était habitué à l’aspect bizarre du Kzin les cinq ballons concentriques transparents de sa tenue spatiale, le casque-aquarium avec son labyrinthe de dispositifs de contrôle que Parleur pouvait manipule directement avec sa langue, et son énorme sac dorsal.

— « J’appelle Prill », dit Louis dans l’intercom. « J’appelle Halrloprillalar. Tu es là, Prill ? »

— « Je suis là. »

— « Ne bouge pas. Nous aurons passé dans vingt minutes. »

— « Bon. Il y a assez longtemps que vous êtes partis. »

L’Arche semblait flamboyer au-dessus d’eux. À quinze cents kilomètres au-dessus de l’Anneau-Monde, ils la voyaient se fondre dans les parapets et le paysage plat. Comme mille ans plus tôt le premier homme dans l’espace avait regardé la Terre qui, par Thor et son formidable marteau, était réellement ronde.

— « Nous ne pouvions pas savoir », dit Louis Wu, presque à voix basse. Parleur leva les yeux de son travail.

Louis ne remarqua pas le regard bizarre du Kzin. « Ça nous aurait épargné bien des ennuis. Nous aurions pu faire demi-tour aussitôt après avoir trouvé le fil des carrés d’ombre. Tanj, nous aurions pu remorquer le Menteur jusqu’en haut de Poing-de-Dieu derrière nos cycloplanes ! Mais Teela n’aurait pas rencontré Chercheur. »

— « Encore la chance de Teela Brown ? »

— « Bien sûr. » Louis se secoua. « Est-ce que je parlais tout seul ? »

— « J’écoutais. »

— « Nous aurions dû le savoir », dit Louis. La passe entre les pics acérés se rapprochait. Il éprouvait le besoin de bavarder. « Les Ingénieurs n’auraient jamais construit une montagne aussi haute ici. Ils ont près de deux milliards de kilomètres de montagnes hautes de quinze cents kilomètres, en comptant les deux parapets.

— « Mais Poing-de-Dieu existe, Louis. »

— « Non, non, non. Ce n’est qu’une enveloppe. Regardez le sol ; que voyez-vous ? »

— « Du matériau de charpente. »

— « Nous pensions que c’était de la glace sale quand nous l’avons vu pour la première fois. De la glace sale, dans le vide complet ! Mais oubliez cet aspect. Vous rappelez-vous la nuit où vous avez exploré la carte géante de l’Anneau-Monde ? Vous n’avez pas pu trouver Poing-de-Dieu. Pourquoi ? »

Le Kzin ne répondit pas.

« Il n’y était pas. Voilà pourquoi. Il n’y était pas lorsque la carte fut établie. Prill, es-tu là ? »

— « Je suis là. Pourquoi vous quitterais-je ? »

— « Bon. Ferme les portes du sas. Je répète, ferme les portes du sas maintenant. Ne te coupe pas avec le fil. »

— « C’est ma race qui a inventé ce fil, Louis. » La voix de Prill était brouillée par l’électricité statique. On ne l’entendit plus pendant une minute, puis : « Les deux portes sont fermées. »

L’Improbable passait entre les pointes verticales de la montagne. Louis était tendu ; mais il l’eût été encore plus si son subconscient n’avait espéré voir un défilé ou un col entre ces deux pics.

— « Louis, qu’ espérez -vous au juste trouver dans le cratère de Poing-de-Dieu ? »

— « Des étoiles », répondit Louis Wu.

Le Kzin était tendu, lui aussi. « Ne vous moquez pas de moi ! En tout honneur… »

… Ils étaient passés. Il n’y avait pas de défilé. Il n’y avait qu’une coquille brisée de matériau de charpente réduit à un ou deux mètres d’épaisseur par une formidable traction : et au-delà, le cratère de Poing-de-Dieu.

Ils tombaient. Et le cratère était plein d’étoiles.

Louis Wu avait une excellente imagination. Dans sa vision intérieure, l’événement était parfaitement clair.

Il voyait le système de l’Anneau-Monde, stérile, propre, vide de navettes spatiales, vide à l’exception d’une étoile K9, d’une chaîne féerique de carrés d’ombre, et de l’Anneau-Monde lui-même.

Il voyait un corps étranger passer tout près, trop près. Il voyait sa chute hyperbolique depuis l’espace interstellaire, et il voyait sa course interrompue — par le dessous de l’Anneau-Monde.

Dans sa vision, le corps étranger avait à peu près la taille de la Lune terrestre.

Il avait dû se transformer en plasma ionisé dès les premières secondes. Une météorite peut se refroidir par ablation, par l’ébullition de sa couche extérieure. Mais, ici, le gaz vaporisé ne pouvait pas se dilater ; il était emprisonné dans une poche de l’Anneau-Monde qui se déformait. Le sol s’était soulevé, réduisant à néant l’écologie soigneusement élaborée et les chutes de pluie programmées sur une région plus étendue que la Terre. Tout ce désert… et Poing-de-Dieu lui-même, poussé à une hauteur de quinze cents kilomètres avant que le matériau de charpente, incroyablement résistant, ne se fût déchiré pour livrer passage à la boule de feu.

Poing-de-Dieu ? Tanj, oui ! Depuis une cellule de prison de l’Anneau-Monde, Louis l’avait clairement imaginé. Le phénomène avait dû être visible depuis les deux parapets : une boule de feu de la taille de la Lune, surgissant de la charpente de l’Anneau-Monde comme le poing d’un homme à travers une boîte en carton.

Les indigènes avaient de la chance que la charpente se fût déformée ainsi. Le trou était assez grand pour laisser échapper tout l’air de l’Anneau-Monde ; mais il était à quinze cents kilomètres trop haut…

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