Isaac Asimov - Seconde Fondation

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25 millions de planètes habitées… Et dans ce gigantesque amas galactique,une planète élue, qui pourrait sauver la civilisation :la Seconde Fondation. Mais où se trouve-t-elle ? D’éminents savants l’ont en vain cherchée… Une enfant de quatorze ans saura-t-elle la découvrir ?
Voici le dernier volet d’une trilogie qui est devenuun « classique » de la Science-Fiction.

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« Pourquoi pas ? répondit Darell. Le résultat ne risque pas de nous affecter. »

Lentement, grimaçant presque, Anthor tourna le bouton dans un sens, puis dans l’autre. Turbor grinçait des dents, tandis que Munn clignait rapidement des paupières. On eût dit qu’ils s’efforçaient d’aiguiser leurs organes sensoriels inadéquats, pour percevoir cette émission qui ne pouvait les affecter.

Anthor haussa enfin les épaules et lança le petit appareil sur les genoux de Darell. « Eh bien, je suppose que nous devons vous croire sur parole. Mais il est difficile d’imaginer qu’il se passait quelque chose lorsque je tournais ce bouton.

— Naturellement, Pelleas Anthor, puisque l’appareil que je vous ai remis était factice. J’en possède un autre, voyez-vous. » Il écarta son veston et saisit à sa ceinture une réplique de la boîte qu’Anthor avait examinée. « Regardez », dit-il, et d’un seul geste il tourna le bouton d’intensité au maximum.

Avec un cri inhumain, Pelleas Anthor s’écroula sur le sol. Il se roulait frénétiquement, le visage livide, ses doigts labourant convulsivement ses cheveux.

Munn recula précipitamment pour ne pas entrer en contact avec le corps convulsé ; ses yeux reflétaient une indescriptible horreur. Semic et Turbor semblaient mués en statues de plâtre, dont ils avaient la blancheur et la rigidité.

Darell, le visage sombre, ramena le bouton à zéro. Anthor remua faiblement une ou deux fois et demeura immobile. Il vivait car sa poitrine se soulevait sous une respiration spasmodique.

« Etendez-le sur la couchette, dit Darell en saisissant la tête du jeune homme. Aidez-moi. »

Turbor saisit les pieds. Ils avaient l’impression de soulever un sac de farine. Puis au bout de quelques minutes, la respiration devint plus régulière et les paupières d’Anthor palpitèrent. Son visage avait pris une horrible teinte jaune ; ses cheveux et son corps étaient inondés d’une transpiration profuse, et sa voix, lorsqu’il parla, était brisée et méconnaissable.

« Non, marmotta-t-il, non ! Ne recommencez pas ! Vous ne savez pas… Vous ne savez pas… Ohhh… » De ses lèvres sortit une longue plainte palpitante.

« Nous ne recommencerons pas, dit Darell, si vous nous dites la vérité. Vous êtes un membre de la Seconde Fondation ?

— Donnez-moi un peu d’eau à boire, supplia Anthor.

— Allez chercher de l’eau, Turbor, dit Darell, et rapportez la bouteille de whisky. »

Il répéta la question après avoir fait avaler une rasade de whisky et deux verres d’eau au jeune homme. Celui-ci parut se détendre.

« Oui, dit-il d’un ton las, je suis un membre de la Seconde Fondation.

— Qui a son siège, ici même, à Terminus ?

— Oui, oui. Vous avez raison sur tous les points, docteur Darell.

— Bien ! Maintenant, expliquez-nous ce qui s’est passé au cours des six mois écoulés. Dites !

— Je voudrais dormir, murmura Anthor.

— Plus tard. Maintenant, il faut parler ! »

Un soupir entrecoupé. Puis des mots pressés, à voix basse. Les autres se penchaient au-dessus de lui pour ne rien perdre de ses paroles.

« La situation devenait dangereuse. Nous savions que Terminus et ses physiciens commençaient à s’intéresser aux schémas psychiques et que les temps étaient mûrs pour la création d’un appareil dans le genre de la station de brouillage mental. D’autre part, nous constations une hostilité croissante à l’égard de la Seconde Fondation. Il fallait renverser cette tendance sans ruiner le Plan Seldon.

« Nous avons tenté de diriger le mouvement. Nous avons essayé de nous y intégrer. C’était une façon de détourner de nous les soupçons. En manière de diversion, nous avons induit Kalgan à déclarer la guerre. C’est pourquoi j’ai envoyé Munn sur Kalgan. La maîtresse supposée de Stettin était des nôtres. Elle dirigeait les actes de Munn dans un sens favorable à nos projets…

— Callia est… », s’écria Munn, mais Darell lui imposa silence d’un geste.

Anthor poursuivit sans s’apercevoir de l’interruption : « Arcadia suivit. Nous n’avions pas compté sur son intervention – nous ne pouvons pas tout prévoir – de sorte que Callia l’amena à se réfugier sur Trantor pour prévenir toute ingérence de sa part. C’est tout. Si ce n’est que nous avons perdu la partie.

— Vous avez tenté de me convaincre de partir pour Trantor, n’est-ce pas ? » interrogea Darell.

Anthor hocha la tête. « Je devais vous écarter de notre route. Le sentiment de triomphe qui se développait dans votre esprit était suffisamment clair. Vous étiez en train de résoudre les problèmes de la station de brouillage mental.

— Pourquoi n’avez-vous pas influencé mon esprit afin de pouvoir me contrôler ?

— Je ne pouvais pas… J’avais des ordres. Nous travaillions conformément au Plan. Si j’avais improvisé, j’aurais faussé tous les calculs. Le Plan n’indique que des probabilités… vous savez cela… Comme le Plan Seldon. » Il parlait à mots entrecoupés, la voix pleine d’angoisse. Presque avec incohérence. Sa tête ballait de droite à gauche sous l’effet de la fièvre. « Nous avions affaire à des individus… pas à des groupes… probabilités incertaines… En outre… si nous vous influencions… quelqu’un d’autre inventerait l’appareil… peine perdue… Il fallait agir sur le temps… plus de subtilité… Propre Plan du Premier Orateur… ne connaît pas tous les aspects de la situation… sauf… échec… euhhh… » Il s’effondra.

Darell le secoua rudement. « Le moment n’est pas encore venu de dormir. Combien de membres comprend la Fondation ?

— Hein ? Que dites-vous ?… Oh !… guère… seriez surpris… cinquante… c’est suffisant.

— Et tous sur Terminus ?

— Cinq, six… dans l’espace… Comme Callia… je vais dormir. »

Il se secoua soudain, comme par un effort surhumain, et son élocution gagna en clarté. Il tentait un dernier effort pour se justifier, pour minimiser sa défaite.

« Nous avons failli vous avoir à la fin. Nous aurions tourné vos défenses et vous aurions réduits à l’impuissance. Nous vous aurions montré qui étaient les maîtres. Mais vous m’avez donné le change… Vous m’avez soupçonné dès le début. »

Et finalement, il s’endormit.

« Depuis combien de temps le soupçonniez-vous ? demanda Turbor impressionné.

— Depuis le jour où il est entré ici, répondit l’autre de sa voix calme. Il venait de la part de Kleise, disait-il. Mais je connaissais Kleise ; et je savais en quels termes nous nous étions séparés. Il se conduisait en fanatique pour tout ce qui concernait la Seconde Fondation, et je l’ai abandonné. Mes objectifs étaient raisonnables, puisque je pensais qu’il valait mieux, qu’il était plus sûr de me fier à ma propre inspiration. Mais je ne pouvais pas le dire à Kleise : d’ailleurs, il ne m’aurait pas écouté. A ses yeux, j’étais un poltron et un traître, voire un agent de la Seconde Fondation. C’était un homme vindicatif et, depuis ce moment jusqu’aux jours précédant sa mort, il s’abstint de toute relation avec moi. Puis, au dernier moment, je reçois de lui une lettre amicale et il me recommande son élève le meilleur et le plus brillant, et m’engage à faire de lui mon collaborateur, afin de reprendre l’enquête que nous avions menée ensemble autrefois.

« Cette attitude était absolument contraire à son caractère. Jamais il n’aurait pris une pareille initiative s’il n’avait pas été soumis à une influence extérieure, et je me suis bientôt demandé si l’objet réel de cette démarche n’était pas d’introduire dans ma confiance un véritable agent de la Seconde Fondation. C’est bien ce qui s’est produit… »

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