Isaac Asimov - Seconde Fondation

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25 millions de planètes habitées… Et dans ce gigantesque amas galactique,une planète élue, qui pourrait sauver la civilisation :la Seconde Fondation. Mais où se trouve-t-elle ? D’éminents savants l’ont en vain cherchée… Une enfant de quatorze ans saura-t-elle la découvrir ?
Voici le dernier volet d’une trilogie qui est devenuun « classique » de la Science-Fiction.

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Darell eut un sourire sans gaieté. « La parade idéale ne suffit pas, Turbor. Même ma station de brouillage est un appareil qui nous immobilise en un seul endroit. Nous ne pouvons demeurer les poings perpétuellement serrés, jetant des regards frénétiques vers les quatre points cardinaux, à la recherche d’un ennemi inconnu. Nous devons non seulement savoir comment vaincre, mais qui vaincre. Et il existe un monde précis où l’ennemi a établi sa résidence.

— Venez au fait, dit Anthor d’un ton las. En quoi consistent vos renseignements ?

— Arcadia, dit Darell, m’a fait parvenir un message, et avant de l’avoir lu, je n’avais jamais vu ce qui me crevait les yeux. Jamais sans doute je ne l’aurais vu. Pourtant, le message ne comportait que ces simples mots : « Un cercle n’a pas de bout. « Voyez-vous ?

— Non, dit Anthor, buté, et il parlait, évidemment, pour tout le monde.

— Un cercle n’a pas de bout, répéta songeusement Munn, le front barré de rides.

— Eh bien, dit Darell, pour moi c’était parfaitement clair. Quel est le seul fait absolument certain que nous connaissions sur la Seconde Fondation ? Je vais vous le dire : nous savons que Hari Seldon en avait désigné le siège comme étant à l’autre bout de la Galaxie. Pour Homir Munn, l’existence de la Seconde Fondation n’était qu’un canular. Seldon, Pelleas Anthor, Seldon avait dit la vérité, mais avait menti en ce qui concerne l’emplacement de la Fondation. Moi, je vous dis que Hari Seldon nous a dit la stricte vérité, sur toute la ligne.

« Mais en quoi consiste l’autre bout ? La Galaxie est un objet aplati de forme lenticulaire. La section transversale de cette lentille donne un cercle, et un cercle n’a pas de bout – comme Arcadia s’en est rendu compte. Nous, Première Fondation, sommes situés sur Terminus, sur la périphérie de ce cercle, et maintenant suivez-le, suivez-le… Vous ne trouverez pas d’autre bout. Vous reviendrez simplement à votre point de départ…

« Et c’est là que vous trouverez la Seconde Fondation.

— Là, répéta Anthor. Vous voulez dire ici ?

— Parfaitement, je veux dire ici, répondit énergiquement Darell. En quel autre lieu pourrait-elle bien être ? Vous avez dit vous-même que si les membres de la Seconde Fondation étaient les gardiens du Plan Seldon, il serait peu vraisemblable qu’ils fussent installés à ce soi-disant autre bout de la Galaxie, où ils se trouveraient aussi isolés qu’il est possible de l’être. Vous pensiez qu’une distance de cinquante parsecs était plus acceptable. Eh bien, je prétends que c’est encore trop loin. Bien mieux, aucune distance n’est admissible. Et où se trouveraient-ils le plus en sécurité ? Qui penserait à les chercher à cet endroit ? C’est la vieille histoire classique : plus un objet vous crève les yeux, et moins on soupçonne sa présence.

« Pourquoi le pauvre Ebling Mis fut-il à ce point surpris et désarçonné par la révélation du siège de la Seconde Fondation ? Il la cherchait désespérément pour l’avertir de l’arrivée imminente du Mulet, et tout cela pour apprendre que ledit Mulet avait déjà conquis les deux Fondations dans sa foulée. Pourquoi le Mulet lui-même a-t-il échoué dans sa quête ? Et pourquoi pas ? Lorsqu’on court après un ennemi insaisissable, on ne pense guère à le chercher parmi les adversaires déjà conquis. Si bien que les maîtres à penser pouvaient à loisir prendre leurs dispositions pour arrêter le Mulet, et ils y ont effectivement réussi.

« Oh ! tout cela est d’une simplicité désarmante. Car nous sommes là, la bouche enfarinée avec nos complots et nos ruses, persuadés que notre secret est bien gardé et, pendant tout ce temps, nous sommes en plein cœur de la place forte ennemie. C’est à mourir de rire ! »

Anthor ne se départit pas de son expression sceptique. « Vous croyez honnêtement à cette théorie, docteur Darell ?

— J’y crois, en toute sincérité.

— Alors l’un quelconque de nos voisins, un passant que nous croisons dans la rue, pourrait être un surhomme de la Seconde Fondation dont l’esprit est braqué sur le nôtre, auscultant nos pensées ?

— Exactement !

— Et pendant tout ce temps, nous avons pu vaquer à nos occupations sans être cérébralement molestés ?

— Molestés ? Qui vous dit que nous n’avons pas été molestés ? N’avez-vous pas démontré vous-même que Munn avait été influencé ? Qui vous prouve que c’est de notre propre volonté que nous l’avons envoyé sur Kalgan – ou que c’est en toute liberté qu’Arcadia a surpris nos conversations et est montée à bord de son astronef ? Ah ! nous avons probablement été molestés sans interruption. Et après tout, pourquoi auraient-ils dû faire plus qu’ils n’ont fait ? Ils ont plus d’intérêt à nous égarer qu’à entraver notre action. »

Anthor se plongea dans une méditation profonde dont il émergea insatisfait. « Tout cela ne me plaît guère. Votre brouillage mental ne vaut pas une guigne. Nous ne pouvons demeurer perpétuellement enfermés dans nos maisons et nous trouver perdus sitôt que nous mettons le nez dehors, avec ce que nous croyons savoir à présent ; à moins que vous ne puissiez construire une petite machine pour chaque habitant de la Galaxie.

— Sans doute, mais nous ne sommes pas complètement désarmés, Anthor. Ces hommes de la Seconde Fondation possèdent un sens spécial qui nous manque. C’est leur force, sans doute, mais aussi leur faiblesse. Citez-moi par exemple un moyen d’attaque qui soit efficace contre un homme normal, et inopérant pour un aveugle ?

— Certainement, dit Munn. Une lumière plantée dans les yeux.

— Eh bien, et après ? demanda Turbor.

— L’analogie est pourtant claire. Je possède un appareil de brouillage mental. Il produit artificiellement un effet électromagnétique susceptible d’impressionner le cerveau d’un homme de la Seconde Fondation comme un rayon de lumière excite les cellules de notre rétine. Mais la station de brouillage mental opère à la manière d’un kaléidoscope. Son émission évolue constamment, avec une vitesse que le cerveau récepteur ne peut suivre. Considérez maintenant une lumière clignotante, de celles qui vous causent immanquablement des maux de tête lorsqu’elles se prolongent pendant un certain temps. Maintenant, donnez à cette lumière, ou à ce champ magnétique, une intensité aveuglante – et vous provoquerez chez le sujet une sensation douloureuse, insupportable. Mais seulement pour ceux qui sont dotés du sens approprié ; pas pour les aveugles, sur le plan physique ou mental.

— Vraiment ? dit Anthor avec un début d’enthousiasme. En avez-vous fait l’expérience ?

— Sur qui ? Naturellement, je n’ai pu l’essayer. Mais il fonctionnera.

— Eh bien, où sont disposées les commandes du champ qui entoure la maison ? Je voudrais bien voir ça !

— Voici. » Le docteur Darell glissa la main dans sa poche : c’était un petit objet qui gonflait à peine l’étoffe. Il lança vers l’autre le petit cylindre émaillé de boutons.

Anthor l’examina avec soin et haussa les épaules.

« Je ne suis pas plus avancé. Que m’est-il interdit de toucher, Darell ? Je ne voudrais pas involontairement priver la maison de son système de défense.

— Pas de danger, dit Darell avec indifférence. Les boutons sont bloqués. » En guise de démonstration, il appuya sur un bouton qui refusa effectivement de bouger.

« A quoi sert cette molette ?

— Elle permet de varier l’amplitude de l’émission. Celle-ci contrôle l’intensité. C’est à cette dernière que je faisais allusion.

— Puis-je ?… » demanda Anthor, le doigt sur le bouton d’intensité. Les autres se groupaient autour d’eux.

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