Stephen King - Dôme. Tome 2
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- Название:Dôme. Tome 2
- Автор:
- Издательство:Editions Albin Michel
- Жанр:
- Год:2011
- Город:Paris
- ISBN:978-2-226-22437-8
- Рейтинг книги:5 / 5. Голосов: 1
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« Toutes les boîtes de céréales ont une petite surprise, pas vrai ? » dit-elle avec un sourire imbécile. Elle laissa tomber sa main sur la crosse du calibre 45 qu’elle portait à la ceinture. Elle était tellement mince, songea Jackie, que le recul la ferait tomber par terre si elle avait jamais l’occasion de faire feu.
« Tout est en ordre, déclara Thibodeau. Je vais vous tenir compagnie.
— Parfait », dit Jackie, prise d’une sueur froide en se rappelant qu’elle avait d’abord pensé sortir le mot du fond du bol pour le tendre directement à Barbie. Les risques qu’elles prenaient, tout d’un coup, lui parurent déments… mais il était trop tard. « Toi, tu restes près de marches, dit-elle à Thibodeau. Et toi, Linda, tu te tiens derrière moi. Pas question de lui laisser la moindre chance. »
Elle pensa que Carter allait tergiverser, mais il n’en fit rien.
24
Barbie se redressa sur sa couchette. De l’autre côté des barreaux se tenait Jackie Wettington, un bol en plastique blanc à la main. Derrière elle, Linda Everett avait son arme tirée et la tenait à deux mains, pointée vers le sol. Carter Thibodeau fermait la marche, au pied de l’escalier, les cheveux en bataille du type qui vient de se lever, sa chemise bleue non boutonnée afin d’exhiber le pansement qui recouvrait la morsure de chien, à son épaule.
« Bonjour, officier Wettington », dit Barbie. Un filet de lumière blanche filtrait par l’embryon de fenêtre. Le genre de lumière matinale qui donne l’impression que la vie est la plus grande des plaisanteries. « Je suis innocent de ces accusations. Je ne peux même pas parler d’inculpation, puisqu’on ne m’a même pas…
— La ferme, le coupa Linda. Ça nous intéresse pas.
— Bien dit, Blondie, lança Carter. Allez-y, les filles. »
Il bâilla et gratta son pansement.
« Reste assis, ordonna Jackie. Ne fais pas le moindre mouvement. »
Barbie ne bougea pas. Elle poussa le bol en plastique entre les barreaux. Il était juste assez petit pour cela.
Barbie s’avança et prit le bol. Il était rempli de céréales, des Special K, aurait-on dit. Sèches. Un crachat brillait sur le dessus. Et quelque chose d’autre : une grosse crotte de nez bien verte, humide et striée de sang. Son estomac n’en gargouilla pas moins. Il avait très faim.
Il se sentait aussi blessé, malgré lui. Parce qu’il avait cru que Jackie Wettington, qu’il avait repérée comme étant une ancienne militaire dès la première fois qu’il l’avait vue, à sa coupe de cheveux, mais surtout à sa manière de se tenir, valait mieux que ça. Il n’avait pas été difficile d’ignorer les marques de mépris de Henry Morrison. Cette fois, c’était plus dur. Et l’autre femme flic — l’épouse de Rusty Everett — le regardait comme s’il était une variété rare d’insecte venimeux. Il avait espéré qu’au moins quelques officiers patentés du département de police…
« Bouffe ça, lança Thibodeau depuis le pied de l’escalier. On s’est chargés de l’assaisonnement. Pas vrai, les filles ?
— C’est vrai », dit Linda.
Les commissures de ses lèvres s’abaissèrent. Ce n’était pas qu’un tic, et Barbie se sentit le cœur plus léger. Elle devait simuler. C’était peut-être espérer beaucoup, mais…
Elle se déplaça légèrement, bloquant la vue que Thibodeau avait de Jackie, ce qui n’était cependant pas indispensable : Carter était occupé à essayer de voir sa blessure sous le bord du pansement.
Jackie jeta un coup d’œil derrière elle pour s’assurer que tout allait bien et indiqua le bol du doigt ; puis elle leva les mains en haussant les sourcils : Désolée . Elle pointa ensuite deux doigts sur Barbie : Faites attention .
Il répondit d’un hochement de tête.
« Régale-toi, bâton merdeux, dit Jackie. On t’apportera quelque chose de mieux pour le déjeuner. Un pissburger, par exemple. »
De la marche sur laquelle il s’était assis, tiraillant sur le bord de son pansement, Thibodeau émit un aboiement en guise de rire.
« S’il te reste assez de dents pour ça », dit Linda.
Barbie aurait préféré qu’elle s’abstienne. Sa voix n’avait rien de sadique, ni même de coléreux. Elle était seulement apeurée, et on sentait qu’elle aurait préféré être n’importe où ailleurs. Thibodeau ne parut pas s’en rendre compte. Il s’intéressait toujours à l’état de son épaule.
« Allez viens, dit Jackie. J’ai pas envie de le voir manger.
— C’est assez ramolli à ton goût ? » lança Thibodeau. Il se leva lorsque les femmes repartirent vers l’escalier, entre les cellules, Linda rengainant son arme. « Parce que sinon…, ajouta-t-il en se raclant la gorge.
— Ça ira comme ça, dit Barbie.
— Forcément, que ça ira, répondit Thibodeau. Pour le moment. Puis ça ira plus. »
Ils montèrent, Thibodeau fermant la marche et donnant au passage une claque sur les fesses de Jackie. Elle rit et lui donna une tape. Elle s’en sortait bien, beaucoup mieux que la femme d’Everett. Toutes deux avaient fait preuve d’énormément de courage. D’un courage impressionnant .
Barbie retira la crotte de nez des Special K et l’envoya d’une pichenette dans le coin où il avait pissé. Il s’essuya les mains à son T-shirt. Puis il se mit à fouiller dans les céréales. Au fond du bol, il trouva le papier.
Essayez de tenir jusqu’à demain soir. Si on arrive à vous faire sortir, pensez à une planque. Vous savez ce que vous devez faire de ça.
Barbie le savait, en effet.
25
Une heure après avoir mangé le bout de papier et les céréales, Barbara entendit un pas pesant dans l’escalier. C’était Big Jim Rennie, déjà en costume-cravate dans la perspective d’une autre journée à administrer la vie sous le Dôme. Il était suivi de Carter Thibodeau et d’un autre type — un Killian, à en juger par la forme de sa tête. Le petit Killian portait une chaise et faisait des manières avec. Il était ce que les vieux Yankees auraient appelé un gormy lad , autrement dit un benêt. Il tendit la chaise à Thibodeau, qui la disposa devant la cellule, au bout du couloir. Rennie s’assit, remontant délicatement son pantalon auparavant pour en préserver le pli.
« Bonjour, monsieur Barbara. » Il avait souligné le monsieur avec une légère pointe de satisfaction.
« Conseiller Rennie, répondit Barbara. Que puis-je faire, sinon vous donner mon nom, mon rang et mon numéro matricule… dont je ne suis pas sûr de me souvenir ?
— Avouer. Nous épargner des difficultés et apaiser votre âme.
— Mr Searles a fait allusion hier au soir à la méthode de la baignoire, reprit Barbie. Il m’a demandé si j’y avais assisté pendant que j’étais en Irak. »
Rennie arborait un petit sourire, bouche en cul-de-poule, qui semblait dire : cause toujours, les bêtes qui parlent sont intéressantes .
« En fait, oui. J’ignore dans quelle mesure cette technique a été utilisée pendant les opérations — les rapports varient — mais j’y ai assisté personnellement deux fois. L’un des hommes a avoué, mais ses aveux n’ont servi à rien. L’individu qu’il nous a décrit comme étant un fabricant de bombes artisanales pour al-Qaida était en réalité un maître d’école qui avait quitté l’Irak quatorze mois auparavant. L’autre a été pris de convulsions et a eu le cerveau endommagé, si bien qu’on n’a rien pu en tirer. S’il en avait été capable, malgré tout, je suis sûr qu’il nous aurait donné un nom. Tout le monde avoue, avec la baignoire, en général au bout de quelques minutes. Je suis certain que moi aussi, j’avouerai.
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