Stephen King - Dôme. Tome 2
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- Название:Dôme. Tome 2
- Автор:
- Издательство:Editions Albin Michel
- Жанр:
- Год:2011
- Город:Paris
- ISBN:978-2-226-22437-8
- Рейтинг книги:5 / 5. Голосов: 1
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Aucun moyen de le savoir et rien d’autre à faire qu’à attendre.
Allongé sur le dos, contemplant le plafond, Barbie s’y résigna.
SWEET HOME ALABAMA
PLAY THAT DEAD BAND’S SONG [8] Chanson antiraciste de Neil Young.
1
À leur retour, Linda et Jackie trouvèrent Rusty et les filles qui les attendaient, assis sur les marches du perron. Les deux J étaient en chemise de nuit — des chemises légères en coton et non en flanelle, comme il aurait été plus normal en cette saison. Alors qu’il n’était pas tout à fait sept heures, le thermomètre, à la fenêtre de la cuisine, affichait déjà dix-huit degrés.
En temps ordinaire, les fillettes se seraient précipitées et auraient été bien en avance sur leur père pour aller embrasser leur mère, mais ce matin-là, Rusty les distança de plusieurs longueurs. Il prit Linda par la taille et elle s’accrocha à son cou avec une vigueur presque douloureuse — l’empoignade de quelqu’un qui se noie plus qu’une étreinte amoureuse.
« Vous vous en êtes bien sorties ? » lui murmura-t-il à l’oreille.
Les cheveux de Linda lui caressèrent la joue pendant qu’elle hochait la tête. Puis elle se dégagea. Ses yeux brillaient. « J’étais certaine que Thibodeau allait regarder dans les céréales, c’est Jackie qui a eu l’idée de cracher dedans, un coup de génie, mais j’étais sûre et certaine …
— Pourquoi tu pleures, maman ? demanda Judy, qui paraissait elle-même sur le point de fondre en larmes.
— Je ne pleure pas, dit Linda en s’essuyant les yeux. Oui, bon, un peu. Parce que je suis tellement contente de voir votre papa.
— On est toutes contentes de le voir, s’écria Janelle à l’intention de Jackie. Parce que mon papa, c’est le PATRON !
— Première nouvelle », dit Rusty.
Il embrassa Linda sur la bouche, vigoureusement.
« Sur la bouche ! » s’exclama Janelle, fascinée.
Judy se cacha les yeux et pouffa.
« Venez, les filles, dit Jackie. Un tour de balançoire. Après, vous irez vous habiller pour l’école.
— L’école ? s’étonna Rusty. Sérieusement ?
— Sérieusement, dit Linda. Seulement les petits, à East Grammar School. La demi-journée. Wendy Goldstone et Ellen Vanedestine se sont portées volontaires pour faire la classe. Jusqu’à trois ans dans une salle, de quatre à six dans une autre. Je ne sais pas s’ils apprendront grand-chose, mais au moins les gosses ont-ils un endroit où aller, c’est un semblant de normalité pour eux. Espérons. » Elle leva les yeux vers le ciel, lequel, s’il était sans nuages, avait une couleur jaunâtre. Tel un œil bleu envahi par la cataracte, pensa-t-elle. « Un peu de normalité ne me ferait pas de mal à moi non plus. Regarde-moi ce ciel. »
Rusty y jeta un bref coup d’œil, puis tint sa femme à bout de bras pour l’étudier. « Vous êtes sûres que ça a marché ?
— Oui. Mais de justesse. Le genre de truc qu’on trouve peut-être marrant dans les films d’espionnage, mais dans la réalité, c’est affreux. Je ne participerai pas à son évasion, mon chéri. À cause des filles.
— Les dictateurs ont toujours pris les enfants en otage, observa Rusty. Il vient un moment où les gens doivent savoir dire non.
— Mais pas ici, et pas maintenant. C’est l’idée de Jackie, laissons-la s’en occuper. Je ne veux pas m’en mêler et je ne veux pas que tu t’en mêles. »
Il savait pourtant que s’il l’exigeait d’elle, elle le ferait ; c’était ce qui s’exprimait sous ce discours. Si cela faisait de lui le patron, voilà qui ne l’enchantait pas.
« Tu vas aller travailler ? demanda-t-il.
— Bien sûr. Les petites iront chez Marta et Marta les emmènera à l’école ; Linda et Jackie iront pointer pour une nouvelle journée de travail sous le Dôme. Toute autre attitude paraîtrait curieuse. Je déteste devoir fonctionner de cette façon. » Elle poussa un soupir. « Et je suis fatiguée. » D’un coup d’œil, elle vérifia que les filles ne pouvaient pas l’entendre. « Je suis foutrement crevée, oui. C’est à peine si j’ai dormi. Et toi, tu vas à l’hôpital ? »
Rusty secoua la tête. « Non. Ginny et Twitch vont se débrouiller tout seuls jusqu’à midi au moins… avec l’aide du nouveau, je pense que ça devrait aller. Thurston est un peu du genre New Age, mais on peut compter sur lui. Je vais aller chez Claire McClatchey. Il faut que je parle aux gosses et je dois aller voir l’endroit où ils ont détecté ce pic de rayonnement avec le compteur Geiger.
— Qu’est-ce que je dis si on me demande où tu es ? »
Rusty réfléchit. « La vérité, c’est le plus simple. En partie, du moins. Que j’enquête sur un éventuel générateur qui serait responsable de l’existance du Dôme. Cela pourrait faire réfléchir Rennie sur la suite qu’il compte donner aux évènements.
— Et si on me demande où ? Parce qu’on me le demandera.
— Réponds que tu ne le sais pas, que tu crois simplement que c’est à l’ouest de la ville.
— Black Ridge est au nord.
— Justement. Si Rennie donne l’ordre à Randolph d’envoyer sa cavalerie, je préfère que ce soit par là. Et si jamais on t’en fait le reproche par la suite, tu diras que tu étais fatiguée et que tu as dû te tromper. Et écoute-moi, ma chérie : avant de partir, tu devrais faire la liste des gens qui peuvent avoir des doutes sur la culpabilité de Barbie. » Encore une fois, voilà qu’il pensait en termes de nous et eux . « Il faut qu’on puisse leur parler avant la réunion de demain soir. Très discrètement.
— Rusty… tu es bien sûr ? Parce que après l’incendie d’hier soir tout le monde va se lancer dans la chasse aux amis de Dale Barbara.
— Si j’en suis sûr ? Oui. Est-ce que ça me plaît ? Certainement pas. »
De nouveau, Linda leva les yeux vers le ciel aux nuances jaunâtres, puis elle regarda les deux chênes, sur la pelouse de la façade, avec leurs feuilles qui pendaient, inertes, et leur couleur éclatante qui tournait au marron éteint. Elle soupira. « Si c’est Rennie qui a tendu un piège à Barbie, alors c’est aussi lui qui a fait mettre le feu au journal. Tu le sais, n’est-ce pas ?
— Oui.
— Et si Jackie parvient à faire évader Barbie, où va-t-elle le planquer ? Où sera-t-il en sécurité ?
— Il va falloir y penser.
— Si jamais tu trouves le générateur et que tu l’arrêtes, toute cette connerie à la James Bond devient inutile.
— Prie pour que ce soit le cas.
— Je vais le faire. Et les radiations ? Je ne veux pas que tu me reviennes avec une leucémie, ou Dieu sait quoi.
— J’ai mon idée là-dessus.
— On peut savoir laquelle ? »
Rusty sourit. « Probablement pas. Elle est plutôt dingue. »
Elle entrelaça ses doigts à ceux de son mari. « Sois prudent. »
Il l’embrassa légèrement. « Toi aussi. »
Ils regardèrent Jackie qui poussait les filles sur les balançoires. Ils avaient de bonnes raisons d’être prudents. N’empêche, pensa Rusty, le risque allait devenir un élément majeur de sa vie. Si, bien entendu, il voulait continuer à pouvoir se regarder dans la glace en se rasant le matin.
2
Horace le corgi aimait la nourriture des humains.
En fait, Horace le corgi adorait la nourriture des humains. Comme il avait pris un peu trop de poids (sans parler d’un peu de gris autour du museau, ces dernières années), c’était très malsain, et Julia avait arrêté de le suralimenter après que le véto lui avait déclaré, sans prendre de gants, que sa générosité raccourcissait la vie de son fidèle compagnon. La conversation avait eu lieu six mois auparavant ; depuis lors, Horace avait été mis au régime des Bil-Jac, complétés de temps en temps par des petites douceurs diététiques pour chien. Celles-ci avaient l’aspect d’emballages en plastique et, à voir le regard de reproche que lui adressait Horace avant de les manger, devaient sans doute avoir le goût d’emballages en plastique. Mais elle n’en démordait pas : finis, la peau de poulet grillée, les bouts de fromage, les morceaux de beignets matinaux.
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