Stephen King - Dôme. Tome 1

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Dôme. Tome 1: краткое содержание, описание и аннотация

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Le Dôme : personne n’y entre, personne n’en sort. A la fin de l’automne, la petite ville de Chester Mill, dans le Maine, est inexplicablement et brutalement isolée du reste du monde par un champ de force invisible. Personne ne comprend ce qu’est ce dôme transparent, d’où il vient et quand — ou si — il partira. L’armée semble impuissante à ouvrir un passage tandis que les ressources à l’intérieur de Chester Mill se raréfient. Big Jim Rennie, un politicien pourri jusqu’à l’os, voit tout de suite le bénéfice qu’il peut tirer de la situation, lui qui a toujours rêvé de mettre la ville sous sa coupe. Un nouvel ordre social régi par la terreur s’installe et la résistance s’organise autour de Dale Barbara, vétéran de l’Irak et chef cuistot fraîchement débarqué en ville…

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Randolph avait secoué la tête. « La situation est beaucoup trop instable. Voyons tout d’abord comment ils s’en sortent.

— S’il arrive quelque chose à l’un d’eux pendant que… »

Randolph l’avait coupé :

« Il n’arrivera rien à personne, Big Jim. Nous sommes à Chester’s Mill. Si nous étions à New York, les choses seraient différentes. »

Il espérait ne pas se tromper.

3

« Et je m’engage à faire de mon mieux pour protéger et servir les habitants de cette ville », disait maintenant Randolph.

Tous répétèrent la formule aussi docilement que les enfants au catéchisme le Jour des Parents. Même Searles, avec son sourire idiot, le fit sans faute. Et ils avaient fière allure. Pas d’arme — pas encore —, mais ils étaient équipés de talkies-walkies. De bâtons fluo, également. Stacey Moggin (qui devait elle-même assurer un quart de nuit) avait trouvé des chemises réglementaires pour tout le monde sauf pour Carter Thibodeau. Rien ne lui allait, tant il avait les épaules larges, mais la chemise de toile bleue qu’il avait rapportée de chez lui allait très bien. Pas réglo, mais propre. Et de toute façon, le badge argenté épinglé au-dessus de sa pochette gauche faisait passer le message qui devait passer.

Cela allait peut-être marcher.

« Et que Dieu me vienne en aide, dit Randolph.

— Et que Dieu me vienne en aide », répétèrent-ils tous.

Du coin de l’œil, Randolph vit la porte s’ouvrir. C’était Big Jim. Il rejoignit Henry Morrison, George Frederick et son asthme, Fred Denton et une Jackie Wettington à l’air peu convaincu au fond de la salle. Randolph comprit que Rennie était venu voir son fils prêter serment. Et, comme il se sentait encore mal à l’aise d’avoir refusé de donner une arme à ses nouvelles recrues (refuser quoi que ce soit à Big Jim allait à l’encontre de la stratégie toujours politiquement correcte de Randolph), le nouveau chef fit traîner les choses, avant tout pour le bénéfice du deuxième conseiller.

« Et je ne laisserai personne me faire chier.

— Et je ne laisserai personne me faire chier », reprirent-ils tous en chœur.

Avec enthousiasme. Souriant tous. D’attaque. Prêts à prendre la rue.

Big Jim hocha la tête et leva le pouce, en dépit du gros mot. Randolph se sentit le cœur plus léger, sans savoir que la formule allait revenir le hanter : Et je ne laisserai personne me faire chier .

4

Lorsque Julia Shumway entra au Sweetbriar Rose ce matin-là, la plupart des personnes venues prendre le petit déjeuner étaient déjà reparties, soit pour l’église, soit pour tenir une réunion impromptue sur la place principale. Il était neuf heures. Barbie était seul ; ni Dodee Sanders ni Angie McCain ne s’étaient montrées, ce qui ne surprit personne. Rose s’était rendue au Food City. Anson l’avait accompagnée. Avec un peu de chance, ils reviendraient avec des provisions, mais Barbie ne le croirait que lorsqu’ils les verrait.

« Nous sommes fermés jusqu’au déjeuner, dit-il, mais il reste du café.

— Et pas un rouleau à la cannelle ? » demanda Julia avec une note d’espoir.

Barbie secoua la tête. « Rose n’en a pas préparé. Il faut faire tenir le générateur le plus longtemps possible.

— C’est logique, admit Julia. Du café, alors. »

Il avait apporté le pot avec lui et il la servit. « Vous avez l’air fatiguée.

— Barbie, tout le monde a l’air fatigué, ce matin. Et mort de peur.

— Et le journal ?

— J’espérais qu’il serait prêt pour dix heures, mais je crains que ce soit plutôt trois heures de l’après-midi. Le premier numéro exceptionnel du Democrat depuis l’inondation de la Prestile.

— Des problèmes de production ?

— Pas tant que mon générateur continuera à tourner. Je voudrais simplement aller jusqu’à l’épicerie voir si les gens ne s’y sont pas précipités en masse. Et s’ils ont quelque chose à raconter. Pete Freeman y est déjà pour prendre des photos. »

Barbie n’aima pas trop l’expression « en masse ». « Bon Dieu, j’espère qu’ils resteront tranquilles.

— Mais oui. Nous sommes à Chester’s Mill, ici, pas à New York. »

Barbie n’était pas aussi convaincu qu’elle qu’il y eût autant de différence entre les rats des villes et les rats des champs, en cas de stress, mais il garda sa réflexion pour lui. Elle connaissait mieux que lui les gens du coin.

Comme si elle avait lu dans ses pensées, Julia dit alors : « Je peux me tromper, évidemment. C’est pourquoi j’ai envoyé Pete. » Elle regarda autour d’elle. Il restait encore quelques clients, au comptoir, qui finissait leurs œufs et vidaient leur tasse de café, et bien entendu la grande table du fond — la table aux foutaises, en langage yankee — était entièrement occupée par les vieux habitués qui remâchaient les évènements récents et discutaient de ce qui risquait de se produire ensuite. Mais Barbie et Julia avaient le centre du restaurant pour eux.

« J’ai une ou deux choses à vous dire, reprit-elle un ton plus bas. Et arrêtez de me tourner autour comme un maître d’hôtel, asseyez-vous. »

Barbie s’exécuta et se servit une tasse de café. C’était le fond du pot et il avait un arrière-goût de caoutchouc, mais… c’était évidemment le fond du pot qui était le plus chargé en caféine.

Julia sortit son portable de la poche de sa robe et le poussa vers lui. « Votre copain Fox m’a rappelée à sept heures ce matin. Quelque chose me dit qu’il n’a pas dû beaucoup dormir la nuit dernière, lui non plus. Il m’a demandé de vous le donner. Il ne sait pas que vous en avez un. »

Barbie ne toucha pas le téléphone. « S’il s’attend à un premier rapport, c’est qu’il surestime sérieusement mes capacités.

— Il n’a pas dit ça. Simplement qu’il avait besoin de vous parler et qu’il voulait pouvoir vous joindre. »

Cela décida Barbie. Il repoussa le téléphone vers elle. Elle le prit sans paraître étonnée. « Il a aussi dit que si vous n’aviez pas de nouvelles de lui à cinq heures de l’après-midi, vous devriez l’appeler. Pour une mise à jour. Vous voulez que je vous donne son numéro de code bizarre ?

Il soupira. « Bien sûr. »

Elle l’écrivit sur une serviette en papier, en petits chiffres bien nets. « Je crois qu’ils vont tenter quelque chose.

— Quoi ?

— Il ne l’a pas précisé ; j’ai juste eu l’impression qu’ils envisageaient un certain nombre de possibilités.

— Tiens, pardi ! Et qu’est-ce qui vous avez encore dans la tête ?

— Qui vous dit qu’il y a quelque chose ?

— Juste une impression, répondit-il avec un sourire.

— OK, le compteur Geiger.

— J’avais pensé en parler à Al Timmons. »

Al était le concierge de l’hôtel de ville et un habitué du Sweetbriar Rose. Barbie s’entendait bien avec lui.

Julia secoua la tête.

« Non ? Pourquoi non ?

— Vous voulez savoir qui a consenti un prêt personnel sans intérêt à Al pour qu’il puisse envoyer son plus jeune fils à l’université Heritage Christian, en Alabama ?

— Ne serait-ce pas Jim Rennie, par hasard ?

— Tout juste. Et maintenant, histoire de faire monter un peu plus la mayonnaise, devinez à qui appartient le camion dont se sert Al ?

— Quelque chose me dit que ce doit être encore Rennie.

— Bingo. Et vu que vous êtes la crotte de chien que le deuxième conseiller ne parvient pas à enlever complètement de ses chaussures, s’adresser à des gens qui lui doivent tout risque de ne pas être une bonne idée. » Elle se pencha un peu plus vers lui. « Mais il se trouve que je sais qui détient un jeu complet des clefs du royaume : de l’hôtel de ville, de l’hôpital, du centre de soins, des écoles, tout ce que vous voulez.

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